ellauri033.html on line 311: le dit, « à jamais fichu ». Dans ses crises d´estomac, il fréquentera
ellauri145.html on line 1134: En 1881, après avoir terminé sans succès ses études de pharmacie, il devient collaborateur du journal Le Chat noir, dans lequel il signe pour la première fois en 1883. C´est grâce à ses écrits humoristiques et à ses nouvelles, écrites au jour le jour, qu´il connaît le succès. Il collabore à l´hebdomadaire Le Chat Noir à partir du numéro 4, daté du 4 février 1882, (Feu de paille). En 1885, il fréquente le café-restaurant Au Tambourin au 62, boulevard de Clichy.
ellauri161.html on line 914: Lors de son séjour à Turin, en 1793, Joseph de Maistre adhère à la loge de La Stricte Observance (La Stretta Osservanza) qui relève du Rite écossais rectifié. Enfin, à Saint-Pétersbourg, il fréquente la loge de M. Stedingk, ambassadeur de Suède auprès du Tzar.
ellauri161.html on line 982: Ses études au lycée de Périgueux sont médiocres : retiré de l´établissement en classe de quatrième, il continue sa formation sous la direction de son père, qui l´oriente vers l´architecture. Bloy commence à rédiger un journal intime, s´essaie à la littérature en composant une tragédie, Lucrèce, et s´éloigne de la religion. En 1864, son père lui trouve un emploi à Paris, il entre comme commis au bureau de l´architecte principal de la Compagnie ferroviaire d´Orléans. Médiocre employé, Bloy rêve de devenir peintre et s´inscrit à l´École des beaux-arts. Il écrit ses premiers articles, sans toutefois parvenir à les faire publier, et fréquente les milieux du socialisme révolutionnaire et de l´anticléricalisme.
ellauri206.html on line 252: IL fréquente le salon de Charles Buet, où il rencontre Jules Barbey d'Aurevilly, Joris-Karl Huysmans, François Coppée, Léon Bloy, Laurent Tailhade et autres cretins. Il rencontre Edmond de Goncourt, avec qui il restera lié jusqu'à la mort de ce dernier en 1896, et qui fut son principal protecteur. Edmond de Goncourt, dans la récente édition complète en 22 volumes du Journal des Goncourt, se montre curieux de toutes les questions sexuelles et particulièrement de l'homophilie. À partir de 1884, Edmond de Goncourt, jusque-là banalement réactionnaire, devient un antisémite enragé, Jésus l'a sauvé après 27 années d'homosexualité. Il se veut esthète et dandy en même temps qu'explorateur tapageux du vice et de la vulgarité, curieux assemblage qui verse souvent dans le pire mauvais goût, et qui lui vaut le mépris hautain de Robert de Montesquiou, dont Lorrain, pour sa part, fait volontiers sa tête de Turc pour sa prétention à l'élégance et à la chasteté. « Lorrain », écrit Léon Daudet dans ses Souvenirs, « avait une tête poupine et large à la fois de coiffeur vicieux, les cheveux partagés par une raie parfumée au patchouli, des yeux globuleux, ébahis et avides, de grosses lèvres qui jutaient, giclaient et coulaient pendant son discours. Son torse était bombé comme le bréchet de certains oiseaux charognards. Lui se nourrissait avidement de toutes les calomnies et immondices. »
ellauri210.html on line 915: Jacques Prévert s'ennuie à l'école et fait souvent l'école buissonnière en parcourant Paris avec la complicité de son père. Dès 15 ans, après son certificat d'études primaires, il abandonne les études. Il multiplie alors les petits travaux, notamment au grand magasin Le Bon Marché. Il fait quelques larcins et fréquente des voyous mais n'est jamais inquiété par la police.
ellauri210.html on line 917: En 1922, il retourne à Paris et y vivote en faisant de petits métiers. Avec Yves Tanguy, il fréquente également la Maison des amis des livres, rue de l'Odéon, tenue par Adrienne Monnier, qui leur fait découvrir la littérature et des personnalités comme André Breton et Louis Aragon. Il est hébergé de 1924 à 1928 par Marcel Duhamel qui s'est installé au 54 de la rue du Château près de Montparnasse — Duhamel dirige l’hôtel Grosvenor qui appartenait à son oncle et qui est sis non loin de là.
xxx/ellauri154.html on line 142: Saint-Denis, le plus célèbre des saints « céphalophores », est souvent représenté portant sa tête, iconographie fréquente des martyrs décapités. Selon d'anciens récits, le saint se serait relevé, aurait ramassé sa tête, et aurait marché jusqu'au lieu de sa sépulture. Outre la tête coupée, il est reconnaissable grâce à ses attributs, la mitre et les chaînes. La façade de la cathédrale Notre-Dame de Paris en offre un exemple sur le piédroit du Portail de la Vierge.
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