ellauri036.html on line 481: Silence! on a parlé. Des femmes inconnues
ellauri036.html on line 608: Vous ne la plaignez pas, vous, femmes de ce monde!
ellauri037.html on line 521: Paremmalla syyllä kuin kauniixi vois naisia sanoa epäesteettisexi sukupuolexi. Niillä ei ole tajua eikä vastaanottokykyä kaunotaiteille, kuten musiikille, runoille tai kuvataiteille, kazovat vaan kun lehmä uutta veräjää, tai apinoivat miellyttämishalussaan jos ne niitä on harrastavinaan. Janne-Jaakko (Rusakko) sen jo sanoi: les femmes, en général, n’aiment aucun art, ne se connoissent à aucun, et n’ont aucun génie (lettre à d’Alembert, note x x). (Setämiehet haistaa kyllä toisensa ihan hännän alushajusta kuin koirat.) Jokainen joka kazoo huivin taa, huomaa kyllä sen. Ei tarvize kuin kazoa mihin naaraat keskittyy konsäärissä, uupperassa tai tiiatterissa (miekkoset keskittyy tietysti selvittämään juuri tän). Esim kazo niiden lapsellista hälinää, kun ne (miesten) suurenmoisten mestariteosten kauneimpien kohtien aikanakin jatkaa lätinää. Jos krekut ei tosiaan päästäneet naisenpuolikkaita kazomoon, ne teki siinä oikein; ainakin pystyi niiden teattereissa sentään jotain kuulemaan. (Jääkiekko- ja futismazeissakin liikuttaa miesyleisön rikkumaton hiljaisuus.)
ellauri049.html on line 659: ou si les femmes dont tu gloses ob nicht, die du besprichst, die Fraun, der losen josko vallan naiset joista mussutat
ellauri055.html on line 109: Il faut cependant noter que les décisions de la Maison Universelle de Justice, ainsi que les exégèses des écrits sacrés faites par ʿAbd-al-Bahāʾ et Shoghi Effendi, bénéficient d’une autorité s’imposant à tous les baha’is. Ce qui a conduit depuis les années 1980-1990 à ce que plusieurs intellectuels et universitaires, historiens ou sociologues, soient chassés de la communauté baha’ie pour leurs vues jugées divergentes sur des questions-clefs (l’exclusion des femmes de la Maison universelle de justice ; l’obligation de soumettre toute publication, même universitaire, à un comité de censure ; l’homosexualité ; un système électoral qui favorise les sortants ; l’interdiction de participer à un parti politique ou d’adhérer à une organisation comme Amnesty International, etc., et surtout le sujet central de l’infaillibilité des institutions).
ellauri055.html on line 111: Égalité de l’homme et de la femme, mais avec cependant des exceptions à cette règle. La principale exception, depuis l’arrêt du soutien de la bigamie, est l’inéligibilité des femmes comme membres de la Maison Universelle de Justice.
ellauri055.html on line 1161: Sur les femmes
ellauri102.html on line 429: La tuerie de l'École polytechnique est une tuerie antiféministe en milieu scolaire qui a eu lieu le 6 décembre 1989 à l'École polytechnique de Montréal, au Québec (Canada). Marc Lépine (né Gamil Gharbi), âgé de vingt-cinq ans, ouvre le feu sur vingt-huit personnes, tuant quatorze femmes et blessant treize autres personnes (9 femmes et 4 hommes)[1], avant de se suicider. Ce féminicide de masse est perpétré en moins de vingt minutes à l'aide d'une carabine obtenue légalement. Il s'agit de la tuerie en milieu scolaire la plus meurtrière de l'histoire du Canada.
ellauri102.html on line 431: Il demande ensuite aux femmes restantes si elles savent ou non pourquoi elles sont là, et lorsqu'une d'elles répond « non », il réplique : « Je combats le féminisme. » L'étudiante Nathalie Provost répond :
ellauri102.html on line 433: « Écoutez, nous sommes juste des femmes étudiant l'ingénierie, pas forcément des féministes prêtes à marcher dans les rues criant que nous sommes contre les hommes, juste des étudiantes cherchant à mener une vie normale. »
ellauri102.html on line 437: « Vous êtes des femmes, vous allez devenir des ingénieures. Vous n'êtes toutes qu'un tas de féministes, je hais les féministes. »
ellauri109.html on line 423: [...] Je doute que les femmes vaillent les hommes ; la laideur de ceux-ci ajoute beaucoup comme Art. [...] Puisque nous causons de bardaches, voici ce que j’en sais. Ici, c’est très bien porté. On avoue sa sodomie et on en parle à table d’hôte.
ellauri109.html on line 445: Et puis je commence à m’indigner de tes titres : Poème de la femme ; Ce qui est dans le cœur des femmes ; Deux femmes célèbres ; Deux mois d'émotion. Mais saperlotte, tu vaux mieux que ça ! Tu te dégrades par l’enseigne.
ellauri109.html on line 449: Lamartine (1790-1869), bête noire, permet de détourner en partie et de crypter la critique virulente que Flaubert adresse à l’écriture femelle. Lamartine, auteur féminin entre toutes les femmes, permet à Flaubert de poursuivre sa guerre misogyne. Le procès que Flaubert intente à la poésie du premier romantisme se fonde donc massivement sur la haine du féminin.
ellauri118.html on line 824: La Princesse de Clèves témoigne également du rôle important joué par les femmes en littérature et dans la vie culturelle du XVIIe siècle, marquée par le courant de la préciosité. Madame de La Fayette avait fréquenté avant son mariage le salon de la marquise de Rambouillet et, comme son amie Madame de Sévigné, faisait partie du cercle littéraire de Madeleine de Scudéry, dont elle admirait les œuvres.
ellauri145.html on line 445: J´ai tout touché : le feu, les femmes, et les pommes ; Mä oon kosketellut kaikkea: tulta, naisia ja omppuja;
ellauri172.html on line 550: En ces sortes de repas découronnés de femmes, les hommes les plus polis et les mieux élevés perdent de leur charme de politesse et de leur distinction naturelle ; et quoi d’étonnant ?… Ils n’ont plus la galerie à laquelle ils veulent plaire, et ils contractent immédiatement quelque chose de sans-gêne, qui devient grossier au moindre attouchement, au moindre choc des esprits les uns par les autres. L’égoïsme, l’inexilable égoïsme, que l’art du monde est de voiler sous des formes aimables, met bientôt les coudes sur la table, en attendant qu’il vous les mette dans les côtés.
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 590: Nous on a ete de "mauvais sujets", mais, il y avait des choses, — pas beaucoup ! mais enfin il y en avait bien une ou deux, dont, si démons que nous fussions, nous n’aurions pas été capables, comme par exemples donner du cul. Mais, lui (prétendait-on), il était capable de tout. Ils l’accusaient de servilité avec les chefs et de basse ambition. Ils allèrent même jusqu’à le soupçonner d’espionnage. Il était aussi à la fois heureux au jeu et heureux en femmes ; ce qui n’est pas l’usage non plus. Rumat miehet ovat yhtä mustasukkaisia könsikkäille kuin rumat naiset.
ellauri172.html on line 594: Puisqu’elle s’était donnée à lui, elle pouvait bien se donner à un autre, et, ma foi ! tout le monde pouvait être cet autre-là ! En un temps fort court, au 8e dragons, on sut combien il y avait peu d’audace dans cette espérance. Pour tous ceux qui ont le flair de la femme, et qui en respirent la vraie odeur à travers tous les voiles blancs et parfumés de vertu dans lesquels elle s’entortille, la Rosalba fut reconnue tout de suite pour la plus corrompue des femmes corrompues, — dans le mal, une perfection!
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri192.html on line 237: Dans les yeux des enfants et dans la voix des femmes ; lasten silmissä ja naisten äänissä;
ellauri210.html on line 1344: Gisèle Prassinos también nos ha dejado unas buenas dosis de personajes desordenados, donde afloran ciertas desviaciones. En ese “collage” entre cuentos de hadas y aromas baudelerianos, la autora jugará sobre todo con la metamorfosis, así sus mujeres “pseudo-femmes castratrices” se transforman en animales o en seres extraños, fantásticos. Prassinos ataca a los mitos del psicoanálisis, muestra imágenes híbridas, animales que se convierten en hombre, objetos que se convierten en animales, etc. Destaca la hostilidad hacia la figura autoritaria del padre. Nos habla de venganzas mediante el asesinato, los cuerpos difuntos son despedazados o transformados, dejando traslucir sentimientos intensos, donde se perfila la imagen de la muerte y se exorciza el miedo. La misma autora confesaba en una entrevista personal la distancia que había entre ella y su padre, destacando la importancia que tiene la figura masculina en las culturas orientales, sensación que refleja en el cuento “La Tête” (op. cit., 1987): “Lucas vit qu’entre elle et son père s’ouvrait un écart plus large que ceux qui séparaient les autres personnes”.
ellauri264.html on line 90: Les Loups firent une apparition inattendue aux États-Unis en décembre 1924, grâce au Yiddish Art Theater de New York fondé et dirigé par Maurice Schwartz. Ce fut la première pièce de Rolland jouée aux États-Unis. Vingt ans auparavant, Rolland avait offert son drame aux théâtres de New York, qui l’avaient refusé, en lui répondant : « Impossible ! Il n’y a pas de femmes. Ce n’est pas une pièce de théâtre."
ellauri266.html on line 462: Les prisonniers sont mis dans des chariots et conduits à une maison où les chasseurs sont attendus par leurs femmes venant admirer l’œuvre de leurs maris4. Les morts sont exposés aux regards admiratifs des guenons et les vivants sont conduits dans des chariots vers la capitale pour servir de cobaye dans des recherches scientifiques. Sur place, le narrateur est mis dans une cage individuelle située en face de la cage de Nova que surveillent deux gorilles appelés Zanam et Zoram. Voulant attirer leur attention sur sa différence, le narrateur les remercie avec amabilité. Surpris, les deux gorilles avertissent leur supérieur, un chimpanzé femelle appelée Zira. Intriguée par ce cas, la guenon avertit son supérieur : un vieil orang-outan, qui fait subir au narrateur plusieurs tests de conditionnement pour s’assurer de son intelligence. Étonné par les résultats obtenus, le vieillard, appelé Zaïus, reste cependant convaincu qu´il s´agit d´un cas d´humain dressé et non d´un humain conscient et intelligent. Il en informe un autre collègue, puis décident de faire subir au narrateur le même test d’accouplement qu´aux autres cobayes. Il lui choisit comme partenaire Nova.
ellauri365.html on line 79: Naiset katselivat, istuen pehmeästi, Les femmes regardaient, assises mollement,
ellauri365.html on line 104: Ja naiset menivät vakavina, päät alaspäin, ja Et les femmes allaient, graves, le front penché,
ellauri365.html on line 249: « Ce soir dans un atelier de la rue de Fleurus, le jeune Maupassant fait représenter une pièce obscène de sa composition, intitulée FEUILLE DE ROSE et joué par lui et ses amis. C'est lugubre, ces jeunes hommes travestis en femmes, avec la peinture sur leurs maillots d'un large sexe entrebâillé ; et je ne sais quelle répulsion vous vient involontairement pour ces comédiens s'attouchant et faisant entre eux le simulacre de la gymnastique d'amour. L'ouverture de la pièce, c'est un jeune séminariste qui lave des capotes. Il y a au milieu une danse d'almées sous l'érection d'un phallus monumental et la pièce se termine par une branlade presque nature. Je me demandais de quelle absence de pudeur naturelle il fallait être doué pour mimer cela devant un public, tout en m'efforçant de dissimuler mon dégoût, qui aurait pu paraître singulier de la part de l'auteur de LA FILLE ELISA. Le monstrueux, c'est que le père de l'auteur, le père de Maupassant, assistait à la représentation. Cinq ou six femmes, entre autres la blonde Valtesse, se trouvaient là, mais riant du bout des lèvres par contenance, mais gênées par la trop grande ordure de la chose. Lagier elle-même ne restait pas jusqu'à la fin de la représentation. Le lendemain, Flaubert, parlant de la représentation avec enthousiasme, trouvait, pour la caractériser, la phrase : « Oui, c'est très frais ! » Frais pour cette salauderie, c'est vraiment une trouvaille. »
xxx/ellauri057.html on line 927: En avril 1977, lors d'un entretien avec son ami Federico Fellini, il avoue sur le ton de la boutade avoir effectué un petit calcul et être arrivé à un total de 10 000 femmes depuis l'âge de treize ans et demi, dont 8 000 étaient des prostituées.
xxx/ellauri123.html on line 810: 3. Homme très hardi et entreprenant avec les femmes. Thanks! ❤
xxx/ellauri128.html on line 181: Madame de Staël (/stal/) ou bien Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, était une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 1817. Issue d´une famille de protestants valdo-genevois richissimes, fille du ministre des finances de Louis XVI Jacques Necker, elle est élevée dans un milieu de gens de lettres. Elle épouse, en 1786, le baron Erik Magnus Staël von Holstein, ambassadeur du roi Gustave III de Suède auprès de la cour de France à Versailles. Le couple se séparera en 1800. Devenue baronne de Staël, elle mène une vie sentimentale agitée et entretient en particulier une relation orageuse avec Benjamin Constant, écrivain et homme politique franco-vaudois rencontré en 1794. Entretemps, sa réputation littéraire et intellectuelle s´est affirmée grâce à trois essais philosophiques que sont les Lettres sur les ouvrages et le caractère de Jean-Jacques Rousseau (1788), De l´influence des passions sur le bonheur de l´individu et des nations (1796) et De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (1800). Favorable à la Révolution française et aux idéaux de 1789 au debut, elle adopte une position critique dès 1791 et ses idées d´une monarchie constitutionnelle la font considérer comme une opposante gênante par les maîtres de la révolution. Malgré le statut de diplomate de son mari, elle doit se réfugier auprès de son père en Suisse à plusieurs reprises. Interdite de séjour sur le sol français par Napoléon Bonaparte qui la considère comme un obstacle à sa politique, elle s´installe en Suisse dans le château familial de Coppet qui sert de lieu principal de rencontres au groupe du même nom, et d´où elle fait paraître Delphine (1802), Corinne ou l´Italie (1807) et De l´Allemagne (1810/1813b). Ses œuvres fictionnelles majeures, dans lesquelles elle représente des femmes victimes des contraintes sociales qui les enchaînent, sont Delphine (1802) et Corinne ou l´Italie (1807).
xxx/ellauri139.html on line 1081: Assassin romantique (beaucoup de femmes assistent au procès), il avoue tout avec cynisme et désinvolture et implique ses deux complices Avril et François, considérant qu'ils l'ont dénoncé et que tous les trois méritent la mort. Son avocat commis d'office, Maitre Brochant de Villiers, plaide la folie, en vain.
xxx/ellauri173.html on line 177: ― Et des illustres femmes, de Sémiramis à Catherine d’Alfendelh, de Thalestris à Jeanne d’Arc, de Zénobie à Christine de Suède ?
xxx/ellauri173.html on line 186: Et les portraits de toutes les belles femmes, depuis Vénus, Europe, Psyché, Dalila, Rahel, Judith, Cléopâtre, Aspasie, Freya, Maneka, Thaïs, Akëdysséril, Roxelane, Balkis, Phryné, Circé, Déjanire, Hélène, etc, jusqu’à la belle Paule ! jusqu’à la Grecque voilée par la loi ! jusqu’à lady Emma Harte Hamilton ! (Täähän mulla on. Paule de Viguier oli ranskalainen aatelissynty ja Fontervillen paronitar vuoteen 1533 mennessä. Maalari Henri Rachou teki hänet tunnetuksi La Belle Paule -maalauksen aiheena, joka sijaitsee tänään Capitole de Toulouse -huoneustossa.)
xxx/ellauri173.html on line 200: Il sortait de son aspect cette impression que la plupart des femmes devaient, à sa vue, se sentir comme devant l’un de leurs plus séduisants dieux. Muze oli suruinen, koska sen panopuu oli muuten hyvä mutta huonoluonteinen. Adjustoiden lornjettiaan tai kenties monokkeliaan se sanoi: Comme le dit Wieland, en son Peregrinus Protée : « Il n’y a point de hasard : nous devions nous rencontrer ― et nous nous sommes rencontrés.»
xxx/ellauri173.html on line 440: ou si les femmes dont tu gloses
xxx/ellauri178.html on line 39:

Les surhommes, surfemmes et surpetits garcons (Bataille).


xxx/ellauri202.html on line 216: Les relations de France avec les femmes sont difficiles. Ainsi a-t-il, dans les années 1860, nourri un amour vain pour Elisa Rauline, puis pour Élise Devoyod.
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