ellauri014.html on line 1035: Le surlendemain de notre arrivée, je le vis entrer dans ma chambre avec une contenance ferme et grave, et tenant une lettre à la main. Je m’écriai : « La marquise est morte ! ─ Plût à Dieu ! reprit-il froidement, il vaut mieux n’être plus que d’exister pour mal faire. Mais ce n’est pas d’elle que je viens vous parler ; écoutez-moi. » J’attendis en silence.
ellauri014.html on line 1237: Wolmari ei uskalla kärrätä rouvaa pihalle, niin kauan kun väellä oli epäselvyyttä, onx se nyt kuollut vaiko elossa. Ne vois sen raivoissaan vaikka lynkata. Siis Wolmarin. Ootellaan siis kirstu auki päiväkausia, kunnes rouva alkaa hiljaa fermentoitua. Herra, hän haisee jo, valittavat lakeijat.
ellauri043.html on line 4482: les joues fardées; une couronne d’olivier se ferme sur
ellauri049.html on line 468: J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Oon nähnyt jättisoita käymistilassa, mertoja,
ellauri049.html on line 973: L’air immense ouvre et referme mon livre, Valtava ilmavirta avaa ja sulkee kirjani,
ellauri074.html on line 656: A Tale of a Tub. Written for the Universal Improvement of Mankind. was the first major work written by Jonathan Swift, arguably his most difficult satire and perhaps his most masterly. William Wotton wrote that the Tale had made a game of "God and Religion, Truth and Moral Honesty, Learning and Industry" to show "at the bottom Jonathan´s contemptible Opinion of every Thing which is called Christianity." The work continued to be regarded as an attack on religion well into the nineteenth century. The overarching parody is of enthusiasm, pride, and credulity. It was widely misunderstood, especially by Queen Anne herself who purposely mistook its purpose for profanity. It effectively disbarred its author from proper preferment in the Church of England, but is considered one of Swift´s best allegories, even by himself.
ellauri109.html on line 389: Bien que jouissant d'une célébrité personnelle et d'un succès littéraire certains à son époque, l’œuvre de Louise Colet a connu un certain déclin au cours du XXe siècle, absente de la plupart des manuels d'histoire littéraire. Sa rupture difficile avec Gustave Flaubert à partir de 1856 pourrait y être pour quelque chose, celui-ci ayant dès lors dénigré fermement l’œuvre de son ancienne maîtresse, que d'autres comme Victor Hugo acclamaient.
ellauri109.html on line 441: Une première rupture avec Louise Colet en apporte la preuve. Dans sa lettre datée du dimanche 7 mars 1847, Flaubert ose enfin clamer à quel point il est allergique32 aux valeurs qu’elle véhicule, valeurs qui baignent et macèrent dans le discours ambiant du romantisme humanitaire33 : « tes idées de moralité, de patrie, de dévouement, tes goûts en littérature, tout cela était antipathique à mes idées, à mes goûts. »34 Ce qui vient immédiatement après est l’affirmation d’une esthétique, sur le mode de l’antithèse : « amoureux exclusif de la ligne pure, du galbe saillant, de la couleur criante, de la note sonore, je retrouvais toujours chez toi je ne sais quel ton noyé de sentiment qui atténuait tout, et altérait jusqu'à ton esprit ». Voilà les griefs d’un amant qui ne sépare pas l’art de la vie. Le lexique sentimental se trouve accaparé par le commentaire stylistique : « amoureux exclusif », écrit Flaubert, non pas d’une femme, comme Louise, elle, le voudrait, mais du tracé ferme, il lui reproche son « ton noyé de sentiment » qu’il interprète comme une déperdition de force et de précision. De même, les muscles relâchés, les lignes floues et les déliaisons trahissent le corps du texte féminin.
ellauri111.html on line 196: During Geronimo's final period of conflict from 1876 to 1886, he surrendered three times and accepted life on the Apache reservations in Arizona. When Geronimo surrendered to General Nelson Miles for the last time in 1886, he said "This is the fourth time I have surrendered". Reservation life was confining to the free-moving Apache people, and they resented restrictions on their customary way of life. These restrictions included directives against wife beating and mutilation of women for adultery, and directives against the manufacture of Tiswin, an alcoholic drink fermented from corn.
ellauri112.html on line 855: “There is no proof that the ‘wine’ at the marriage feast in Cana was fermented. The Greek word for ‘wine’ in this text is oinos, which may refer to a fermented beverage (cf. Eph. 5:18), or it may denote freshly squeezed grape juice (cf. Isa. 16:10 – LXX). Since the word for ‘wine’ is generic, the student has no right to import the concept of an alcoholic beverage into this passage without contextual justification—of which there is none.”
ellauri112.html on line 859: Jesus mentions the specific content of the cup to drink is “fruit of the vine” or an even better translation “fruit of the grapevine”. There is no indication of its fermentation. Add to all of this that Jesus used unleavened bread because it was the time of the Passover when God commanded Israel to throw out all leaven. The grape juice would have been unleavened too at least in the sense of having additional yeast rather than wild yeast. What does that mean? The throwing out of leaven would have also included the throwing out of highly intoxicating wine that contained additional yeast.
ellauri112.html on line 882: First, it suggests that the young evangelist had been resistant to drinking wine with Paul prior to the admonition. If drinking fermented wine was common for the more primitive Christians, the exhortation would scarcely have been needed.
ellauri112.html on line 897: Persistently, honorable men are engaged in a discussion as to what should be the contents of the communion cup. Should the cup contain wine, the fermented juice of grapes? Or should it be unfermented grape juice? Does it matter? What difference does it make, if any? Should church leaders accommodate both Christians who want to use wine, as well as those who prefer unfermented grape juice, by offering what is sometimes called a “split cup” or a “split tray”? In other words, what should be the second “element,” or the contents of the communion cup? Can grape juice change to real blood and no fucking tomato juice? How should such questions—controversial as they are—be answered?
ellauri112.html on line 913: On the next three pages of the web site, we will read articles by William B. Sprague, Moses Stuart, William Slater, and Dunlop Moore. These four nineteenth century religious leaders will give us their answers to the question Moses Stuart asked in 1835, namely, "What is the duty of the churches, in regard to the use of fermented (alcoholic) wine, in celebrating the Lord´s Supper?"
ellauri112.html on line 915: Since the use of unfermented grape juice is so popular, individual lay Christians may be confronted with grape juice instead of wine when they want to observe the sacrament. Therefore, we must briefly examine the Christian´s duty, whenever he or she is offered grape juice in the Lord´s Supper.
ellauri145.html on line 48: Fatty dans sa « Ford Economy Spéciale » (une caisse à savon motorisée) et Al Clove (Picratt dans la version française) sur son Grand-bi se rendent chez le fermier voisin. Le premier est follement amoureux de Winnie, sa fille et vient lui rendre visite. Le second est porteur d’un message de son père qui propose au fermier de le marier à sa fille en échange de la moitié de ses terres. Al n’est pas très malin mais Fatty n’est qu’un garçon de ferme sans le sou. Malgré l´amour que porte Winnie à Fatty, le fermier n"hésite pas une seconde et est intraitable.
ellauri146.html on line 176: LE MAITRE D'ÉCOLE, assis à la fenêtre. Le Diable l'emporte. Le drôle nous arrive si tard dans la nuit pour nous aider à avaler le punch. C'est le maudit auteur, ou, comme on devrait proprement le nommer, le minuscule auteur, l'auteur de la pièce. Il est bête comme un sabot de vache, bave sur tous les écrivains et n'est bon lui-même à rien, a une jambe de travers, des yeux louches et une insipide face de singe. Fermez-lui la porte au nez, Monsieur le Baron, fermez-lui la porte.
ellauri146.html on line 180: LE MAITRE D'ÉCOLE. Fermez-lui la porte, Monsieur le Baron, fermez-lui la porte au nez.
ellauri159.html on line 1411: Solidarity of causes in the world, 216. The human mind abstracts in order to explain, 219. Different cycles of operation in Nature, 220. Darwin's distinction between causes that produce and causes that preserve a variation, 221. Physiological causes produce, the environment only adopts or preserves, great men, 225. When adopted they become social ferments, 226. Messrs. {xvii} Spencer and Allen criticised, 232. Messrs. Wallace and Gryzanowski quoted, 239. The laws of history, 244. Mental evolution, 245. Analogy between original ideas and Darwin's accidental variations, 247. Criticism of Spencer's views, 251.
ellauri172.html on line 318: Au point de vue physique, nous l’avons vu, c’est un besoin individuel que d’engendrer un autre individu, si bien que cet autre devient comme une condition de nous-même. La vie, comme le feu, ne se conserve qu’en se communiquant. Et cela est vrai de l’intelligence non moins que du corps ; il est aussi impossible de renfermer l’intelligence en soi que la flamme : elle est faite pour rayonner. Même force d’expansion dans la sensibilité : il faut que nous partagions notre joie, il faut que nous partagions notre douleur. C’est tout notre être qui est sociable : la vie ne connaît pas les classifications et les divisions absolues des logiciens et des métaphysiciens : elle ne peut pas être complètement égoïste, quand même elle le voudrait. Nous sommes ouverts de toutes parts, de toutes parts envahissants et envahis. Cela tient à la loi fondamentale que la biologie nous a fournie : La vie n’est pas seulement nutrition, elle est production et fécondité. Vivre, c’est dépenser aussi bien qu’acquérir.
ellauri184.html on line 46: After graduating in 1943, Mailer married his first wife Beatrice "Bea" Silverman in January 1944, just before being drafted into the U.S. Army. Hoping to gain a deferment from service, Mailer argued that he was writing an "important literary work" which pertained to the war. This deferral was denied, and Mailer was forced to enter the Army. After training at Fort Bragg, Mailer was stationed in the Philippines with the 112th Cavalry. Merihevosilla varmaan mentiin.
ellauri204.html on line 138: Printul fermecat (Romania)
ellauri221.html on line 86: La loi de fermeture des maisons closes en France en 1946 porte communément son nom.
ellauri221.html on line 95:
La fermeture des maisons closes

ellauri221.html on line 97: Elle dépose le 13 décembre 1945 devant le Conseil municipal de Paris un projet pour la fermeture des maisons closes. Dans son discours, elle ne s’en prend pas tant aux prostituées qu’à la société, responsable selon elle, de la « débauche organisée et patentée » et à la mafia, qui bénéficie de la prostitution réglementée ; le propos permet aussi de rappeler que le milieu de la prostitution s'est compromis avec l’occupant pendant la guerre. Sa proposition est votée et le 20 décembre 1945, le préfet de police Charles Luizet décide de fermer sans préavis les maisons du département de la Seine dans les 3 mois (au plus tard le 15 mars 1946, date qu'a fixée le conseil municipal). Encouragée, Marthe Richard commence une campagne de presse pour le vote d'une loi généralisant ces mesures. Elle est soutenue par le Cartel d'action sociale et morale et le ministre de la Santé publique et de la Population, Robert Prigent.
ellauri221.html on line 99: Le 9 avril 1946, le député Marcel Roclore présente le rapport de la Commission de la famille, de la population et de la santé publique, et conclut à la nécessité de la fermeture. Le député Pierre Dominjon dépose une proposition de loi dans ce sens qui est votée le 13 avril 1946 à la chambre des députés. La fermeture des maisons closes est appliquée à partir du 6 novembre 1946. Le fichier national de la prostitution est détruit et remplacé par un fichier sanitaire et social de la prostitution (loi du 24 avril 1946). Environ 1 400 établissements sont fermés, dont 195 à Paris (177 établissements officiels) : les plus connus comme le Chabanais, le Sphinx, La Rue des Moulins, le One-Two-Two mais aussi les sinistres maisons d’abattage comme le Fourcy et le Charbo… Beaucoup de tenanciers de maisons closes se reconvertirent en propriétaires d'hôtels de passe. La prostitution est alors une activité libre ; seules sont interdites son organisation et son exploitation — le proxénétisme — et ses manifestations visibles.
ellauri266.html on line 468: Le narrateur commence à apprendre le langage simien. Profitant d’une visite de routine, il dessine à Zira des figures géométriques et les théorèmes qui en découlent, puis le Système solaire et celui de Bételgeuse, la trajectoire de son vaisseau et son origine, la Terre. Zira comprend son message et lui demande de garder le secret car Zaïus pourrait lui causer des problèmes. Zira commence à apprendre le français et les deux peuvent communiquer facilement. Elle lui apprend comment les singes se sont développés sur cette planète alors que l’homme est resté à un stade d’animalité. Enfin, le narrateur retrouve l’air libre lorsque Zira l´amène en promenade, après trois mois d’enfermement, pour lui présenter Cornélius, son fiancé, un chimpanzé biologiste très intelligent et intuitif. Il se laisse tenir en laisse comme le lui a recommandé Zira et tente de dissimuler son intelligence. Zira lui apprend que Zaïus voulait le transférer à la division encéphalique pour pratiquer sur son cerveau des opérations délicates mais qu’elle l’en a empêché. Avec Cornélius, elle lui conseille de faire très attention et d´attendre le congrès des savants biologistes qui va se tenir dans les jours suivants où il sera présenté par Zaïus, pour révéler son secret.
ellauri365.html on line 49: Maupassant [måpasa], Henry René Albert Guy de, fransk författare, f. 5 aug. 1850 på slottet Miromesnil i Normandie, d. 6 juli 1893 Auteuil, var ättling af en gammal lothringsk adels- familj; modern var sy- ster till skalden Alfred de Poittevin. Föräld- rarna skildes tidigt, och den intelligenta och litterärt intresse- rade modern, en barn- domsväninna till Gu- stave Flaubert, ledde sonens uppfostran. Hans barndom förflöt vid Normandies kust, där M. insöp sin kärlek till naturen och lärde kän- na dessa normandiska typer, som han sedan så gärna skildrade. Adertonårig inträdde han 1868 i Marinministeriet, men öfvergick 1878. till kultusministeriet. Han saknade emellertid intresse för ämbetsmannabanan. Redan tidigt vak- nade hans lust för litteraturen, som närdes af mo- derns ungdomsminnen. Flaubert omfattade honom med en faders kärlek, kritiserade strängt hans. första omogna försök, inpräntade i hans sinne sina egna konstnärliga principer, lärde honom att genom aldrig tröttnande observation söka uppfånga det förut icke iakttagna och därför nya och att återge. det så, att det skildrade fenomenet skiljer sig från alla andra och blir individuellt och enastående. Framför allt afhöll han honom från att debutera för tidigt. Från midten af 70-talet meddelade dock M. under hvarjehanda pseudonymer (oftast Guy de Valmont) smärre bitar åt tidningar och tidskrifter, och 1879 fick han uppförd en drama- tisk bagatell, Histoire du vieux temps. Hans verk- liga debut inföll dock först 1880 med diktsamlingen Des vers. Den har obestridligen ett originellt skaplynne och väckte uppseende kanske ej minst därför, att den hotades med ett åtal för osedlighet hufvudsakligen på grund af dikten Le mur), som deck afstyrdes genom inflytelserika vänner. M. insåg sedan själf, att hans talang låg mera för prosan, i all synnerhet sedan han samma år ut- gifvit novellen Boule de suif (i "Soirées de Mé- dan"). Med denna novell, som utmärktes genom skarp observationsförmåga och ypperlig prosa- stil, slog M. igenom och intog sin plats som en at den naturalistiska skolans förnämsta representanter och en af den franska litteraturens största novellister. Den efterföljdes af en lång rad novel ler, först publicerade i "Gil Blas" och "Echo de Paris" och sedan samlade i bokform under följande titlar: La maison Tellier (1881), M:lle Fifi (1882), Les contes de la Bécasse (1883), Clair de lune i (1884), Au soleil (resebilder, s. a.), Les soeurs Rondoli (s. a.), Miss Harriett (s. a.), Yvette (s. a.; sv. öfv. 1905), Monsieur Parent (s. a.), Contes du jour et de la nuit (1885), Contes et nouvelles (s. 4.), Contes choisis (1886), La petite Roque (s. a.), Toine (s. 1.), Le Horla (1887), Sur l'eau (rese- skildringar, 1888), Le rosier de Mime Husson (s. å.), L'héritage (s. a.), La main gauche (1889), Histoire d'une fille de ferme (s. a.), La vie errante (reseskildringar, s. å.) och L'inutile beauté (1890); efter hans död ha ytterligare publicerats Le père Milon (1899; "Gubben Milon", s. å.), Le colporteur (1900) och Dimanches d'un bourgeois de Paris (s. å.). Till dessa novellsamlingar ansluta sig sexromanerna Une vie (1883; "Ett lif", 1884), Bel-ami (1885; "Qvinnogunst", 1885 och 1901), Mont-Oriol (1887; sv. öfv. 1895), Pierre et Jean (1888; "Pierre och Jean", s. a.), Fort comme la vi mort (1889; "Stark som döden", 1894 och 1910) och Notre coeur (1890; "Vårt hjerta", 1894 och 1910). För scenen skref M. vidare treaktsskåde spelet Musotte (i samarbete med J. Normand, 1891) och La paix du ménage (uppf. på Théâtre fran- çais, 1893). M. skref äfven litterära studier, bl. a. öfver Emile Zola (1883) och Gustave Flaubert (1884). Denna oerhörda produktion fullbordades en på den korta tiden af omkr. tio år. Den gjorde honom hastigt världsberömd som en äkta represen tant för den franska conten, en ättling i rakt ned stigande led af de gammalfranske fabliåförfattarna, med ära upphärande Rabelais', La Fontaines och Voltaires traditioner.
ellauri365.html on line 86: kaikki nämä epämääräiset salaisuudet, jotka sydän voi lukita. Tous ces vagues secrets qu’un cœur peut enfermer.
ellauri365.html on line 165: Kun halun kuume käy meissä! Lorsque fermente en nous la fièvre du désir !
xxx/ellauri057.html on line 908: Passé vingt-deux ans, il abat directement avec sa machine à écrire deux écrits de genre populaire par semaine à raison de huit heures et quatre-vingts pages par jour. À la maturité, commençant toujours à partir de 4 heures du matin, il avoue rédiger vingt pages fermes par d'intenses matinées et écrire invariablement un roman en onze journées, nécessairement continues.
xxx/ellauri123.html on line 1172: Un tétin ferme et rond en fraise aboutissant, Luja ja pyöreä nisä rusinana pullassa,
xxx/ellauri123.html on line 1178: Une grève, un genouil, deux fermes rondes cuisses, sääri, polvi, 2 lujaa pyöreätä reittä,
xxx/ellauri139.html on line 848: Qu'un ami leur ferme les yeux! Joku kamu sulkekoon niiltä silmät!
xxx/ellauri139.html on line 968: Qu’un ami leur ferme les yeux ! Sulkekoon joku ystäväinen niiltä silmät!
xxx/ellauri139.html on line 1018: Qu’un ami leur ferme les yeux! Joku kamu vielä laittais silmäluukut kii!
xxx/ellauri139.html on line 1022: Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château et mort le 16 novembre 1780 à Paris, est un poète lorrain francophone. Son père, maire de Fontenoy-le-Château, propriétaire de deux fermes, y exerce le métier de marchand de grains. Son éducation est confiée au curé du village, un jésuite qui, voyant en lui « un esprit apte à être éduqué », lui apprend le latin. Puis le jeune Nicolas part faire ses humanités au collège de l'Arc à Dole. Après 1770, il part pour Paris, avec en poche ses premiers vers, ainsi qu’une lettre, signée de Mme de La Verpillière, femme du prévôt des marchands de Lyon et mécène. Cette lettre recommande le jeune poète à D’Alembert. Il semble que D’Alembert, lui ayant promis une place de précepteur, n’honore pas cette espérance, et le reçoit d’ailleurs assez froidement. Gilbert s'en souviendra quand il composera sa satire du Dix-huitième siècle :
xxx/ellauri167.html on line 137: con l’ali alzate e ferme al dolce nido siivet lujina ja levällään pesälle
xxx/ellauri173.html on line 288: Sous une fausse symétrie, de part et d’autre de la serrure se cache une dissemblance radicale : c’est l’être humain qui a la clef – la clef de la serrure, la clef de la pièce qui enferme le singe, la clef du dispositif auquel l’homme soumet un animal qui ne demandait rien à personne, la clef de l’interprétation de toute l’expérience, la clef d’un regard scientifique ou voulu tel, quand le regard du singe n’est qu’un regard stressé, apeuré, c'est un interrogateur du jeu absurde qu’il subit sans en comprendre les tenants et aboutissants et sans en avoir lui-même institué les règles.
xxx/ellauri376.html on line 518: Des cuisses fermes et bondies,
xxx/ellauri376.html on line 672: Plus ferme que le vit d’un carme,
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