ellauri014.html on line 1035: Le surlendemain de notre arrivée, je le vis entrer dans ma chambre avec une contenance ferme et grave, et tenant une lettre à la main. Je m’écriai : « La marquise est morte ! ─ Plût à Dieu ! reprit-il froidement, il vaut mieux n’être plus que d’exister pour mal faire. Mais ce n’est pas d’elle que je viens vous parler ; écoutez-moi. » J’attendis en silence.
ellauri033.html on line 108: faire des vers émus très froidement.


ellauri036.html on line 285: Et de pleurer, ô Christ! sur cette froide terre
ellauri036.html on line 700: Ce sont vos froides nefs, vos pavés et vos pierres,
ellauri049.html on line 524: Noire et froide où vers le crépuscule embaumé niin se on kylmä ja musta lampi hämärässä,
ellauri131.html on line 1074: Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ; Pian sukelletaan kylmään hämärään;
ellauri145.html on line 79: Malgré les difficultés de la reconstruction de la France et le début de la guerre froide, Breton entend poursuivre sans aucune inflexion les activités du surréalisme. Et les polémiques reprennent et se succèdent : contre Tristan Tzara se présentant comme le nouveau chef de file du surréalisme, contre Jean-Paul Sartre qui considérait les surréalistes comme des petits-bourgeois, contre des universitaires, en démontant la supercherie d’un soi-disant inédit d’Arthur Rimbaud, contre Albert Camus et les chapitres que celui-ci consacre à Lautréamont et au surréalisme dans L’Homme révolté. Kuka täällä hajuttaa, Milli-Molli rupsuttaa.
ellauri146.html on line 492: Elle rit et triomphe, en sa froideur savante, Hiän nauraa iloisena mutta kylmänä,
ellauri172.html on line 579: — Brutalité de soldats ! — fit Mesnilgrand froidement, who cares; — mais voici du raffinement d’officier.
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri205.html on line 212: l'Enéide est une imitation qui, si brillante qu'elle soit, est déparée par la froideur, la déclamation et le mauvais goût.
ellauri210.html on line 1018: Dans la nuit froide de l'oubli. Päiviä kesämme kaunehimman Unohduxen yöhön kolakkaan.
xxx/ellauri128.html on line 138: À l'Académie, il soutint généralement le parti des Philosophes, mais sans en faire partie car les excès de ses membres l’irritaient : « Les grands raisonneurs et les sous-petits raisonneurs de notre siècle, disait-il, en feront et en diront tant qu’ils finiront par m’envoyer à confesse. » Ses relations avec Voltaire furent froides et leur correspondance n’est qu’académique et de politesse. Il n’avait pas de relations avec Diderot, dont on lui reprocha d’avoir fait échouer la candidature à l’Académie. Il se brouilla avec D'Alembert et les deux hommes ne se réconcilièrent jamais entièrement. Généralement, son caractère autoritaire rendit ses relations souvent difficiles avec ses collègues.
xxx/ellauri139.html on line 902: Et je meurs! De leur froide haleine Ah mä kuolen! Mua koskevat
xxx/ellauri139.html on line 1022: Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château et mort le 16 novembre 1780 à Paris, est un poète lorrain francophone. Son père, maire de Fontenoy-le-Château, propriétaire de deux fermes, y exerce le métier de marchand de grains. Son éducation est confiée au curé du village, un jésuite qui, voyant en lui « un esprit apte à être éduqué », lui apprend le latin. Puis le jeune Nicolas part faire ses humanités au collège de l'Arc à Dole. Après 1770, il part pour Paris, avec en poche ses premiers vers, ainsi qu’une lettre, signée de Mme de La Verpillière, femme du prévôt des marchands de Lyon et mécène. Cette lettre recommande le jeune poète à D’Alembert. Il semble que D’Alembert, lui ayant promis une place de précepteur, n’honore pas cette espérance, et le reçoit d’ailleurs assez froidement. Gilbert s'en souviendra quand il composera sa satire du Dix-huitième siècle :
xxx/ellauri139.html on line 1103: Cette chair froide au duvet roux. Tätä kylmää lihaa punasella harsolla.
xxx/ellauri173.html on line 321: ― Oui, c’est désastreux, en effet, ce que vous m’apprenez là ! murmura-t-il froidement. Mit vit? Ewald ei ole vielä sanonut halaistua sanaa siitä mikä mimmissä on vikana. (Paizi eze on amerikkalainen ja tykkää saxalaisesta oopperasta. No ehkä siinä on jo tarpeexi.)
xxx/ellauri176.html on line 170: Et le merveilleux Paradou du roman, ce paradis panthéiste, cet hymne à la nature, à l'amour – ces paysages décrits par Zola perdent toute vibration, toute poésie. On croit voir défiler les pages du catalogue Vilmorin où s'ébattent Serge et une Albine issue du Petit Echo de la Mode. Le film projeté ne montre pas la séquence du grenier, la découvert des toilettes féminines – les nombreux changements de robe d'Albine sont, dès lors, gratuits, irritants. Comme tous les autres acteurs, Gillian Hills (Albine) est mal dirigée, elle n'a aucune grâce, aucun naturel. Francis Huster (Serge), lui, a du charisme mais son dur combat, sa douceur sont hélas surtout perceptibles par le fard qui rantôt ranime, tantôt creuse un visage que des zooms inutiles amènent en gros plan. Et pour avoir voulu donner aux paysages de la Sainte-Baume, du Lubéron, du Parc Floral d'Orléans une certaine unité, on aboutit à des tonalités froides, éteintes. Seules les intérieurs (l'église, la chambre de Serge, la salle à manger de la cure) gardent leurs contrastes, leurs valeurs. Les personnages n'existent guère, aucune vibration n'émane d'eux, ni de la nature cruelle ou triomphante, de ce Paradou, terre-mère bruissante de vie, féconde.
xxx/ellauri176.html on line 250: Observent la froideur stérile du métal, Kylmänä ja steriilinä kuin metalli.
xxx/ellauri176.html on line 259: Eau froide par l'ennui dans ton cadre gelée Tylsyyden kylmentämä vesi sun jääraamissa
xxx/ellauri176.html on line 384: Se séparer enfin ses froides pierreries. pääsystä vihdoin eroon kylmistä kivistä.
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