ellauri014.html on line 622: Chaque fois que deux époux s’unissent par un nœud solennel, il intervient un engagement tacite de tout le genre humain de respecter ce lien sacré, d’honorer en eux l’union conjugale ; et c’est, ce me semble, une raison très forte contre les mariages clandestins, qui, n’offrant nul signe de cette union, exposent des cœurs innocents à brûler d’une flamme adultère. Le public est en quelque sorte garant d’une convention passée en sa présence, et l’on peut dire que l’honneur d’une femme pudique est sous la protection spéciale de tous les gens de bien. Ainsi, quiconque ose la corrompre pèche, premièrement parce qu’il la fait pécher, et qu’on partage toujours les crimes qu’on fait commettre ; il pèche encore directement lui-même, parce qu’il viole la foi publique et sacrée du mariage, sans lequel rien ne peut subsister dans l’ordre légitime des choses humaines.
ellauri014.html on line 775: On les prend dans quelque famille nombreuse et surchargée d'enfants dont les pères et mères viennent les offrir eux-mèmes. On les choisit jeunes, bien faits, de bonne santé, et d'une physionomie agréable. M. de Wolmar les interroge, les examine, pus les présente a sa femme.
ellauri014.html on line 1037: « Milord, me dit-il, en me donnant le saint nom d’ami, vous m’apprîtes à le porter. J’ai rempli la fonction dont vous m’avez chargé ; et vous voyant prêt à vous oublier, j’ai dû vous rappeler à vous-même. Vous n’avez pu rompre une chaîne que par une autre. Toutes deux étaient indignes de vous. S’il n’eût été question que d’un mariage inégal, je vous aurais dit : Songez que vous êtes pair d’Angleterre, et renoncez aux honneurs du monde, ou respectez l’opinion. Mais un mariage abject !… vous !… Choisissez mieux votre épouse. Ce n’est pas assez qu’elle soit vertueuse, elle doit être sans tache… La femme d’Edouard Bomston n’est pas facile à
ellauri021.html on line 134: Tu nun canusce 'e ffemmene, Hän ei ole vuosiltaan
ellauri021.html on line 149: Tu nun canusce 'e ffemmene, Oppi kujallansa hän
ellauri033.html on line 318: corporellemcnt la femme ». Il y a chez tout homme un ange et une bête ;
ellauri036.html on line 307: Tressaillant tout à coup comme une femme enceinte,
ellauri036.html on line 430: Un enfant de quinze ans, — presque une jeune femme;
ellauri036.html on line 461: Quelle est donc cette femme assise à ton chevet,
ellauri036.html on line 474: À qui donc ce manteau que cette femme essuie ?
ellauri036.html on line 480: Cette femme n'est pas ta mère, assurément.
ellauri036.html on line 481: Silence! on a parlé. Des femmes inconnues
ellauri036.html on line 492: Tout repose, tout dort; — cette femme est ta mère.
ellauri036.html on line 536: Quinze ans! —l'âge où la femme, au jour de sa naissance,
ellauri036.html on line 567: Et cette femme, Cet être misérable, un brin d'herbe, un enfant,
ellauri036.html on line 608: Vous ne la plaignez pas, vous, femmes de ce monde!
ellauri036.html on line 681: Ô femme! étrange objet de joie et de supplice!
ellauri036.html on line 915: Je ne sais ce qu'avait cette femme endormie
ellauri037.html on line 521: Paremmalla syyllä kuin kauniixi vois naisia sanoa epäesteettisexi sukupuolexi. Niillä ei ole tajua eikä vastaanottokykyä kaunotaiteille, kuten musiikille, runoille tai kuvataiteille, kazovat vaan kun lehmä uutta veräjää, tai apinoivat miellyttämishalussaan jos ne niitä on harrastavinaan. Janne-Jaakko (Rusakko) sen jo sanoi: les femmes, en général, n’aiment aucun art, ne se connoissent à aucun, et n’ont aucun génie (lettre à d’Alembert, note x x). (Setämiehet haistaa kyllä toisensa ihan hännän alushajusta kuin koirat.) Jokainen joka kazoo huivin taa, huomaa kyllä sen. Ei tarvize kuin kazoa mihin naaraat keskittyy konsäärissä, uupperassa tai tiiatterissa (miekkoset keskittyy tietysti selvittämään juuri tän). Esim kazo niiden lapsellista hälinää, kun ne (miesten) suurenmoisten mestariteosten kauneimpien kohtien aikanakin jatkaa lätinää. Jos krekut ei tosiaan päästäneet naisenpuolikkaita kazomoon, ne teki siinä oikein; ainakin pystyi niiden teattereissa sentään jotain kuulemaan. (Jääkiekko- ja futismazeissakin liikuttaa miesyleisön rikkumaton hiljaisuus.)
ellauri049.html on line 486: Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux… ja mä jäin, kuin nainen polvilteen... ;)
ellauri049.html on line 659: ou si les femmes dont tu gloses ob nicht, die du besprichst, die Fraun, der losen josko vallan naiset joista mussutat
ellauri049.html on line 686: Et ni la jeune femme allaitant son enfant. eikä nuori nainen joka imettää lastaan.
ellauri051.html on line 3250: Une femme lui ressemblant yx nainen vähän saman näköinen
ellauri051.html on line 3262: Sa femme attendait qu’il revînt sen vaimo odotti sen paluuta
ellauri051.html on line 3295: Avec la femme qui s’éloigne etääntyvän naisen kaa
ellauri055.html on line 90: Zweig de son côté, éprouve les mêmes sentiments. En 1935, il écrit à sa femme Friderike :
ellauri055.html on line 109: Il faut cependant noter que les décisions de la Maison Universelle de Justice, ainsi que les exégèses des écrits sacrés faites par ʿAbd-al-Bahāʾ et Shoghi Effendi, bénéficient d’une autorité s’imposant à tous les baha’is. Ce qui a conduit depuis les années 1980-1990 à ce que plusieurs intellectuels et universitaires, historiens ou sociologues, soient chassés de la communauté baha’ie pour leurs vues jugées divergentes sur des questions-clefs (l’exclusion des femmes de la Maison universelle de justice ; l’obligation de soumettre toute publication, même universitaire, à un comité de censure ; l’homosexualité ; un système électoral qui favorise les sortants ; l’interdiction de participer à un parti politique ou d’adhérer à une organisation comme Amnesty International, etc., et surtout le sujet central de l’infaillibilité des institutions).
ellauri055.html on line 111: Égalité de l’homme et de la femme, mais avec cependant des exceptions à cette règle. La principale exception, depuis l’arrêt du soutien de la bigamie, est l’inéligibilité des femmes comme membres de la Maison Universelle de Justice.
ellauri055.html on line 131: les relations sexuelles sont permises seulement entre mari et femme;
ellauri055.html on line 144: Le mariage baha’i est l’union d’un homme et d’une femme. Originellement la bigamie était autorisée mais cette licence disparut sous Shoghi Effendi.
ellauri055.html on line 1161: Sur les femmes
ellauri102.html on line 429: La tuerie de l'École polytechnique est une tuerie antiféministe en milieu scolaire qui a eu lieu le 6 décembre 1989 à l'École polytechnique de Montréal, au Québec (Canada). Marc Lépine (né Gamil Gharbi), âgé de vingt-cinq ans, ouvre le feu sur vingt-huit personnes, tuant quatorze femmes et blessant treize autres personnes (9 femmes et 4 hommes)[1], avant de se suicider. Ce féminicide de masse est perpétré en moins de vingt minutes à l'aide d'une carabine obtenue légalement. Il s'agit de la tuerie en milieu scolaire la plus meurtrière de l'histoire du Canada.
ellauri102.html on line 431: Il demande ensuite aux femmes restantes si elles savent ou non pourquoi elles sont là, et lorsqu'une d'elles répond « non », il réplique : « Je combats le féminisme. » L'étudiante Nathalie Provost répond :
ellauri102.html on line 433: « Écoutez, nous sommes juste des femmes étudiant l'ingénierie, pas forcément des féministes prêtes à marcher dans les rues criant que nous sommes contre les hommes, juste des étudiantes cherchant à mener une vie normale. »
ellauri102.html on line 437: « Vous êtes des femmes, vous allez devenir des ingénieures. Vous n'êtes toutes qu'un tas de féministes, je hais les féministes. »
ellauri109.html on line 423: [...] Je doute que les femmes vaillent les hommes ; la laideur de ceux-ci ajoute beaucoup comme Art. [...] Puisque nous causons de bardaches, voici ce que j’en sais. Ici, c’est très bien porté. On avoue sa sodomie et on en parle à table d’hôte.
ellauri109.html on line 441: Une première rupture avec Louise Colet en apporte la preuve. Dans sa lettre datée du dimanche 7 mars 1847, Flaubert ose enfin clamer à quel point il est allergique32 aux valeurs qu’elle véhicule, valeurs qui baignent et macèrent dans le discours ambiant du romantisme humanitaire33 : « tes idées de moralité, de patrie, de dévouement, tes goûts en littérature, tout cela était antipathique à mes idées, à mes goûts. »34 Ce qui vient immédiatement après est l’affirmation d’une esthétique, sur le mode de l’antithèse : « amoureux exclusif de la ligne pure, du galbe saillant, de la couleur criante, de la note sonore, je retrouvais toujours chez toi je ne sais quel ton noyé de sentiment qui atténuait tout, et altérait jusqu'à ton esprit ». Voilà les griefs d’un amant qui ne sépare pas l’art de la vie. Le lexique sentimental se trouve accaparé par le commentaire stylistique : « amoureux exclusif », écrit Flaubert, non pas d’une femme, comme Louise, elle, le voudrait, mais du tracé ferme, il lui reproche son « ton noyé de sentiment » qu’il interprète comme une déperdition de force et de précision. De même, les muscles relâchés, les lignes floues et les déliaisons trahissent le corps du texte féminin.
ellauri109.html on line 445: Et puis je commence à m’indigner de tes titres : Poème de la femme ; Ce qui est dans le cœur des femmes ; Deux femmes célèbres ; Deux mois d'émotion. Mais saperlotte, tu vaux mieux que ça ! Tu te dégrades par l’enseigne.
ellauri109.html on line 447: Le roman flaubertien se donne pour mission de mesurer la catastrophe produite, sur une femme sensible et oisive, par les rêves venus des poètes languissants.
ellauri109.html on line 449: Lamartine (1790-1869), bête noire, permet de détourner en partie et de crypter la critique virulente que Flaubert adresse à l’écriture femelle. Lamartine, auteur féminin entre toutes les femmes, permet à Flaubert de poursuivre sa guerre misogyne. Le procès que Flaubert intente à la poésie du premier romantisme se fonde donc massivement sur la haine du féminin.
ellauri118.html on line 593: Une femme qui s’était imposé de si grands sacrifices pouvait bien se passer des fantaisies. (MB, 217)
ellauri118.html on line 824: La Princesse de Clèves témoigne également du rôle important joué par les femmes en littérature et dans la vie culturelle du XVIIe siècle, marquée par le courant de la préciosité. Madame de La Fayette avait fréquenté avant son mariage le salon de la marquise de Rambouillet et, comme son amie Madame de Sévigné, faisait partie du cercle littéraire de Madeleine de Scudéry, dont elle admirait les œuvres.
ellauri118.html on line 875: Il n´y a point de femme que le soin de sa parure n´empêche de songer à son amant; qu´elles en sont entièrement occupées; que ce soin de se parer est pour tout le monde, aussi bien que pour celui qu´elles aiment; que lorsqu´elles sont au bal, elles veulent plaire à tous ceux qui les regardent; que, quand elles sont contentes de leur beauté, elles en ont une joie dont leur amant ne fait pas la plus grande partie.
ellauri144.html on line 608: nombreux désagréments, car sa femme est devenue une militante virulente de la
ellauri144.html on line 620: (1864-1934). Une amitié sincère naît de la rencontre avec cette jeune femme.
ellauri145.html on line 445: J´ai tout touché : le feu, les femmes, et les pommes ; Mä oon kosketellut kaikkea: tulta, naisia ja omppuja;
ellauri145.html on line 977: Je ne suis sûr que de ma femme, En ole varma kuin omasta naisesta,
ellauri146.html on line 52: 1833 heiratete er die 10 Jahre ältere Louise Christiane Clostermeier, aber die Ehe erwies sich schnell als unglücklich. 1834 gab er sein Amt auf. Er reiste über Frankfurt am Main, wo er sich mit seinem Verleger überwarf, nach Düsseldorf. Dort hatte er sein Wohnhaus auf der Bolkerstraße 6. Der heutige Nachkriegsbau in der Ritterstraße 21 zeigt eine Steintafel, die auf seinen damaligen Aufenthalt hinweist: „In diesem Hause Litt und Stritt der Dichter Chr. Dietr. Grabbe 1834 bis 1836“. Dort arbeitete er mit Karl Immermann, den er 1831 kennengelernt hatte, an dem von diesem erneuerten Stadttheater. Doch auch diese Zusammenarbeit dauerte wegen der Depressivität und der Alkoholexzesse Grabbes nicht lange. 1836 kehrte er noch einmal nach Detmold zurück; seine Frau reichte die Scheidung ein. Noch im selben Jahr starb Grabbe in seiner Geburtsstadt an Rückenmarksschwindsucht, totalement épuisé par l'alcoolisme, aupres sa femme, le seul être qui soit resté disposé à l'accueillir. LOL.
ellauri146.html on line 515: N’avait pour aliment que l’amour d’une femme, Sai ravintoa yxinomaan naisesta,
ellauri150.html on line 273: Mais Colette était trop fine pour ne pas sentir qu’avec Christophe toutes ses grâces étaient perdues, et trop souple pour ne pas s’adapter instantanément à ses façons d’être. Elle n’avait même pas besoin de s’appliquer pour cela. C’était un instinct de sa nature. Elle était femme. Elle était comme une onde sans forme. Toutes les âmes qu’elle rencontrait lui étaient comme des vases, dont, par curiosité, par besoin, sur-le-champ, elle épousait les formes. Pour être, il fallait toujours qu’elle fût un autre. Toute sa personnalité, c’était qu’elle ne le restait pas. Elle changeait de vases, souvent.
ellauri152.html on line 87: Berthe Clorine Jeanne Le Barillier (parfois orthographiée Berthe Clorinne Jeanne Le Barillier ou même Berthe Corinne Jeanne Le Barillier, sans doute par une suite d'erreurs de recopiage orthographique erroné dans les divers ouvrages où elle est citée), née à Bordeaux le 24 juillet 1858 et morte au Cannet le 24 janvier 1927, est une femme de lettres française. Takkutukkainen naisoletettu, rekkalesbon näköinen. Väsäs paljon sinisukkajuttuja, mm. Heloisesta ja Abelardista. Takuulla ei kääntänyt mitään kreikasta. Son œuvre, si elle est assez largement tombée dans l'oubli, est servie par un style sobre et une documentation toujours très solide. La part la plus consistante de son œuvre est probablement celle consacrée à l'antiquité romaine. Elle batit une maison à proximité immédiate de l'Hermitage de Jean-Jacques Rousseau, un écrivain qu'elle admirait et dont elle voulait se rapprocher. Mit vit JJ oli kuollut jo aikapäiviä?? Ja aika misogyyni kaiken kukkuraxi. Näitä vale-uudelleen
ellauri162.html on line 148: L´évolution de son antisémitisme est toujours débattue. Bernanos rend hommage à Édouard Drumont, avec lequel il partage sa détestation de la bourgeoisie, mais aussi l´association des juifs à la finance, aux banques, au pouvoir de l’argent au détriment du peuple, un thème qui fait florès dans la France de cette époque et qui suscite des propos antisémites de l´écrivain. Bernanos, qui a fait la guerre de 1914-1918, fustige aussi un patriotisme perverti qui humilie l´ennemi allemand dans la défaite au lieu de le respecter, trahissant ainsi l´honneur de ceux qui ont combattu et hypothéquant l´avenir. Täähän kuulostaa suorastaan Ezra Poundilta. «Les juifs traînent nonchalamment sur les colonnes de chiffres et les cotes un regard de biche en amour » ou « ces bonshommes étranges qui parlent avec leurs mains comme des singes ». J’aimerais mieux être fouetté par le rabbin d’Alger que faire souffrir une femme ou un enfant juif ». Juutalaiset kiistelevat vieläkin oliko Ykä hyvis vaiko pahis.
ellauri164.html on line 354: Or, Mme Frola affirme de son côté que son beau-fils n'a pas reconnu sa femme après un séjour dans un asile psychiatrique. Un deuxième mariage avec la même femme a alors été fait pour le calmer.
ellauri172.html on line 142: Pariisilaisrunoissa Jorin silmiin osui tämä syvällinen naisen määritelmä: eternel feminin de l'eternel jocrisse. Ikuisen aisankannattajan ikuinen naispuolisuus. Siis mitä? Nyöleen panee potin nokkiin: Iänikuisen tolvanan lähtemätön naisen luonne. "Säe on vaikeasti avautuva." No tässä mennään taas kuin Zolan lukkari. Le dégoût, la haine de la femme le firent jurer comme un charretier.
ellauri172.html on line 550: En ces sortes de repas découronnés de femmes, les hommes les plus polis et les mieux élevés perdent de leur charme de politesse et de leur distinction naturelle ; et quoi d’étonnant ?… Ils n’ont plus la galerie à laquelle ils veulent plaire, et ils contractent immédiatement quelque chose de sans-gêne, qui devient grossier au moindre attouchement, au moindre choc des esprits les uns par les autres. L’égoïsme, l’inexilable égoïsme, que l’art du monde est de voiler sous des formes aimables, met bientôt les coudes sur la table, en attendant qu’il vous les mette dans les côtés.
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 570: Mais non, — cria-t-il, — tonnerre de tonnerres ! c’est impossible ! Voyez-vous, vous autres, le chef d’escadron Mesnilgrand à confesse, comme une vieille bonne femme, à deux genoux sur le strapontin, le nez au guichet, dans la guérite d’un prêtre ? Voilà un spectacle qui ne m’entrera jamais dans le crâne ! Trente mille balles plutôt. — Mille bombes ! — fit Capitain Haddock, exalté.
ellauri172.html on line 581: Ce major Ydow, ce diable d’homme, avec cette femme en sautoir… Il n’était pas Français, à ce qu’il paraît. . Ce n’est pas tant pis pour la France. Il était né je ne sais où et de je ne sais qui, en Illyrie ou en Bohême, je ne suis pas bien sûr…
ellauri172.html on line 590: Nous on a ete de "mauvais sujets", mais, il y avait des choses, — pas beaucoup ! mais enfin il y en avait bien une ou deux, dont, si démons que nous fussions, nous n’aurions pas été capables, comme par exemples donner du cul. Mais, lui (prétendait-on), il était capable de tout. Ils l’accusaient de servilité avec les chefs et de basse ambition. Ils allèrent même jusqu’à le soupçonner d’espionnage. Il était aussi à la fois heureux au jeu et heureux en femmes ; ce qui n’est pas l’usage non plus. Rumat miehet ovat yhtä mustasukkaisia könsikkäille kuin rumat naiset.
ellauri172.html on line 592: No mutta mitähän hirmu pahaa se sitten oli tehnyt kysyi porthosmainen Ranconnet. Restel dans le rang, älä keskeytä! Tulen ihan kohta siihen. Nimittäin kaikki oli taas kerran sen ämmän vika! Mais une femme, c’est l’aimant du diable ! Il y a une proportion d’arithmétique morale, écrite, avant qu’elle le fût par un philosophe sur du papier, dans la poitrine de tous les hommes, comme un encouragement du Démon : « c’est qu’il y a plus loin d’une femme à son premier amant, que de son premier au dixième! Vittu tää Barney on läpimätä!
ellauri172.html on line 594: Puisqu’elle s’était donnée à lui, elle pouvait bien se donner à un autre, et, ma foi ! tout le monde pouvait être cet autre-là ! En un temps fort court, au 8e dragons, on sut combien il y avait peu d’audace dans cette espérance. Pour tous ceux qui ont le flair de la femme, et qui en respirent la vraie odeur à travers tous les voiles blancs et parfumés de vertu dans lesquels elle s’entortille, la Rosalba fut reconnue tout de suite pour la plus corrompue des femmes corrompues, — dans le mal, une perfection!
ellauri172.html on line 606: Qui donc a dit — ce doit être un Anglais — que le monde est l’œuvre du Diable, devenu fou ? C’était sûrement ce Diable-là qui, dans un accès de folie, avait créé la Rosalba, pour se faire le plaisir… du Diable, de fricasser, l’une après l’autre, la volupté dans la pudeur et la pudeur dans la volupté, et de pimenter, avec un condiment céleste, le ragoût infernal des jouissances qu’une femme puisse donner à des hommes mortels.
ellauri172.html on line 608: La Rosalba était pudique comme elle était voluptueuse, et le plus extraordinaire, c’est qu’elle l’était en même temps. Quand elle disait ou faisait les choses les plus… osées, elle avait d’adorables manières de dire : « J’ai honte ! » que j’entends encore. Phénomène inouï ! Elle fût sortie d’une orgie de bacchantes, comme l’Innocence de son premier péché. Jusque dans la femme vaincue, pâmée, à demi morte, on retrouvait la vierge confuse, avec la grâce toujours fraîche de ses troubles et le charme auroral de ses rougeurs… (Vizi tää hemmo on aika sick. Mutta se on just kuten Huismanni totesi: pyllistely tuntuu vielä rotevammalta kun pyllyn takana kyttää kiivas Jehova piiska handussa. Niin varmaan junioriapinastakin joka pääsee salaa silverbäkin nartun vulvalle. Sisään vaan vaikkei seisokkaan!)
ellauri172.html on line 619: Par Dieu ! nous avons tous, Messieurs, connu de ces hommes assez fanatisés d’une femme pour croire en elle, quand tout l’accuse, et qui, au lieu de se venger quand la certitude absolue d’une trahison pénètre dans leur âme, préfèrent s’enfoncer dans leur bonheur lâche, et en tirer, comme une couverture par-dessus leur tête, l’ignominie !
ellauri172.html on line 639: — Elle n’a donc pas duré ? Tu sais donc, toi, ce que cette chienne de femme-là est devenue ? — fit Capitain Haddock, haletant d’intérêt excité, et oubliant pour une minute cette visite à l’église qui le tenait si dru.
ellauri172.html on line 643: La haine pour les Français gagnait du terrain, eikä ihme. Cette femme m’intéressait comme spectateur, et qui cachait les déportements du vice le plus impudent sous les déconcertements les plus charmants de l’innocence. Mä päinvastoin kätkin tän viattomuuteni tähän törkyupseerin valepukuun.
ellauri172.html on line 658: « Faut-il que je le répète jusqu’à satiété ? Certes ! je n’étais pas jaloux de cette femme : mais nous sommes tous les mêmes. Malgré moi, je voulus voir à qui elle écrivait, et, pour cela, ne m’étant pas assis encore, je m’inclinai par-dessus sa tête ; mais mon regard fut intercepté par l’entre-deux de ses épaules, par cette fente enivrante et duvetée où j’avais fait ruisseler tant de baisers, et, ma foi ! magnétisé par cette vue, j’en fis tomber un de plus dans ce ruisseau d’amour, et cette sensation l’empêcha d’écrire… Elle releva sa tête de la table où elle était penchée, comme si on lui eût piqué les reins d’une pointe de feu, se cambrant sur le dossier de son fauteuil, la tête renversée ; elle me regardait, dans ce mélange de désir et de confusion qui était son charme, les yeux en l’air et tournés vers moi, qui étais derrière elle, et qui fis descendre dans la rose mouillée de sa bouche entr’ouverte ce que je venais de faire tomber dans l’entre-deux de ses épaules.
ellauri172.html on line 662: « Oui, — reprit amèrement Mesnilgrand, — c’est encore là un des revenants-bons de l’adultère et du partage ! En ces moments-là, les plus fendants ne sont pas fiers, et, par générosité pour une femme épouvantée, ils deviennent aussi lâches qu’elle, et font cette lâcheté de se cacher. J’en ai, je crois, mal au cœur encore d’être entré dans ce placard, en uniforme et le sabre au côté, et, comble de ridicule ! pour une femme qui n’avait pas d’honneur à perdre et que je n’aimais pas !
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri172.html on line 692: Satan me donna la force d’enfoncer la porte du placard ou j'etsis cache et je vis… ce que je ne reverrai jamais ! La Pudica, terrassée, était tombée sur la table où elle avait écrit, et le major l’y retenait d’un poignet de fer, tous voiles relevés, son beau corps à nu, tordu, comme un serpent coupé, sous son étreinte. Mais que croyez-vous qu’il faisait de son autre main, Messieurs ?… Cette table à écrire, la bougie allumée, la cire à côté, toutes ces circonstances avaient donné au major une idée infernale, — l’idée de cacheter cette femme, comme elle avait cacheté sa lettre — et il était dans l’acharnement de ce monstrueux cachetage, de cette effroyable vengeance d’amant perversement jaloux !
ellauri172.html on line 706: « Il était, — reprit-il, — tombé mort sur le corps de sa femme évanouie. Je l’en arrachai, le jetai là, et poussai du pied son cadavre. Au cri que la Pudica avait jeté, à ce cri sorti comme d’une vulve de louve, tant il était sauvage ! et qui me vibrait encore dans les entrailles, une femme de chambre était montée. «
ellauri172.html on line 726: D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Tuntemattomasta naisesta, me rakastetaan toisiaan,
ellauri172.html on line 817: Valtaosa pappiromskuista käsittelee papin pippelöintiä. Huismanni oli oikeassa että papin kohdalla nimtuten tämä osa silverbäkin reviiristä on se kiperin. Ihmekös tuo kun katolliset ruuvaa irti papin kikkelin. No kyllä protestantitkin koittaa estää papin hevosia karkaamassa muihin talleihin. Siitä syntyy aika lailla misogyniaa, happamista marjoista. Le dégoût, la haine de la femme le firent jurer comme un charretier.
ellauri192.html on line 237: Dans les yeux des enfants et dans la voix des femmes ; lasten silmissä ja naisten äänissä;
ellauri203.html on line 208: Les premières années du mariage de Maximilien et de Marie sont heureuses et le couple donne le jour à une nombreuse progéniture. Cependant, les relations des deux époux se dégradent à partir de 1845, date à laquelle la grande-duchesse amorce une liaison avec le comte Grigori Alexandrovitch Stroganov. La plupart des historiens considèrent d'ailleurs que Maximilien n'est pas le véritable père des princes Eugène, Serge (ru) et Georges de Leuchtenberg, qui seraient en réalité les fils de Stroganov. De son côté, Maximilien n'est pas non plus un mari modèle: il multiplie, au contraire, les conquêtes féminines et s'adonne au jeu. En réalité, la vie en Russie pèse au prince, qui est humilié de n'y être que le mari de sa femme.
ellauri210.html on line 1122: Carrington was adopted as a femme-enfant by the Surrealists because of her rebelliousness against her upper-class upbringing. Carrington was interested in presenting female sexuality as she experienced it, rather than as that of male surrealists' characterization of female sexuality. Some of her works are still hanging at James' former family home, currently West Dean College in West Dean, West Sussex.
ellauri210.html on line 1136: Ses premiers poèmes écrits à quatorze ans furent aussitôt admirés par les surréalistes. Elle séduit André Breton et Paul Éluard par « le merveilleux de sa poésie et sa personnalité de femme-enfant. » Ils voient dans ses écrits « la véritable illustration du langage automatique par excellence ».


ellauri210.html on line 1144: Το 1934, ο αδερφός της Μάριο Πράσινος, παρουσίασε την δεκατετράχρονη αδερφή του στους σουρεαλιστές. Οι σουρεαλιστές ενθουσιάστηκαν μαζί της και εκτίμησαν τα γραπτά της ως πρόσθετα αποδεικτικά στοιχεία για ότι η αυτόματη γραφή εισπράττει από το ασυνείδητο. Ο Αντρέ Μπρετόν μάλιστα την σύγκρινε με το σουρεαλιστικό ιδεώδες της «γυναίκας-παιδί» (femme-enfant).
ellauri210.html on line 1167: Dès l'âge de quinze ans, Jean-Pierre Duprey compose ses premiers poèmes. Il part pour Paris en 1948 sur l'invitation d'André Breton et participe au mouvement surréaliste. Au cours de l'été 1948, il rencontre, en Normandie, Jacqueline Sénart qui deviendra sa femme et partagera sa vie jusqu'à la fin. Il figure sur les photographies du groupe surréaliste prises par Man Ray en 1953 au café de la place Blanche[réf. nécessaire]. Näistä Brétonin loppupään kirotuista oppilaista tulee vähän mieleen Jaakko Hintikka ja sen sekundaoppilaiden sukupolvet: L. Carlson, E. Saarinen, Mike Hand, Gabriel Sandu.
ellauri210.html on line 1320: Alejadas de la maternidad y de casi todo aquello que les da la entidad de mujer, tanto Mansour como Prassinos saben que la “femme-enfant” es algo más que un bello objeto para admirar. Estas autoras desarrollan un concepto de belleza, de sexo y género difuminados, donde entra en juego la noción de identidad y alteridad. Así mismo implica una idea de subversión femenina que se aleja definitivamente del concepto bretoniano de la mujer.
ellauri210.html on line 1344: Gisèle Prassinos también nos ha dejado unas buenas dosis de personajes desordenados, donde afloran ciertas desviaciones. En ese “collage” entre cuentos de hadas y aromas baudelerianos, la autora jugará sobre todo con la metamorfosis, así sus mujeres “pseudo-femmes castratrices” se transforman en animales o en seres extraños, fantásticos. Prassinos ataca a los mitos del psicoanálisis, muestra imágenes híbridas, animales que se convierten en hombre, objetos que se convierten en animales, etc. Destaca la hostilidad hacia la figura autoritaria del padre. Nos habla de venganzas mediante el asesinato, los cuerpos difuntos son despedazados o transformados, dejando traslucir sentimientos intensos, donde se perfila la imagen de la muerte y se exorciza el miedo. La misma autora confesaba en una entrevista personal la distancia que había entre ella y su padre, destacando la importancia que tiene la figura masculina en las culturas orientales, sensación que refleja en el cuento “La Tête” (op. cit., 1987): “Lucas vit qu’entre elle et son père s’ouvrait un écart plus large que ceux qui séparaient les autres personnes”.
ellauri221.html on line 85: Marthe Richer, dite Marthe Richard, épouse Crompton, née Betenfeld le 15 avril 1889 à Blâmont (Meurthe-et-Moselle) et morte le 9 février 1982 à Paris, est une prostituée, aviatrice, espionne et femme politique française.
ellauri256.html on line 358: The stormy affair between the legendary “singer of the revolution”, Vladimir Mayakovsky, and a “proponent of depravity”, Lilya Brik, lasted 15 years, until the poet's suicide in 1930. He devoted poems and hundreds of love letters to her. It was probably this affair that most of all contributed to her going down in history, yet it also left her with hundreds of enemies, who tried to erase any trace of her, even from documents. So, who exactly was this femme fatale?
ellauri264.html on line 90: Les Loups firent une apparition inattendue aux États-Unis en décembre 1924, grâce au Yiddish Art Theater de New York fondé et dirigé par Maurice Schwartz. Ce fut la première pièce de Rolland jouée aux États-Unis. Vingt ans auparavant, Rolland avait offert son drame aux théâtres de New York, qui l’avaient refusé, en lui répondant : « Impossible ! Il n’y a pas de femmes. Ce n’est pas une pièce de théâtre."
ellauri266.html on line 458: Ces traces appartiennent à une jeune femme qui, sans être gênée de sa nudité, s’approche d’eux avec méfiance2. Baptisée Nova, elle ne sait ni parler ni sourire et ses gestes ressemblent à ceux des animaux. Au moment où les quatre nagent dans l’eau, le chimpanzé Hector réapparaît mais il est soudain étranglé et tué par Nova dont le comportement animal choque le narrateur qui demeure, toutefois, soumis par la beauté physique de la sauvage. Le lendemain, Nova revient accompagnée de plusieurs hommes de sa tribu. Ces derniers ne parlent pas, ils hululent seulement. Irrités par les habits des trois aventuriers, les hommes de Soror ne tardent pas à les déchirer mais sans faire de mal aux aventuriers. Ils s’attaquent ensuite à la chaloupe qu’ils détruisent complètement après s´être adonnés à des enfantillages dans le lac sans prêter attention aux trois Terriens trop gênés par leur nudité. Conduits au campement, les trois aventuriers découvrent la vie primitive des humains de Soror. Nova leur donne à manger des fruits qui ressemblent à des bananes et se rapproche du narrateur avec qui elle passe la nuit.
ellauri266.html on line 462: Les prisonniers sont mis dans des chariots et conduits à une maison où les chasseurs sont attendus par leurs femmes venant admirer l’œuvre de leurs maris4. Les morts sont exposés aux regards admiratifs des guenons et les vivants sont conduits dans des chariots vers la capitale pour servir de cobaye dans des recherches scientifiques. Sur place, le narrateur est mis dans une cage individuelle située en face de la cage de Nova que surveillent deux gorilles appelés Zanam et Zoram. Voulant attirer leur attention sur sa différence, le narrateur les remercie avec amabilité. Surpris, les deux gorilles avertissent leur supérieur, un chimpanzé femelle appelée Zira. Intriguée par ce cas, la guenon avertit son supérieur : un vieil orang-outan, qui fait subir au narrateur plusieurs tests de conditionnement pour s’assurer de son intelligence. Étonné par les résultats obtenus, le vieillard, appelé Zaïus, reste cependant convaincu qu´il s´agit d´un cas d´humain dressé et non d´un humain conscient et intelligent. Il en informe un autre collègue, puis décident de faire subir au narrateur le même test d’accouplement qu´aux autres cobayes. Il lui choisit comme partenaire Nova.
ellauri317.html on line 316: Tout le mond savait que l´intérêt délibéré pour la femme de Pouchkine n´était qu´un écran derrière lequel le Français cachait des détails secrets de sa vie personnelle. Le terrain fertile pour de telles rumeurs était la relation entre d´Anthès et l’émissaire du roi hollandais, le baron Louis Heeckeren, qui avait adopté le jeune homme après son arrivée dans l´Empire russe. Quoi qu’il en soit, d´Anthès avait trop fortement harcelé Natalia et dépassé toutes les limites.
ellauri323.html on line 84: Zuleika Dobson – "vaikkakaan ei ehdottoman kaunis" - on edvardiaanisen aikakauden tuhoisan viehättävä nuori nainen, todellinen femme fatale, joka on ammatiltaan arvovaltainen entinen sirkustirehtööri. Zuleikan nykyinen ammatti (tosin mikä vielä tärkeämpää, hänen kiehtova kauneutensa) on tehnyt hänestä jonkinlaisen pienen julkkiksen, ja hän onnistuu pääsemään Oxfordin yliopiston etuoikeutettuun, vain miehistä koostuvaan alueeseen, koska hänen isoisänsä on Juudaksen Collegen vartija (perustuu Merton Collegeen, Beerbohmin alma materiin). Siellä hän rakastuu ensimmäistä kertaa elämässään Dorsetin herttuaan, snobi, emotionaalisesti irrallinen opiskelija, joka – turhautuneena siihen, ettei hän pysty hallitsemaan tunteitaan, kun hän näkee hänet – joutuu myöntämään, että hänkin on hänen ensimmäinen rakkautensa ja kosi häntä impulsiivisesti. Koska hän kuitenkin tuntee, ettei hän voi rakastaa ketään, ellei tämä ole läpäisemätön hänen viehätysvoimalleen, hän kuitenkin hylkää kaikki kosijansa ja tekee samoin hämmästyneen herttuan kanssa. Herttua huomaa nopeasti, että Noaks, Kerekekeks Koaks Koaks, toinen Oxford-opiskelija, väittää myös rakastuneensa häneen olematta koskaan edes ollut tekemisissä hänen kanssaan. Ilmeisesti miehet rakastuvat häneen heti nähdessään hänet. Ensimmäisenä, jolle hän on vastannut rakkautensa (miten vain lyhyeksikin ajaksi), herttua päättää tehdä itsemurhan symboloidakseen intohimoaan Zuleikaa kohtaan ja toivoo, että hän lisää tietoisuutta hänen lumoavan viehätyksensä kauheasta voimasta.
ellauri324.html on line 157: Dieu a-t-il créé le mal, qu'en pensez-vous ?Se peut-il que la terre soit en fait l'enfer? Irez-vous dans le monde entier proclamer la Bonne Nouvelle de Dieu, à toute la Création, qu’un Sauveur vous a été donné pour vous sauver de la mort éternelle? Est-ce que c'est bien de sortir avec une femme de 35 ans si j'ai 19 ans? Pourquoi le judaisme, pourtant apparu en premier, n'est pas arrivé à s'étendre dans le monde comme le christianisme ou l'islam ?
ellauri339.html on line 333: En hachant la femme et l'enfant. Leikkaamalla naisen ja lapsen.
ellauri353.html on line 223: Kamarineidon päiväkirja ( ranska: Le journal d'une femme de chambre, italia: Il diario di una cameriera ) on espanjalaissyntyisen elokuvantekijän Luis Buñuelin ohjaama draamaelokuva vuonna 1964. Pääosassa Jeanne Moreau on pariisilainen kamarineito, joka käyttää kehoaan ja aikoo sillä selviytyä perversiosta, korruptiosta ja väkivallasta, jonka hän kohtaa maakunnallisella kartanolla, jossa hän menee töihin. Vaikka se onkin erittäin satiirinen ja heijastaa hänen tyypillisiä porvaristonvastaisia tunteitaan, se on yksi Buñuelin realistisimmista elokuvista ja välttelee yleensä outoja surrealistisia kuvia ja kaukaa haettuja juonenkäänteitä, joita löytyy monista hänen muista teoksistaan. Se on jopa tylsempi kuin Renoirin vastaava.
ellauri365.html on line 79: Naiset katselivat, istuen pehmeästi, Les femmes regardaient, assises mollement,
ellauri365.html on line 104: Ja naiset menivät vakavina, päät alaspäin, ja Et les femmes allaient, graves, le front penché,
ellauri365.html on line 164: Tämä outo piina, johon nainen meidät heittää Cet étrange tourment où nous jette une femme
ellauri365.html on line 177: Tämä ylpeä ja rauhallinen nainen, jonka Cette femme orgueilleuse et calme, dont soudain
ellauri365.html on line 249: « Ce soir dans un atelier de la rue de Fleurus, le jeune Maupassant fait représenter une pièce obscène de sa composition, intitulée FEUILLE DE ROSE et joué par lui et ses amis. C'est lugubre, ces jeunes hommes travestis en femmes, avec la peinture sur leurs maillots d'un large sexe entrebâillé ; et je ne sais quelle répulsion vous vient involontairement pour ces comédiens s'attouchant et faisant entre eux le simulacre de la gymnastique d'amour. L'ouverture de la pièce, c'est un jeune séminariste qui lave des capotes. Il y a au milieu une danse d'almées sous l'érection d'un phallus monumental et la pièce se termine par une branlade presque nature. Je me demandais de quelle absence de pudeur naturelle il fallait être doué pour mimer cela devant un public, tout en m'efforçant de dissimuler mon dégoût, qui aurait pu paraître singulier de la part de l'auteur de LA FILLE ELISA. Le monstrueux, c'est que le père de l'auteur, le père de Maupassant, assistait à la représentation. Cinq ou six femmes, entre autres la blonde Valtesse, se trouvaient là, mais riant du bout des lèvres par contenance, mais gênées par la trop grande ordure de la chose. Lagier elle-même ne restait pas jusqu'à la fin de la représentation. Le lendemain, Flaubert, parlant de la représentation avec enthousiasme, trouvait, pour la caractériser, la phrase : « Oui, c'est très frais ! » Frais pour cette salauderie, c'est vraiment une trouvaille. »
ellauri386.html on line 84: Anna kiisti poliisietsinnän aiheuttaneen verenvuodon ja sanoi, että verenvuoto oli tapahtunut sen jälkeen, kun hänen miehensä oli etsinyt pudonnutta kynäpidikettä. Kun hän kuoli, hänen ruumiinsa asetettiin pöydälle venäläisen tavan mukaisesti. Dostojevskilla oli ensimmäinen tunnettu suhde Avdotja Jakovlevnaan, jonka hän tapasi Panajevin piirissä 1840-luvun alussa. Hän kuvaili häntä koulutetuksi, kirjallisuudesta kiinnostuneeksi ja femme fatale -naiseksi. Hän myönsi myöhemmin olleensa epävarma heidän suhteestaan. Anna Dostojevskajan muistelmien mukaan Dostojevski kysyi kerran sisarensa kälyltä Jelena Ivanovalta, menisikö tämä naimisiin hänen kanssaan toivoen voivansa korvata kuolettavasti sairaan miehensä tämän kuoleman jälkeen, mutta tämä hylkäsi hänen ehdotuksensa.
xxx/ellauri057.html on line 927: En avril 1977, lors d'un entretien avec son ami Federico Fellini, il avoue sur le ton de la boutade avoir effectué un petit calcul et être arrivé à un total de 10 000 femmes depuis l'âge de treize ans et demi, dont 8 000 étaient des prostituées.
xxx/ellauri057.html on line 939: En 1960, il préside le Festival de Cannes à l'issue duquel fut attribuée la Palme d'Or au film culte La Dolce Vita de Federico Fellini. En 1963, il s'installe à Épalinges, au nord de Lausanne, où il se fait construire une gigantesque maison. Sa femme Denise, qui sombre dans l'alcool et la dépression (comme sa fille Marie-Jo), quitte la maison, le laissant seul avec ses enfants.
xxx/ellauri123.html on line 810: 3. Homme très hardi et entreprenant avec les femmes. Thanks! ❤
xxx/ellauri126.html on line 473: La journaliste est la fille de l'écrivaine Nathalie Sarraute, avocate et femme de Lettres, membre phare du courant littéraire du Nouveau Roman. C'est dans les colonnes du journal Le Monde que Claude Sarraute s'est confiée sur sa relation avec sa mère. Selon elle, la romancière d'origine russe lui avait donné un prénom unisexe car elle aurait voulu avoir un garçon...
xxx/ellauri128.html on line 181: Madame de Staël (/stal/) ou bien Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, était une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 1817. Issue d´une famille de protestants valdo-genevois richissimes, fille du ministre des finances de Louis XVI Jacques Necker, elle est élevée dans un milieu de gens de lettres. Elle épouse, en 1786, le baron Erik Magnus Staël von Holstein, ambassadeur du roi Gustave III de Suède auprès de la cour de France à Versailles. Le couple se séparera en 1800. Devenue baronne de Staël, elle mène une vie sentimentale agitée et entretient en particulier une relation orageuse avec Benjamin Constant, écrivain et homme politique franco-vaudois rencontré en 1794. Entretemps, sa réputation littéraire et intellectuelle s´est affirmée grâce à trois essais philosophiques que sont les Lettres sur les ouvrages et le caractère de Jean-Jacques Rousseau (1788), De l´influence des passions sur le bonheur de l´individu et des nations (1796) et De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (1800). Favorable à la Révolution française et aux idéaux de 1789 au debut, elle adopte une position critique dès 1791 et ses idées d´une monarchie constitutionnelle la font considérer comme une opposante gênante par les maîtres de la révolution. Malgré le statut de diplomate de son mari, elle doit se réfugier auprès de son père en Suisse à plusieurs reprises. Interdite de séjour sur le sol français par Napoléon Bonaparte qui la considère comme un obstacle à sa politique, elle s´installe en Suisse dans le château familial de Coppet qui sert de lieu principal de rencontres au groupe du même nom, et d´où elle fait paraître Delphine (1802), Corinne ou l´Italie (1807) et De l´Allemagne (1810/1813b). Ses œuvres fictionnelles majeures, dans lesquelles elle représente des femmes victimes des contraintes sociales qui les enchaînent, sont Delphine (1802) et Corinne ou l´Italie (1807).
xxx/ellauri129.html on line 601: Émilie du Châtelet (également écrit du Chastelet, ou du Chastellet), dont le nom complet est Gabrielle Émilie Le Tonnelier de Breteuil, marquise du Châtelet, née le 17 décembre 1706 à Paris et morte le 10 septembre 1749 à Lunéville (alors dans le duché de Lorraine), est une femme de lettres, mathématicienne et physicienne française du Siècle des Lumières.
xxx/ellauri129.html on line 612: “Quand, dans une discussion conjugale, une femme menace son mari de prendre un amant, c'est déjà fait.”
xxx/ellauri139.html on line 1022: Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château et mort le 16 novembre 1780 à Paris, est un poète lorrain francophone. Son père, maire de Fontenoy-le-Château, propriétaire de deux fermes, y exerce le métier de marchand de grains. Son éducation est confiée au curé du village, un jésuite qui, voyant en lui « un esprit apte à être éduqué », lui apprend le latin. Puis le jeune Nicolas part faire ses humanités au collège de l'Arc à Dole. Après 1770, il part pour Paris, avec en poche ses premiers vers, ainsi qu’une lettre, signée de Mme de La Verpillière, femme du prévôt des marchands de Lyon et mécène. Cette lettre recommande le jeune poète à D’Alembert. Il semble que D’Alembert, lui ayant promis une place de précepteur, n’honore pas cette espérance, et le reçoit d’ailleurs assez froidement. Gilbert s'en souviendra quand il composera sa satire du Dix-huitième siècle :
xxx/ellauri139.html on line 1081: Assassin romantique (beaucoup de femmes assistent au procès), il avoue tout avec cynisme et désinvolture et implique ses deux complices Avril et François, considérant qu'ils l'ont dénoncé et que tous les trois méritent la mort. Son avocat commis d'office, Maitre Brochant de Villiers, plaide la folie, en vain.
xxx/ellauri139.html on line 1146: Manfred est un drame en vers de George Gordon Byron, dit Lord Byron, publié en 1817. Bourrelé de remords après avoir tué celle qu'il aimait, Manfred vit seul comme un maudit au cœur des Alpes. Il invoque les esprits de l'univers, et ceux-ci lui offrent tout, excepté la seule chose qu'il désire, l'oubli. Il essaie alors, mais en vain, de se jeter du haut d'un pic élevé. Il visite ensuite la demeure d'Ahriam, mais refuse de se soumettre aux esprits du mal, leur enjoignant d'évoquer les morts. Enfin lui apparaît Astarté, la femme qu'il a aimée puis tuée par son étreinte (« My embrace was fatal... I loved her and destroy'd her »). Répondant à son invocation, Astarté lui annonce sa mort pour le lendemain. Au moment prédit apparaissent des démons pour s'emparer de lui, mais Manfred leur dénie tout pouvoir sur sa personne. Pourtant, à peine sont-ils apparus qu'il meurt. La situation de Manfred deviendra l'un des poncifs favoris composant le portrait de l'homme fatal du romantisme. Cette pièce s'inspire, pense-t-on[Qui ?], dans son plan, du Faust de Goethe et selon certains, contiendrait une allusion du poète à sa demi-sœur Augusta Leigh. Sitäkin se dodennäköisesti bylsähti.
xxx/ellauri154.html on line 145: Denis décapité aurait ensuite marché vers le nord pendant six kilomètres, sa tête sous le bras, traversant Montmartre jusqu'à un lieu qui s'appelle aujourd'hui Saint-Denis. À la fin de son trajet, il donna sa tête à une femme pieuse originaire de la noblesse romaine et nommée Catulla, puis s'écroula. On l'ensevelit à cet endroit précis et on y édifia une basilisque en son honneur.
xxx/ellauri154.html on line 220: Moreau underlines the sacredness of the scene, but also warns of the proverbial power of the femme fatale (a seductive woman who lures men into dangerous situations—a popular subject among Symbolist artists) as one who can be fatal to any man—even saints.
xxx/ellauri154.html on line 223: Moreau’s contemporaneous viewers also focused on Salome as “femme fatale” (perhaps most famously, the Symbolist novelist and art critic J. K. Huysmans in his novel À rebours).
xxx/ellauri173.html on line 54: Villiers fréquentait les cercles occultistes de l'époque. L'attribution de l’âme a une femme, ou mieux, à un androïde avec tous les trois trous, vient de la théorie de la décorporation (ou voyage astral), faisant possible l'association de l'âme masculine au corps feminin.
xxx/ellauri173.html on line 56: Lord Ewald tombe amoureux d'une actrice de théâtre, très belle mais à l'esprit trop quelconque à son goût. Afin de remplacer cette femme avec son cœur de jeune homme, l'ingénieur Thomas Alva Edison lui propose son androide. C’est lui qui le désigna sous de fantastiques surnoms ― tels que le « Magicien du siècle, le Sorcier de Menlo Park, le papa du Phonographe ». Löysäpukuinen ja isokenkäinen pellekexijä joka kaikkien vahingoxi teki käsimusaviihteestä tosi ison numeron. Sen hehkulamppu wolframlankoineen on nyt historiaa.
xxx/ellauri173.html on line 64: ― « Le jardin était taillé comme une belle femme Étendue et sommeillant voluptueusement.« Vizi näillä 19. vuosisadan käsimiehillä on paljon näitä belle femmejä etendues voluptueusement. Se on niillä ihan tavaramerkkinä. Merkkitavaraa.
xxx/ellauri173.html on line 177: ― Et des illustres femmes, de Sémiramis à Catherine d’Alfendelh, de Thalestris à Jeanne d’Arc, de Zénobie à Christine de Suède ?
xxx/ellauri173.html on line 186: Et les portraits de toutes les belles femmes, depuis Vénus, Europe, Psyché, Dalila, Rahel, Judith, Cléopâtre, Aspasie, Freya, Maneka, Thaïs, Akëdysséril, Roxelane, Balkis, Phryné, Circé, Déjanire, Hélène, etc, jusqu’à la belle Paule ! jusqu’à la Grecque voilée par la loi ! jusqu’à lady Emma Harte Hamilton ! (Täähän mulla on. Paule de Viguier oli ranskalainen aatelissynty ja Fontervillen paronitar vuoteen 1533 mennessä. Maalari Henri Rachou teki hänet tunnetuksi La Belle Paule -maalauksen aiheena, joka sijaitsee tänään Capitole de Toulouse -huoneustossa.)
xxx/ellauri173.html on line 200: Il sortait de son aspect cette impression que la plupart des femmes devaient, à sa vue, se sentir comme devant l’un de leurs plus séduisants dieux. Muze oli suruinen, koska sen panopuu oli muuten hyvä mutta huonoluonteinen. Adjustoiden lornjettiaan tai kenties monokkeliaan se sanoi: Comme le dit Wieland, en son Peregrinus Protée : « Il n’y a point de hasard : nous devions nous rencontrer ― et nous nous sommes rencontrés.»
xxx/ellauri173.html on line 348:

Une femme!


xxx/ellauri173.html on line 440: ou si les femmes dont tu gloses
xxx/ellauri176.html on line 213: Sont immortels. O femme, un baiser me tûrait Ovat kuolemattomia.
xxx/ellauri176.html on line 333: Quant à toi, femme née en des siècles malins Mitä suhun tulee, ämmä ennen sotia syntynyt,
xxx/ellauri176.html on line 339: Vers lui nativement la femme se dévoile, jota kohti nainen natiivisti riisuutuu,
xxx/ellauri176.html on line 867: Sentään silloin tällöin näytetään surhomme bylsimässä surfemmea. Surpetiteä garconia ei kuitenkaan nähtävästi panna alulle. Ei tää ole mikään romcom tai perhesarja för helvete.
xxx/ellauri177.html on line 249: Kun löytyy oikein kiva paikka mezässä: -- Oui, nous sommes chez nous, reprit-elle, si joyeuse, qu'elle tapa les herbes de son poing. C'est une maison à nous... Nous allons tout faire. - Veux-tu être mon mari? Je serai ta femme. Nytpä leikitäänkin kotia! -- Tu sais, dit-elle, c'est moi qui commande...
xxx/ellauri177.html on line 255: -- Je suis la femme, répondait-elle sérieusement à toutes les révoltes qu'il tentait.
xxx/ellauri178.html on line 39:

Les surhommes, surfemmes et surpetits garcons (Bataille).


xxx/ellauri178.html on line 286: Né de père inconnu (son nom était Frédéric Blanc selon les archives de l'Assistance publique), Jean Genet est abandonné à sept mois par sa mère, Camille Gabrielle Genet (1888-1919), gouvernante ou femme de chambre.
xxx/ellauri202.html on line 216: Les relations de France avec les femmes sont difficiles. Ainsi a-t-il, dans les années 1860, nourri un amour vain pour Elisa Rauline, puis pour Élise Devoyod.
xxx/ellauri202.html on line 225: Il vit au milieu des livres, la cité des livres, mais se lance à la recherche, en Sicile et à Paris, du précieux manuscrit de La Légende dorée qu’il finit un jour par obtenir. Le hasard lui fait rencontrer la petite fille d’une femme qu’il a jadis aimée et, pour "protéger" l’enfant d’un autre tuteur abusif, il l’enlève. Après plusieurs années de bon usage par Sylvestre, la jeune fille épousera un élève de M. Bonnard. Tollanen pedofiilinen Goethen Mignon taas.
xxx/ellauri202.html on line 240: Une femme sans poitrine, c'est un lit sans oreillers.
xxx/ellauri376.html on line 283: Edmée de Mauprat, quant à elle, est une jeune femme noble et vertueuse. Son personnage est empreint de douceur et de détermination, faisant d’elle un personnage féminin fort et inspirant. Leurs histoires entrelacées de passion et de rédemption nous tiennent en haleine, nous invitant à réfléchir sur la nature humaine et sur la possibilité de changer et de se racheter. Lunastusta kehiin taas. Vizi moraali on yhtä kaupanhierontaa.
xxx/ellauri385.html on line 121: Hänen ensimmäinen vaimonsa oli Apollinaria Suslova, joka oli aiemmin ollut osa Fjodor Dostojevskin elämää ja jota hän myöhemmin toistuvasti esitti teoksissaan erilaisten "femme fatal naisten" kuvissa.
xxx/ellauri385.html on line 129: Apollinaria Prokofyevna Suslova (venäjä : Аполлина́рия Проко́фьевна Су́слова),​​​ 1839–1918, Vasily Rozanovin vaimo ja Venäjän ensimmäisen naislääkärin Nadezhda Suslovan sisar. Häntä pidetään prototyyppinä useille naishahmoille Dostojevskin romaaneissa, kuten Polina pelissä Peluri, Nastasja Filipovna elokuvassa Idiootti, Katerina Ivanovna Marmeladova elokuvassa Rikos ja rangaistus, Lizaveta Nikolaevna elokuvassa The Possessed, sekä Katerina ja Grushenka elokuvassa The Brothers Karamazov. Suslovaa on usein kuvattu femme fatale -naisena. Fjodor Dostojevski kutsui häntä yhdeksi aikansa merkittävimmistä naisista. Hänen omia teoksiaan ovat novelli Pokuda, joka julkaistiin Mihail Dostojevskin Vremya - lehdessä vuonna 1861, Do svadby (1863), ja omaelämäkerrallinen Chuzhaya i Svoy, joka julkaistiin vuonna 1928.
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