Charles Pierre Baudelaire naît le 9 avril 18215 au 13 rue Hautefeuille6 à Paris : ses parrain et marraine sont les parents « adoptifs » de sa mère, Pierre Perignon et Louise Coudougnan7. Celle-ci, Caroline Dufaÿs, a vingt-sept ans. Son père, Joseph-François Baudelaire, né en 1759 à La Neuville-au-Pont8, en Champagne, est alors sexagénaire. Quand il meurt en 1827, Charles n´a que cinq ans. Cet homme lettré, épris des idéaux des Lumières et amateur de peinture, peintre lui-même, laisse à Charles un héritage dont il n´aura jamais le total usufruit. Il avait épousé en premières noces, le 7 mai 1797, Jeanne Justine Rosalie Janin, avec laquelle il avait eu un fils, Claude Alphonse Baudelaire, demi-frère de Charles.
ellauri145.html on line 445: J´ai tout touché : le feu, les femmes, et les pommes ; Mä oon kosketellut kaikkea: tulta, naisia ja omppuja;
ellauri145.html on line 1042: Ils sont, oui, par les traits de feu Ne on, kiitos tulen-palavan
ellauri146.html on line 476: À la lèvre de feu que sa lèvre dévore, Kuumaa alahuulta imevästä huulesta,
ellauri146.html on line 494: De ne rien éprouver des atteintes du feu. Ettei siihen mikään silleen vaikuta.
ellauri146.html on line 537: D’où le feu s’échappant irait tout dévorer. Jonka tuli karatessaan kaiken polttaisi.
ellauri151.html on line 282: Dilthey a le premier noté l’importance d’un texte de jeunesse de Hegel et y a signalé comme une première esquisse de ce que sera plus tard «la conscience malheureuse». On sait quelle importance revient à la conscience malheureuse dans la Phénoménologie de Hegel, et plus tard encore dans la Philosophie de la Religion. Sous une forme abstraite la conscience malheureuse est la conscience de la contradiction entre la vie finie de l’homme et sa pensée de l’infini. « En pensant je m’élève à l’absolu en dépassant tout ce qui est fini, je suis donc une conscience infinie et en même temps je suis une conscience de soi finie et cela d’après toute ma détermination empirique... Les deux termes se cherchent et se fuient — je suis le sentiment, l’intuition, la représentation de cette unité et de ce conflit et la connexion de ces termes en conflit... je suis ce combat, je ne suis pas un des termes engagés dans le confit, mais je suis les deux combattants et le combat lui-même, je suis le feu et l’eau, qui entrent en contact et le contact et l’unité de ce qui absolument se fuit. » La conscience malheureuse qui dans la Phénoménologie trouve son incarnation historique dans le judaïsme et dans une partie du moyen âge chrétien est en effet la conscience de la vie comme du malheur de la vie. L’homme s’est élevé au-dessus de sa condition terrestre et mortelle ; il n’est plus que le conflit de l’infini et du fini, de l’absolu qu’il a posé en dehors de la vie, et de sa vie réduite à la finitude…
ellauri156.html on line 520: The only engagement between the rival factions which is told at length is noteworthy, inasmuch as it was preceded by an encounter at Gibeon between twelve chosen men from each side, in which the whole twenty-four seem to have perished. In the general engagement which followed, Abner was defeated and put to flight. He was closely pursued by Asahel, brother of Joab, who is said to have been "light of foot as a wild roe". As Asahel would not desist from the pursuit, though warned, Abner "was compelled" to slay him "in self-defence". This originated a deadly feud between the leaders of the opposite parties, for Joab, as next of kin to Asahel, was by the law and custom of the country the avenger of his blood.
ellauri161.html on line 428: Seul, un poème un peu niais qu'on jette au feu, Ei jää kuin väsähtänyt runo piisin luukussa,
ellauri162.html on line 480: Esimerkiksi vieno Vergilius - jonka koulumestarit ovat ristineet Mantovan jouzenexi varmaankin siksi, ettei hän ole syntynyt sinä kaupungissa - oli des Esseintesin mielestä yksi kammottavimmista tylsimyksistä ja turmiollisimmista kiusankappaleista mitä koko antiikki oli kuunaan tuottanut. Häntä pitkästyttivät Vergiliuksen valjut ja pikkusievät paimenet, jotka kumoavat kukin vuorollaan lukijan kurkkuun ruukullisen korskeita, puleerattuja säkeitä, hänen Orfeuksensa, jota verrataan kyynelehtivään satakieleen, Aristaioksensa joka vetistelee mehiläistensä puolesta, ja Aineiaansa - tämä sumea, lukijan sormien välistä solahtava sankari, joka kävelee kuin kiinalaisen varjonäytelmän hahmo ja sätkii kuin puu-ukko repsottavan ja huonosti öljytyn runotransparangin takana.
ellauri164.html on line 80: J’ai avalé une fameuse gorgée de poison. — Trois fois béni soit le conseil qui m’est arrivé ! — Les entrailles me brûlent. La violence du venin tord mes membres, me rend difforme, me terrasse. Je meurs de soif, j’étouffe, je ne puis crier. C’est l’enfer, l’éternelle peine ! Voyez comme le feu se relève ! Je brûle comme il faut. Va, démon !
ellauri164.html on line 88: Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici : Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. — Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums faux, musiques puériles. — Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. — La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… — Horreur de ma bêtise.
ellauri164.html on line 116: Je meurs de lassitude. C’est le tombeau, je m’en vais aux vers, horreur de l’horreur ! Satan, farceur, tu veux me dissoudre, avec tes charmes. Je réclame. Je réclame ! un coup de fourche, une goutte de feu.
ellauri164.html on line 120: C’est le feu qui se relève avec son damné.
ellauri172.html on line 318: Au point de vue physique, nous l’avons vu, c’est un besoin individuel que d’engendrer un autre individu, si bien que cet autre devient comme une condition de nous-même. La vie, comme le feu, ne se conserve qu’en se communiquant. Et cela est vrai de l’intelligence non moins que du corps ; il est aussi impossible de renfermer l’intelligence en soi que la flamme : elle est faite pour rayonner. Même force d’expansion dans la sensibilité : il faut que nous partagions notre joie, il faut que nous partagions notre douleur. C’est tout notre être qui est sociable : la vie ne connaît pas les classifications et les divisions absolues des logiciens et des métaphysiciens : elle ne peut pas être complètement égoïste, quand même elle le voudrait. Nous sommes ouverts de toutes parts, de toutes parts envahissants et envahis. Cela tient à la loi fondamentale que la biologie nous a fournie : La vie n’est pas seulement nutrition, elle est production et fécondité. Vivre, c’est dépenser aussi bien qu’acquérir.
ellauri172.html on line 610: Il s’arrêta. Il y pensait, et ils y pensaient. Avec ce qu’il venait de dire, il avait, le croira-t-on ? transformé en rêveurs ces soldats qui avaient vu tous les genres de feux, ces moines débauchés, ces vieux médecins, tous ces écumeurs de la vie et qui en étaient revenus. L’impétueux Captain Haddock, lui-même, ne souffla mot. Il se souvenait. Ne muistelivat varmaan Pauliinan mökkiä Talasmäellä.
ellauri172.html on line 658: « Faut-il que je le répète jusqu’à satiété ? Certes ! je n’étais pas jaloux de cette femme : mais nous sommes tous les mêmes. Malgré moi, je voulus voir à qui elle écrivait, et, pour cela, ne m’étant pas assis encore, je m’inclinai par-dessus sa tête ; mais mon regard fut intercepté par l’entre-deux de ses épaules, par cette fente enivrante et duvetée où j’avais fait ruisseler tant de baisers, et, ma foi ! magnétisé par cette vue, j’en fis tomber un de plus dans ce ruisseau d’amour, et cette sensation l’empêcha d’écrire… Elle releva sa tête de la table où elle était penchée, comme si on lui eût piqué les reins d’une pointe de feu, se cambrant sur le dossier de son fauteuil, la tête renversée ; elle me regardait, dans ce mélange de désir et de confusion qui était son charme, les yeux en l’air et tournés vers moi, qui étais derrière elle, et qui fis descendre dans la rose mouillée de sa bouche entr’ouverte ce que je venais de faire tomber dans l’entre-deux de ses épaules.
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri180.html on line 587: The next turn in the poem is reminiscent of the story of, and the feud between, Cain and Abel the first two sons of Adam and Eve except reeled in reverse. A large number of “holy things” (like banknotes) had already been used for an unholy purpose (such as kindling for another fire).
ellauri183.html on line 84:
The Roth-Malamud feud 1974
ellauri183.html on line 96: As a reward for winning the
feud, U.S. President Barack Obama presented the 2010 National Lizardities Medal to novelist Philip Roth during a ceremony in the East Room of the White House, on March 2, 2011 in Washington, DC. Getty Images.
ellauri190.html on line 243: By the 11th century, Kyivan Rus was a huge European power. Kyiv was bigger than London or Paris. The city had numerous buildings made of brick, including churches. It also had many private and public bathhouses, like Constantinople (and unlike Western European cities of the time). The realm, stretching from the White Sea to the north to the Black Sea to the south and from the steppes of the Don to the east to what is now eastern Poland to the west, was divided into many
feudal fiefs, but the authority of the monarch in Kyiv was nonetheless absolute.
ellauri190.html on line 267: In the 15th-16th centuries, most of what is now Ukraine belonged to the Polish-Lithuanian commonwealth (“The Republic”), but the life of the people depended to a very large extent on their local
feudal lords, the Knyazi (“Princes”). Most of these lords were related to the house of Gedimin, spoke a language close to modern Belarusian and Ukrainian, and were Eastern Orthodox Christians. Yet, beginning from ~1569 (the year of the so-called Lublin Unia), these princes also swore allegiance to the Polish king, and were his vassals and courtiers. They corresponded in Latin, Polish, or their native “Old Ukrainian / Old Belarusian” Slavic language. Among them, perhaps the mightiest ruler was Prince Konstayntyn Vasyl Ostrozky. He was nicknamed “the un-crowned King of Rus,” and was, actually, offered the Polish crown several times, but refused because the kings of Poland were, traditionally, Catholics – and Prince Ostrozky wanted to remain Orthodox. He is famous for printing the first Gospels in his native language, and founding the Academy of Ostroh, a university that functions to this day.
ellauri190.html on line 275: In 1648, a Kozak leader called Zinoviy Bohdan Khmelnytsky (Polish transliteration, Chmielnicki) started a war on the Polish crown. Initially, it was his own personal vendetta on a Polish landlord who stole his land, but very soon it grew into a colossal uprising of the Kozaks and Ukrainian peasants against their Polish landlords. The people fought (the way they knew how) against the
feudal oppression, as well as against forced Catholicization and Polonization of Ukraine. Unfortunately, it turned into a fratricide. (Sorry Poles, of course we are on the same side now.) The main adversary of Khmelnytsky was Prince Yarema (Jeremiah) Korybut-Vyshnevetsky, a Rusyn-Ukrainian, a noble valiant knight and a great statesman who, nonetheless, kept his allegiance to the Polish king (whom he personally hated, but could not break his knight’s oath of loyalty). Both sides resorted to unspeakable cruelties. Most tragically, Khmelnysky, a brave warrior as he was, turned out to be a horribly short-sighted politician. In January 1654, he essentially surrendered Ukraine to Muscovy, approving what he thought was a temporary military union against the Republic but turned out to be the beginning of the “Russian” (actually Muscovite) occupation of Ukraine. It just goes to show: give a pinky finger to the Russkies and they take the whole hand.
ellauri190.html on line 283: But the nobility obtained legal ownership of vast expanses of land on the Dnipro from the Polish kings, and then attempted to impose
feudal dependency on the local population. Landowners utilized the locals in war, by raising the Cossack registry in times of hostility, and then radically decreasing it and forcing the Cossacks back into serfdom in times of peace. This institutionalized method of control bred discontent among the Cossacks. By the end of the 16th century, they began to revolt, in the uprisings of Kryshtof Kosynsky (1591–1593), Severyn Nalyvaiko (1594–1596), Hryhorii Loboda (1596), Marko Zhmailo (1625), Taras Fedorovych (1630), Ivan Sulyma (1635), Pavlo Pavliuk and Dmytro Hunia (1637), and Yakiv Ostrianyn and Karpo Skydan (1638). All were brutally suppressed and ended by the Polish government.
ellauri192.html on line 235: Malgré nous, près du
feu, les grelottants haillons, Tulen ääressä unohdamme rääsyläisten ulinan,
ellauri197.html on line 172: In 1938 he instructed his chauf
feur to drive him from Preston to Lytham without stopping (at threat of being sacked), not even at the gates of his property, so smashed through the gates, damaging the car.
ellauri203.html on line 266: Mimeettinen väkivalta synnyttää tilanteen, jota Girard kutsuu erojen poispyyhkiytymiseksi: todelliset erot, joita yksilöiden välillä on havaittavissa, alkavat kadota ja yksilöt muistuttavat toisiaan yhä enemmän, mitä tulee todellisiin, ei pintapuolisiin eroihin. Yksilöt alkavat muistuttaa toistensa kaksoisolentoja, kuin kaksi verikoston kehään (blood-
feud) ajautunutta sukua. Hmm Kaxoisolentoja taas, pitäisikö kaivaa Dosto naftaliinista? Darwinista tiedetään että keskenään samanlaisilla lajeilla ja yxilöillä on aina tiukin riita resursseista, koska niillä on sama ekolokero.
ellauri206.html on line 252: IL fréquente le salon de Charles Buet, où il rencontre Jules Barbey d'Aurevilly, Joris-Karl Huysmans, François Coppée, Léon Bloy, Laurent Tailhade et autres cretins. Il rencontre Edmond de Goncourt, avec qui il restera lié jusqu'à la mort de ce dernier en 1896, et qui fut son principal protecteur. Edmond de Goncourt, dans la récente édition complète en 22 volumes du Journal des Goncourt, se montre curieux de toutes les questions sexuelles et particulièrement de l'homophilie. À partir de 1884, Edmond de Goncourt, jusque-là banalement réactionnaire, devient un antisémite enragé, Jésus l'a sauvé après 27 années d'homosexualité. Il se veut esthète et dandy en même temps qu'explorateur tapageux du vice et de la vulgarité, curieux assemblage qui verse souvent dans le pire mauvais goût, et qui lui vaut le mépris hautain de Robert de Montesquiou, dont Lorrain, pour sa part, fait volontiers sa tête de Turc pour sa prétention à l'élégance et à la chasteté. « Lorrain », écrit Léon Daudet dans ses Souvenirs, « avait une tête poupine et large à la fois de coif
feur vicieux, les cheveux partagés par une raie parfumée au patchouli, des yeux globuleux, ébahis et avides, de grosses lèvres qui jutaient, giclaient et coulaient pendant son discours. Son torse était bombé comme le bréchet de certains oiseaux charognards. Lui se nourrissait avidement de toutes les calomnies et immondices. »
ellauri206.html on line 269: Figure majeure du romantisme français, il est essentiellement connu pour ses poèmes et ses nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du
feu, recueil de nouvelles (la plus célèbre étant Sylvie), son recueil de sonnets (Les Chimères, dont le célébrissime El Desdichado, placé sous le signe du Soleil noir de la Mélancolie.
ellauri210.html on line 822: du coif
feur Kuin kallon joka tulee parturista
ellauri210.html on line 1012: Les
feuilles mortes se ramassent à la pelle, Hetken lehdet nuo vielä hehkuu Kuolleet lehdet lapparoidaan kasaan,
ellauri210.html on line 1014: Les
feuilles mortes se ramassent à la pelle, Ovat muistojemme lehdet kuolleet Kuolleet lehdet lapparoidaan kasaan,
ellauri254.html on line 452:
feuilleton/3517735733/1.480914/default-retina/stefan-george-in-seinem.jpg" width="40%" />
ellauri254.html on line 767:
Tietolaatikko: Le feu
ellauri275.html on line 442: Toinen nimekäs poliittinen vanki on oppositiokanava Mtavarin omistaja Nika Gvaramia. Hänet on tuomittu korruptiosta. Mtavari (Georgian: მთავარი) was a
feudal title in Georgia usually translated into English as Prince or Duke. In the 15th century the term mtavari was applied only to the five ruling princes of western Georgia (Samtskhe, Mingrelia, Guria, Svaneti, and Abkhazia), whose autonomous powers were finally eliminated under Imperialist Russia.
ellauri309.html on line 873: wurde schon erregt. War sie auch schon da unten schön
feucht und heiss? Mal
ellauri316.html on line 245: La nuit du 14 au 15 avril 1718, nuit du Vendredi Saint, Boureau-Deslandes est à Brest. Il raconte : « sur les 4 heures du matin, il fit trois coups de tonnerre les plus horibles que j’aye jamais entendus. Dans cet espace de la Côte de Brêtagne qui s’étend depuis Conquerneau jusqu’à St. Paul de Leon, on a observé que le tonnerre étoit tombé sur 24 eglises differentes et à la même heure ». Cinq jours plus tard, Deslandes entreprend son enquête à Gouesnou, village voisin de Brest, dont l’église a été transpercée par la réunion de « 3 globes de
feu, chacun 3 piés et demi de diamètre » qui ont occasionné la mort de trois sonneurs de cloches. « Le tonnerre n’est tombé que sur les Eglises où l’on sonnoit des cloches, à dessein de l’écarter, et il a épargné toutes les autres. »
ellauri316.html on line 247: C'était aussi le nom (inspiré par cet évènement) du canon de marine de 24 livres installé en 1764 à la demande du comte de Roque
feuil sur les remparts de l'arsenal de Brest pour signaler les évasions des bagnards condamnés à travailler au port. Cette expression a atteint au XXe siècle une renommée internationale par l'entremise du Capitaine Haddock, héros des albums de bandes dessinées Tintin.
ellauri322.html on line 389: England and America owe their liberty to commerce, which created new species of power to undermine the
feudal system. But let them beware of the consequence; the tyranny of wealth is still more galling and debasing than that of rank.
ellauri325.html on line 40: Tombent les
feuilles du jardin. Puutarhan lehdet putoaa.
ellauri325.html on line 44: Le chêne à sa
feuille de cuivre, tammen kuparilehdestä,
ellauri325.html on line 45: L'érable à sa
feuille de sang. vaahteran verilehdestä.
ellauri333.html on line 252: Tulsidas’ liberal view of a true Bhakt, however, expresses the
feudal male view that the state and its laws, as they exist, are rational. So Ram, according to the laws, kills the Dalit Shambook for gobbling tapas (penance) and Bali for daring to take away his (presumed dead) brother’s wife, and exiles Sita, and the Bhakt accepts it. Valmiki’s Sita sees that masculine mores of male kings relate to a specific moral code that forgives Caesar but not his wife. That male power exists and sex equality does not.
ellauri345.html on line 302: Ach, um deine
feuchten Schwingen (Titel im Buch Suleika: Westwind)
ellauri345.html on line 347:
Ach, um deine feuchten Schwingen
ellauri345.html on line 350: Ach, um deine
feuchten Schwingen, Voi, kosteiden siipiesi vuoksi Ach, kosteita viuhusiipiäsi
ellauri365.html on line 39: À la
feuille de rose, maison turque zo ur gomedienn bornografek gant Guy de Maupassant en 1875 hag embannet e Pariz en 1945.
ellauri365.html on line 41: Ar bomm gallek «
feuille de rose » zo un droienn boblek da lavarout anulingus, pa weler ar fraezh evel ur rozenn, « rozenn an avelioù », a zo rod an avelioù e brezhoneg.
ellauri365.html on line 68: Täynnä lehtien ja heinän tuoksua, Tout chargé des senteurs des
feuilles et du foin,
ellauri365.html on line 76: Kylmä henkäys, putoaa taivaalta tulen täynnä, Un souffle froid, tombé du ciel criblé de
feux,
ellauri365.html on line 93: Näimme kohoavan, kuin tulen oksissa, On voyait s’élever, comme un
feu dans les branches,
ellauri365.html on line 243: Onkohan Lahden tien huolzika Tuuliruusu saanut nimensä Maupassantin nuoruudentyöstä? Flaubertin ideoima Guyn eka julkaisu koski anilingusta. Une «
feuille de rose » est l'expression populaire et imagée désignant un anulingus (L'anus étant la « rose des vents »). Le 31 mai 1877, dans l'atelier du peintre Becker, dans le VIe arrondissement, rue de Fleurus, en
ellauri408.html on line 1041: Bob | abat-jour | abbaye de Cluny | arche | arrière-boutique | arrière-garde | arrière-train | arrondissement | artiche | auguste | au pet | baba | baba du pauvre | baigneur | ballon | banlieue | baril de moutarde | bas | bas des reins | base | bavard | beautés occidentales | beautés postérieures | bernard | bienséant | bol | bonda | bon endroit | borgne | bottom | boule | brioches | bronze | cadet | cadran | cadran humain | cadran lunaire | cadran solaire | canon | canonnière | cavu | centre | centre de gravité | chose | cible à coups de pied | cocotier | comète | contrebasse | coquillard | côté face | coufa | coup de pied dans les reins | croupe | croupière | croupion | cucu | cul | culasse | culot | cuvette | cyclope | dargeaf | dargeoskoff | dargeot | dargif | demi-lunes | département du bas-rein | der | derche | derge | derjo | derrière | deux citrouilles | deux melons | deux soeurs | discret | disque | dos | dossière | double-blanc | double-six | endroit où les grenouilles n'ont pas de queue | envers | épaules qui trottent | être renforcé sur la culasse | face du Grand Turc | faubourg | fiac | fiacre | fias | fignard | figne | fignoton | figue | figure | fion | firts | fla | flacdal | flaquet | foireux | foiron | foirpette | fondement | fouettard | fouigne | fouindé | garde-manger | giberne | giffaut | globes | gnarre | grosse caisse | gros visage | hémisphères | jacques | joues (les) | joufflu | jumelles | juste milieu | la partie la plus exhubérante de ses attraits | le bas de l'épine dorsale | le bas Rhin | les deux frangines | lignefuche | lorgne | luc | lune | lunette de viande | machine à moulin | mappemonde | médaillon | meules | miches | molistrol | montre | mouilles (les -) | moule à merde | moulin à vents | moutardier | n'a-qu'un-oeil | naze | noix | obusier | oeuf | où je pense | où vous savez | pains au lait | panier | panier à crottes | panier fleuri | parfaitement | partie charnue | parties basses | pastèque | patelette | pendule | pétard | pète | péteux | petits pains | pétoulet | pétrousquin | pétrus | pignard | pleine-lune | pommes | ponant | pont arrière | pont-arrière | popotas | popotin | postère | pot | pot à crottes | pot à moutarde | potard | pot-au-
feu | potin | pouet | prose | proye | prozinard | prussien | quelque part | réchaud | reposoir | revers de la médaille | rondeurs | rose des vents | rotondités | sac à foire | salle de danse | seuff | sonore | soufflet | staphanari | taffanard | tal | tambour | tapanard | t'as donc faim, que tu frappes au garde-manger ? | tcho-tcho | Thomas | tirelire | tôle | train | trèfle | trompe | trompette musicale | trouffe | troufignon | troufion | trousse | troussequin | uc | ulc | valseur | vase | vénérable | verre de montre | vezouille | visage sans nez Tintin | châssis arrière | ci-devant | dualisme charnu | fessier | fiotas | fiotum | monument | tarma | tates.
ellauri419.html on line 158: Cioran [sjɔʁɑ], de son vrai nom
Emil Cioran (prononcé en roumain : [eˈmil tʃoˈran] Écouter), né le 8 avril 1911 à Resinár, alors en Autriche-Hongrie (actuelle Rășinari, en Roumanie), et mort le 20 juin 1995 dans le 13e arrondissement de Paris, était un philosophe et écrivain roumain, d'expression roumaine initialement, puis française à partir de 1949, date de la parution de son premier livre écrit directement en français : Précis de décomposition. Son œuvre en français est signée « E. M. Cioran » jusque vers 1987, puis en général « Cioran » uniquement. « E. M. » est un hommage à l'écrivain britannique E. M. Forster. Cioran trouvait que la francisation du roumain « Emil » était « un prénom de coif
feur».
xxx/ellauri056.html on line 567: Nach seiner Schulzeit zog Fichte 1780 nach Jena, wo er an der Universität ein Theologie-Studium begann, wechselte jedoch bereits ein Jahr später den Studienort nach Leipzig. Die Familie von Miltitz unterstützte ihn nun nicht mehr finanziell, er war gezwungen, sich durch Nachhil
feunterricht und Hauslehrerstellen zu finanzieren und brachte das Studium zu keinem Abschluss.
xxx/ellauri068.html on line 64: A committee was set up in Baku to develop the new Turkic alphabet (the All-Union Committee for the Development of the New Turkic Alphabet, the CNTA, later transformed into the Committee of the New Alphabet), headed by S. A. Agamali-oglu. At its first meeting the theses of N. F. Yakovlev,Chair of the Commission, were adopted. The Commission declared the Cyrillic (Russian civilian) script a "relic of the 18th - 19th centuries, the script of Russian
feudal landlords and the bourgeoisie, the script of autocratic oppression, missionary propaganda, great-power chauvinism. <...> it still binds the population that reads in Russian with the national-bourgeois traditions of Russian pre-revolutionary culture."
xxx/ellauri085.html on line 411: Um, no, no one is saying that. The idea is hilarious. This is where it goes wrong: Govt taking a little less from the rich than before is not a gift! It was THEIR money in the first place. How did we ever get to the place where people think that everything belongs to the govt like a king in
feudal and ancient times, and we are all just subjects, serfs, and they will tell US how much of our own earnings we get to keep? Didn't we fight a revolution to abolish that nonsense?
xxx/ellauri116.html on line 434: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses
feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
xxx/ellauri123.html on line 37: ..Le
feu faisait un corps à
xxx/ellauri123.html on line 658: Painijat jaetaan tavallisesti ns. hyviksiin ja pahiksiin, eli faceihin (babyface) ja heeleihin. Facet pyrkivät olemaan oikeudenmukaisia, hyväntahtoisia ja inspiroivia. Heelit sen sijaan ovat halveksuttavia karakteereja, he vihastuttavat yleisöä ja tekevät koiruuksia. Facejen ja heelien välille tulee usein riidallisia juonikuviota eli
feudeja. Face saattaa tarinankerronnallisesti joskus kääntyä heeliksi (heel-turn). Joidenkin painijoiden karakteeri voi olla myös selkeästi ja tarkoituksenmukaisesti facen ja heelin välimaastossa (tweener).
xxx/ellauri123.html on line 1174: Un petit mont,
feutré de mousse délicate, Pieni kukkula, herkässä sammalpeitossa,
xxx/ellauri139.html on line 879:
Chute des feuilles Lehdet putoo
xxx/ellauri139.html on line 891: Et dans chaque
feuille qui tombe Jokaisen lehden ison numeron
xxx/ellauri139.html on line 894: Tu m’as dit : » Les
feuilles des bois Sä sanoit mulle: Puiden keltainen
xxx/ellauri139.html on line 907: Tombe, tombe,
feuille éphémère! Putoo, hautaudu, pätkälehti!
xxx/ellauri139.html on line 917: La dernière
feuille qui tombe Laitimmanen lehti pudotessaan
xxx/ellauri173.html on line 517: Pour fuir ma lèvre en
feu buvant, comme un éclair
xxx/ellauri173.html on line 542: Une fête s’exalte en la
feuillée éteinte :
xxx/ellauri174.html on line 328:
Mancanillier, mancanillier, s. m. Arbre à poison, Toxicodendron, de l'Amérique Méridionale. Raynal, dans son Hist. Philos, l'appelle Mancanillier, de l'Espa- gnol Mancanilla. il est gros comme un noyer, ses
feuilles ressemblent à celles du pommier, et son fruit aux pommes d'apis. Ceux qui dorment à l'ombre de cet arbre perfide, sont exposés à ne plus se réveiller. Les troupeaux le fuient ; et l'homme qui n'est pas averti va se reposer sous son ombrage et mange de ses fruits. Il faut donc que les animaux aient l'odorat plus fin, que celui de l'homme.
xxx/ellauri176.html on line 224: Je m'arrête rêvant aux exils, et j'ef
feuille, Mut näitkö vielä mitkä mun kauhut oli?
xxx/ellauri176.html on line 262: Comme des
feuilles sous ta glace au trou profond, Kuin lehtiä sun jään alla syvässä reiässä,
xxx/ellauri176.html on line 368: De Vénus qui, le soir, brûle dans le
feuillage : Venuxelta joka iltaisin palaa puskissa:
xxx/ellauri176.html on line 371: Dis-tu, ces flambeaux où la cire au
feu léger sano, soihtu tai pieni tuikku,
xxx/ellauri186.html on line 350: Nous le voyons tout à coup paraître sur la digue, entouré de son état-major et suivi de ses guides, il descend de cheval, tire son sabre, prend un drapeau et s'élance sur le pont au milieu d'une pluie de
feu. Les soldats le voient et aucun d'eux ne l’imite.»
xxx/ellauri186.html on line 351: Un autre témoin décrit la suite : « Sa colonne l'avait à moitié franchi lorsqu'un
feu de flanc la fit rétrograder. Les grenadiers enlevèrent Bonaparte et l'entrainèrent, il fut précipité dans un marais où il enfonça jusqu'à mi-corps.
xxx/ellauri208.html on line 205:
feu au #cul à la recherche d'un
xxx/ellauri312.html on line 715: Uralt der E
feu wächst und getragen sind Ikivanha kasvaa muratti ja kantavat
xxx/ellauri314.html on line 99: He was born into a Jewish family of Polish-Jewish descent. His father was born in Radomyśl Wielki, Galicia (then part of Austria-Hungary, now Poland), and his mother was a native of New York whose parents also arrived from that town. Isidore owned a women's clothing manufacturing business employing 400 people. They owned a summer house in Far Rockaway, Queens, and employed a chauf
feur. In the Wall Street Crash of 1929, the family lost almost everything and moved to Gravesend, Brooklyn.
xxx/ellauri376.html on line 511: Porte le
feu de tes couillons.
xxx/ellauri376.html on line 574: Avoir tout le
feu des enfers.
xxx/ellauri376.html on line 618: Ce n’est que
feu, que sang, qu’horreur
xxx/ellauri404.html on line 389: Hei hetkinen, tää Luukasa joka kynäili 3. evankeliumin ja apostolien teot ei hevin voinut olla Jee-suxen opetuslapsi kert nää jutut kirjoitettiin puolisen vuosisataa oikeusmurhaa myöhemmin. Luukasa ei siis ollut mikään silminnäkijä vaan pikemminkin Piven akolyytti, Pikku Markusta lisää alla. No ei Lucky Luke olekkaan 12 (tai 13) alkup opetuslapsen nimilistassa.. Evankelista on eri asia kuin apostoli hölmö. Ne olivat Andreas, Bartolomeus, Filippus, Jaakob Al
feuksen poika, Jaakob vanhempi, Johannes (evankelista), Juudas Iskariot, Matteus (evankelista), Mattias (apostoli), Pietari (apostoli), Salome (opetuslapsi), Simon Kananeus, Tuomas (apostoli). Mikäs tää Salome oli? Onko pussiin pujahtanut makkaraton typy? Salome oli Jeesus Kristuksen seuraaja. Hän oli Sebedeuksen vaimo, Jaakob vanhemman ja Johanneksen äiti. Tämä kristinuskoon liittyvä artikkeli on tynkä. Joh. on eritt. suspekti tapaus, sehän on silkkaa gnostilaisuutta. Ei edes synoptinen kuin ne muut. Onko Matteus siis noista sepustuxista alkuperäisin? Oliko kukaan evankelistoista edes paikalla? Onxne eyewitness news vai pelkkää hearsay?
xxx/ellauri420.html on line 358:
Gérard Labrunie, dit Gérard de Nerval, est un écrivain et un poète français, né le 22 mai 1808 dans l'ancien 7e arrondissement de Paris, où il est mort le 26 janvier 1855. Figure majeure du romantisme français, le « plus pur des écrivains romantiques de la France » selon Georges Gusdorf, il est essentiellement connu pour ses poèmes et ses nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du
feu (1854), recueil de nouvelles qui comprend Sylvie et les sonnets Les Chimères, et sa nouvelle Aurélia publiée en 1855. Il a aussi publié un récit de voyage, le Voyage en Orient (1851).
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