Charles Pierre Baudelaire naît le 9 avril 18215 au 13 rue Hautefeuille6 à Paris : ses parrain et marraine sont les parents « adoptifs » de sa mère, Pierre Perignon et Louise Coudougnan7. Celle-ci, Caroline Dufaÿs, a vingt-sept ans. Son père, Joseph-François Baudelaire, né en 1759 à La Neuville-au-Pont8, en Champagne, est alors sexagénaire. Quand il meurt en 1827, Charles n´a que cinq ans. Cet homme lettré, épris des idéaux des Lumières et amateur de peinture, peintre lui-même, laisse à Charles un héritage dont il n´aura jamais le total usufruit. Il avait épousé en premières noces, le 7 mai 1797, Jeanne Justine Rosalie Janin, avec laquelle il avait eu un fils, Claude Alphonse Baudelaire, demi-frère de Charles.
ellauri210.html on line 1012: Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, Hetken lehdet nuo vielä hehkuu Kuolleet lehdet lapparoidaan kasaan,
ellauri210.html on line 1014: Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, Ovat muistojemme lehdet kuolleet Kuolleet lehdet lapparoidaan kasaan,
ellauri254.html on line 452: feuilleton/3517735733/1.480914/default-retina/stefan-george-in-seinem.jpg" width="40%" />
ellauri325.html on line 40: Tombent les feuilles du jardin. Puutarhan lehdet putoaa.
ellauri325.html on line 44: Le chêne à sa feuille de cuivre, tammen kuparilehdestä,
ellauri325.html on line 45: L'érable à sa feuille de sang. vaahteran verilehdestä.
ellauri365.html on line 39: À la feuille de rose, maison turque zo ur gomedienn bornografek gant Guy de Maupassant en 1875 hag embannet e Pariz en 1945.
ellauri365.html on line 41: Ar bomm gallek « feuille de rose » zo un droienn boblek da lavarout anulingus, pa weler ar fraezh evel ur rozenn, « rozenn an avelioù », a zo rod an avelioù e brezhoneg.
ellauri365.html on line 68: Täynnä lehtien ja heinän tuoksua, Tout chargé des senteurs des feuilles et du foin,
ellauri365.html on line 243: Onkohan Lahden tien huolzika Tuuliruusu saanut nimensä Maupassantin nuoruudentyöstä? Flaubertin ideoima Guyn eka julkaisu koski anilingusta. Une « feuille de rose » est l'expression populaire et imagée désignant un anulingus (L'anus étant la « rose des vents »). Le 31 mai 1877, dans l'atelier du peintre Becker, dans le VIe arrondissement, rue de Fleurus, en
xxx/ellauri116.html on line 434: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
xxx/ellauri139.html on line 879: Chute des feuilles Lehdet putoo
xxx/ellauri139.html on line 891: Et dans chaque feuille qui tombe Jokaisen lehden ison numeron
xxx/ellauri139.html on line 894: Tu m’as dit : » Les feuilles des bois Sä sanoit mulle: Puiden keltainen
xxx/ellauri139.html on line 907: Tombe, tombe, feuille éphémère! Putoo, hautaudu, pätkälehti!
xxx/ellauri139.html on line 917: La dernière feuille qui tombe Laitimmanen lehti pudotessaan
xxx/ellauri174.html on line 328: Mancanillier, mancanillier, s. m. Arbre à poison, Toxicodendron, de l'Amérique Méridionale. Raynal, dans son Hist. Philos, l'appelle Mancanillier, de l'Espa- gnol Mancanilla. il est gros comme un noyer, ses feuilles ressemblent à celles du pommier, et son fruit aux pommes d'apis. Ceux qui dorment à l'ombre de cet arbre perfide, sont exposés à ne plus se réveiller. Les troupeaux le fuient ; et l'homme qui n'est pas averti va se reposer sous son ombrage et mange de ses fruits. Il faut donc que les animaux aient l'odorat plus fin, que celui de l'homme.
xxx/ellauri176.html on line 224: Je m'arrête rêvant aux exils, et j'effeuille, Mut näitkö vielä mitkä mun kauhut oli?
xxx/ellauri176.html on line 262: Comme des feuilles sous ta glace au trou profond, Kuin lehtiä sun jään alla syvässä reiässä,
23