ellauri014.html on line 775: On les prend dans quelque famille nombreuse et surchargée d'enfants dont les pères et mères viennent les offrir eux-mèmes. On les choisit jeunes, bien faits, de bonne santé, et d'une physionomie agréable. M. de Wolmar les interroge, les examine, pus les présente a sa femme.
ellauri014.html on line 1206: « Voyez donc, continuait-elle, à quelle félicité je suis parvenue. J’en avais beaucoup ; j’en attendais davantage. La prospérité de ma famille, une bonne éducation pour mes enfants, tout ce qui m’était cher rassemblé autour de moi ou prêt à l’être. Le présent, l’avenir, me flattaient également ; la jouissance et l’espoir se réunissaient pour me rendre heureuse. Mon bonheur monté par degrés était au comble ; il ne pouvait plus que déchoir ; il était venu sans être attendu, il se fût enfui quand je l’aurais cru durable. Qu’eût fait le sort pour me soutenir à ce point ? Un état permanent est-il fait pour l’homme ?
ellauri033.html on line 1104: Auguste de Villiers de L´Isle-Adam, dit le comte, puis (à partir de 1846) le marquis de Villiers de L´Isle-Adam, est un écrivain français d´origine bretonne, né à Saint-Brieuc, le 7 novembre 1838 et mort à Paris le 18 août 1889. Appelé Mathias par sa famille, simplement Villiers par ses amis, il utilisait le prénom d´Auguste sur la couverture de certains de ses livres.
ellauri033.html on line 1108: Atteint d´un cancer des voies digestives lors de l´hiver 1888-1889, Villiers ne peut plus travailler, et Mallarmé doit ouvrir une « cotisation amicale » parmi ses amis pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille. Le 12 juillet 1889, il est transféré à la clinique des Frères Saint-Jean-de-Dieu, rue Oudinot, à Paris. Se sentant à l´article de la mort, il rédige, le 12 août, un testament où il reconnaît son fils Victor et épouse in extremis Marie Dantine, le 14 août, afin de légitimer son fils. À noter que, juste avant de mourir, il aurait eu ces derniers mots passés à la postérité : « Eh bien, je m´en souviendrai de cette planète ! »
ellauri033.html on line 1115: Selon sa généalogie, Villiers de L´Isle-Adam appartient à l´ancienne et illustre famille des Villiers, seigneurs de l´Isle-Adam : toutefois, cette généalogie présente des trous qui, de son vivant déjà, ont provoqué des doutes, renforcés en 1928 par un article de Max Prinet paru au Mercure de France. D´après lui, il descend d´une famille de la noblesse de robe parisienne, et son premier ancêtre certain est un Jean de Villiers, procureur des comptes au début du XVIIe siècle. Un autre Jean de Villiers, petit-fils du précédent, s´établit en Bretagne et devient le premier à ajouter à son nom le nom de la terre de « L´Isle-Adam » et à prétendre ainsi à une parenté imaginaire avec les seigneurs de L´Isle-Adam.
ellauri036.html on line 611: Vous ne la plaignez pas, vous, mères de familles,
ellauri053.html on line 159: Le bitume (NBk6) est un pigment organique d'origine fossile (un hydrocarbure de la famille du pétrole). Les bitumes se différencient des asphaltes par l'absence de substance minérales et la solubilité dans le sulfure de carbone (PRV1).
ellauri055.html on line 52: Son père, procureur, décède alors que Jean Bouchet est encore jeune. Ami de Rabelais, Jean Bouchet exerce la profession paternelle. Il compose un grand nombre d'ouvrages historiques ou de fantaisie en vers et en prose, qui sont encore recherchés des bibliographes au XIXe siècle. Selon Maurice Allem, « grand travailleur, bon bourgeois, père d'une nombreuse famille, Bouchet est volontiers moraliste et même sentencieux » ainsi dans cet envoi :
ellauri055.html on line 1143: Né à Gand, Maurice Maeterlinck est l'aîné d'une famille de trois enfants, flamande, bourgeoise, catholique, conservatrice et francophone. Après des études au collège Sainte-Barbe (Sint-Barbara) de Gand, il suit des études en droit avant de pratiquer le métier d'avocat durant une courte période. Maeterlinck publie, dès 1885, des poèmes d’inspiration parnassienne dans La Jeune Belgique. Il part pour Paris où il rencontre plusieurs écrivains qui vont l'influencer, dont Stéphane Mallarmé et Villiers de l’Isle-Adam. Ce dernier lui fait découvrir les richesses de l'idéalisme allemand (Hegel, Schopenhauer). À la même époque, Maeterlinck découvre Ruysbroeck l'Admirable, un mystique flamand du XIVe siècle dont il traduit les écrits (Ornement des noces spirituelles). C'est ainsi qu'il se tourne vers les richesses intuitives du monde germanique en s'éloignant du rationalisme français. Dans cet esprit, il se consacre à Novalis et entre en contact avec le romantisme d'Iéna (Allemagne, 1787-1831, autour d'August et Friedrich Schlegel et de la revue l'Athenäum), précurseur en droite ligne du symbolisme. Les œuvres que publie Maeterlinck entre 1889 et 1896 sont imprégnées de cette influence germanique.
ellauri097.html on line 254: Plusieurs de ses livres évoquent le Sud des États-Unis. Profondément marqué par la guerre de Sécession, l'auteur se considère dans ses écrits comme un « Sudiste ». Il a hérité ce patriotisme de sa mère, qui venait d'une famille distinguée du Sud. Quelques années avant la naissance de Julien, un choix de poste en Allemagne ou en France fut proposé à son père. La mère de Julien appuya le choix de la France en raison du fait que les Français étaient « aussi un peuple fier, récemment vaincus dans la guerre et nous nous comprendrons mutuellement » (référence à la défaite française de 1871 dans la guerre franco-prussienne).
ellauri097.html on line 258: Julien Green est né à Paris, 4, rue Ruhmkorff, de parents américains, descendant du côté de sa mère du sénateur et représentant démocrate de la Géorgie au congrès américain Julian Hartridge (en) (1829-1879) et dont Julien Green porte le prénom (Green a été baptisé « Julian » ; l'orthographe a été changée en « Julien » par son éditeur français dans les années 1920). Il grandit dans le 16e arrondissement de Paris, puis au Vésinet et passe ses vacances dans la commune d'Andrésy, dans les Yvelines. Il poursuit toutes ses études en France au lycée Janson-de-Sailly. Sa mère, protestante pieuse et aimante, meurt alors qu'il a 14 ans, et la famille déménage rue Cortambert, à Paris. Il se convertit au catholicisme en 1916, à la suite de son père et de toutes ses sœurs, ainsi qu'il le raconte dans Ce qu'il faut d'amour à l'homme, son autobiographie spirituelle. Il abjure l'anglicanisme à la crypte de la chapelle des sœurs de la rue Cortambert. Âgé de seulement 17 ans, Julian Green réussit à rejoindre les rangs de la Croix-Rouge américaine, puis est détaché dans l’artillerie française en 1918 en tant que sous-lieutenant et sert en Italie. Démobilisé en mars 1919, il se rend pour la première fois aux États-Unis en septembre de la même année et effectue trois ans d'études à l’université de Virginie, où il éprouve un premier amour chaste et secret pour un camarade d'études. Il écrit son premier livre en anglais, avant de revenir vivre en France.
ellauri097.html on line 278: Noniin, kiitos Julien, riitti tähän otteeseen. Greeneillä oli esi-isiä seinillä kuin muumeilla, vaikka ovat jenkkimamu rotinkaisia. Siitä puhe mistä puute taas. Julian oli äidin Benjamin. Ei suuri ylläri. Petite, mince, avec de très beaux yeux gris dans un visage rêveur, Mary Adelaide Hartridge venait d'une famille portée à la mélancolie.
ellauri144.html on line 616: avait rencontre Marie Sarah Raffalovich (1832-1921), issue d´une famille juive d´Odessa,
ellauri145.html on line 83: Son plus grand désir eût été d’appartenir à la famille des grands indésirables.
ellauri145.html on line 218: En 1831, le lieutenant-colonel Aupick ayant reçu une affectation à Lyon, le jeune Baudelaire est inscrit à la pension Delorme et suit les cours de sixième au collège royal de Lyon. En cinquième, il devient interne. En janvier 1836, la famille revient à Paris, où Aupick sera promu colonel en avril. Alors âgé de quatorze ans, Charles est inscrit comme pensionnaire au collège Louis-le-Grand, mais il doit redoubler sa troisième.
ellauri145.html on line 221: Renvoyé du lycée Louis-le-Grand en avril 1839 pour ce qui a passé pour une vétille, mais que son condisciple au lycée, Charles Cousin (1822-1894) a expliqué comme un épisode d´amitié particulière, Baudelaire mène une vie en opposition aux valeurs bourgeoises incarnées par sa famille. Il passe son baccalauréat au lycée Saint-Louis en fin d´année et est reçu in extremis. Jugeant la vie de l´adolescent « scandaleuse » et désirant l´assagir, son beau-père le fait embarquer pour Calcutta. Le Paquebot des Mers du Sud quitte Bordeaux le 9 ou 10 juin 1841. Mais en septembre, un naufrage abrège le périple aux îles Mascareignes (Maurice et La Réunion). On ignore si Baudelaire poursuit son voyage jusqu´aux Indes, de même que la façon dont il est rapatrié.
ellauri145.html on line 242: Le 21 septembre 1844, maître Narcisse Ancelle, notaire de la famille, est officiellement désigné comme conseil judiciaire qui lui alloue une pension mensuelle de 200 francs. En outre, Baudelaire doit lui rendre compte de ses faits et gestes. Cette situation infantilisante inflige à Baudelaire une telle humiliation qu´il tente de se suicider d´un coup de couteau dans la poitrine le 30 juin 1845. Outre sa réputation de débauché, Baudelaire passait pour homosexuel auprès de certains de ses amis: « C´est moi-même », écrit-il « qui ai répandu ce bruit, et l´on m´a cru »
ellauri145.html on line 1130: Jusqu´à l´âge de trois ans, il ne prononce pas un mot, sa famille le croyait muet. À l´école, il semble plutôt se destiner à une carrière scientifique : il passe à seize ans son baccalauréat en sciences. Recalé à cause des oraux d´histoire et de géographie, il est finalement reçu l´année suivante. Il devient alors stagiaire dans la pharmacie de son père qui ambitionne pour lui une succession tranquille, mais qui goûte peu ses expériences et ses faux médicaments et l´envoie étudier à Paris. En fait d´études, Alphonse préfère passer son temps aux terrasses des cafés ou dans le jardin du Luxembourg, et ne se présente pas à l´un des examens de l´école de pharmacie. Son père, s´apercevant que les fréquentations extra-estudiantines de son fils ont pris le pas sur ses études, décide de lui couper les vivres.
ellauri150.html on line 261: Parmi les jeunes filles du monde, — peu nombreuses d’ailleurs, — que Christophe avait pour élèves, était la fille d’un riche fabricant d’automobiles, Colette Stevens. Son père était Belge, naturalisé Français, fils d’un Anglo-Américain établi à Anvers et d’une Hollandaise. Sa mère était Italienne. C’était une famille bien parisienne. Pour Christophe, — pour bien d’autres, — Colette Stevens était le type de la jeune fille française.
ellauri161.html on line 894: Né dans une famille savoyarde originaire du comté de Nice, Xavier de Maistre est le douzième enfant parmi quinze, dont cinq garçons et cinq filles ont survécu. Tässähän kalpenee jopa Kumpulankin kenno! Son père, François-Xavier Maistre, est président du Sénat de Savoie. Sa mère, Marie-Christine de Motz, meurt alors qu'il vient d'avoir dix ans. Son frère aîné, Joseph de Maistre, homme politique et écrivain, va assumer pleinement son rôle de parrain; ses autres frères et sœurs contribuent également à son éducation.
ellauri162.html on line 141: Son père, Émile Bernanos (1854-1927), est un tapissier décorateur d´origine espagnole et lorraine. Sa mère, Clémence Moreau (1855-1930), est issue d´une famille de paysans berrichons originaire de Pellevoisin, dans l´Indre. Il garde de son éducation la foi catholique et les convictions monarchistes de ses parents.
ellauri162.html on line 226: Artaux Pas si Mauvais naquit en 1942 dans un camion, en plein emigration face aux forces soviétiques, durant la Guerre de Continuation ; sa famille, fuyant les combats, est chassée par l´armee sovietique vers la Norvège, puis la Suède et la Laponie finlandaise. Pas si Mauvais qui signifie en finnois « prison de pierre » est un nom inventé par son père né Gullstén (Pierre d´or) pour « finniser », comme beaucoup de Finlandais, un patronyme à consonance suédoise (à l´instar des personnes inspirées par le mouvement fennomane).
ellauri164.html on line 353: Dans une petite ville, une famille a un comportement étrange. Le gendre de Mme Frola, M. Ponza, explique que sa belle-mère est devenue folle à cause de la mort de sa fille, sa première épouse. Dans sa confusion, la belle-mère considère que sa deuxième épouse est sa fille.
ellauri172.html on line 625: Paha Mesnilgrand heittää vittuilumielessä Le Capentierin pystiä appelsiininkuorella. Sous la Restauration, au retour des Bourbons, il est exilé comme régicide, en 1816 : il trouve refuge à l'île de Guernesey, mais en est chassé par les autorités britanniques et revient de façon clandestine dans la Manche, se cachant dans le canton des Pieux. Après trois années de recherches, il est de nouveau arrêté, le 6 novembre 1819, sur dénonciation. Condamné à la prison à perpétuité, il meurt dans la prison du Mont-Saint-Michel, où il chantait les louanges de la famille royale et répondait comme servant à la messe tous les matins. Sa dépouille est décapitée et enterrée dans le cimetière d'Ardevon. Päätöntä touhua.
ellauri205.html on line 241: Que malgré les complots d'une injuste famille,
ellauri210.html on line 1142: Γεννήθηκε το 1920 στην Κωνσταντινούπολη και μετανάστευσε με την οικογένειά της στην Γαλλία στην ηλικία των δύο χρόνων. Υπάρχουν ελάχιστες πληροφορίες σχετικά με τη ζωή της. La famille Prassinos fuit Constantinople et les persécutions que subissent alors les Grecs et s'installe à Nanterre en 1922. D'origine grecque par son père et italienne par sa mère, Gisèle Prassinos est la jeune sœur du peintre Mario Prassinos. Ο αδερφός της, Μάριο Πράσινος ήταν Γάλλος καλλιτέχνης και εικονογράφος. Ο πατέρας της δι­ηύ­θυ­νε το πε­ρι­ο­δι­κό «Λό­γος» στην Κων­σταντινούπο­λη. Ο άντρας της, Πέ­τρος Φρυ­δάς με­τέ­φρα­σε στα γαλ­λι­κά Κα­ζαν­τζά­κη.
ellauri210.html on line 1150: Au cours de la guerre et jusqu'à la fin des années 1950, elle cesse de publier. Elle travaille dans des crèches, et co-traduit avec son mari Pierre Fridas plusieurs livres de Níkos Kazantzákis comme Alexis Zorba ou La Liberté ou la mort. Elle se remet ensuite à écrire, des poèmes et des romans, en opposition avec l'orthodoxie surréaliste. Ces textes sont toutefois inclassables. Brelin le frou, ou le portrait de famille (1975) décrit des personnages vivant selon des règles fantaisistes. Sur les dessins de l'auteur, ils ont la particularité de porter une coiffe à l'image de leur sexe. Les nouvelles de Mon cœur les écoute (1982) font montre d'un humour poétique proche de celui d'Henri Michaux ou de Joyce Mansour. Elle est également connue pour ses dessins et ses « tentures », des œuvres plastiques réalisées à l'aide de morceaux de tissu de couleur découpés.
ellauri221.html on line 93: Issue d'une famille modeste (son père Louis Betenfeld, violent et alcoolique, est ouvrier brasseur et sa mère Marie Lartisant domestique), Marthe Betenfeld a un frère et une sœur aînés, Camille et Jeanne. Elle est envoyée quelques années dans une institution catholique et son destin semble tout tracé : couturière, comme sa sœur aîné. Puis elle devient à Nancy apprentie culottière, à quatorze ans. Le métier ne l'enchantant guère, elle fugue de chez ses parents. Elle est interpellée pour racolage en mai 1905 par la Police des mœurs et ramenée chez ses parents. Elle fugue à nouveau à 16 ans et se retrouve à Nancy, ville avec une importante garnison militaire, où elle tombe amoureuse d'un Italien se disant sculpteur mais qui se révèle être un proxénète. Il l'envoie sur le trottoir, puis elle devient prostituée dans les « bordels à soldats » de Nancy. Devant effectuer plus de 50 passes par jour, elle tombe rapidement malade et contracte la syphilis. Renvoyée du bordel, dénoncée par un soldat pour lui avoir transmis la syphilis et fichée par la police (où elle est inscrite comme prostituée mineure le 21 août 1905), elle est contrainte de s'enfuir à Paris. Elle rentre dans un « établissement de bains » rue Godot-de-Mauroy (maison close d'un standing supérieur à ses anciennes maisons d'abattage) où elle rencontre, un soir de septembre 1907, Henri Richer, mandataire aux Halles. Le riche industriel l'épouse le 13 avril 1915. Elle fait alors table rase de son passé et devient une respectable bourgeoise de la Belle Époque dans son hôtel particulier de l'Odéon. Elle demande à être rayée du fichier national de la prostitution, ce qui lui est refusé.
ellauri221.html on line 99: Le 9 avril 1946, le député Marcel Roclore présente le rapport de la Commission de la famille, de la population et de la santé publique, et conclut à la nécessité de la fermeture. Le député Pierre Dominjon dépose une proposition de loi dans ce sens qui est votée le 13 avril 1946 à la chambre des députés. La fermeture des maisons closes est appliquée à partir du 6 novembre 1946. Le fichier national de la prostitution est détruit et remplacé par un fichier sanitaire et social de la prostitution (loi du 24 avril 1946). Environ 1 400 établissements sont fermés, dont 195 à Paris (177 établissements officiels) : les plus connus comme le Chabanais, le Sphinx, La Rue des Moulins, le One-Two-Two mais aussi les sinistres maisons d’abattage comme le Fourcy et le Charbo… Beaucoup de tenanciers de maisons closes se reconvertirent en propriétaires d'hôtels de passe. La prostitution est alors une activité libre ; seules sont interdites son organisation et son exploitation — le proxénétisme — et ses manifestations visibles.
ellauri247.html on line 506: Au troisième tiers, on aperçoit au loin le vieux fort de Taguin et à droite la famille de Mohamed-el-Karoubi, marabout et chancelier d'Abd-el-Kader qui lui n'était pas présent ce jour-là.
ellauri247.html on line 510: Abd el-Kader organisait la smala toujours selon le même principe : elle se composait de quatre enceintes circulaires et concentriques où chaque douar, chaque famille, chaque individu avait sa place fixe et marquée, suivant son rang, son utilité, ses fonctions, ou la confiance qu’il inspirait. La smala arrivant à son gîte, la tente de l’émir se dressait au centre du terrain que le camp devait couvrir.
ellauri266.html on line 482: Nova accouche d’un garçon qui présente tous les signes indiquant qu´il peut parler comme les humains de la Terre. L’événement est tenu secret car les orangs-outans auraient décidé d’éliminer l’enfant qui constituerait une preuve concrète de leurs erreurs scientifiques. Mais le narrateur et sa nouvelle famille sont sauvés grâce à Cornélius et Zira et retournent sur Terre.
ellauri266.html on line 484: Durant le voyage, Ulysse constate que son fils Sirius parle, et Nova apprend aussi à parler. Arrivés sur Terre, sept cent ans après le départ des explorateurs, Ulysse et sa famille aperçoivent la tour Eiffel et se posent à Orly. Heureux d´être de retour chez lui, Ulysse se précipite hors du vaisseau. Une personne vient les accueillir. Le narrateur constate avec stupeur que c´est un gorille. Pour clore le roman, la narration retourne vers Jinn et Phyllis, le couple en voyage spatial. Le lecteur découvre alors qu´eux aussi sont des chimpanzés et que l´homme évolué a certainement disparu de la galaxie.
ellauri322.html on line 51: Thomas Paine est né en 1737 à Thetford, une bourgade du Norfolk en Angleterre. Son père, Joseph Pain, est quaker et sa mère, Frances Cocke Pain, anglicane. Malgré les affirmations selon lesquelles Thomas aurait changé l'orthographe de son nom de famille lors de son émigration en Amérique en 1774, il utilisait "Paine" déja en 1769, alors qu'il était encore à Lewes, dans le Sussex. Il grandit dans un milieu rural modeste et quitte l'école à l'âge de douze ans. Sa formation intellectuelle est donc celle d'un autodidacte. Grâce à cela, sa pensée simple et son style concis et clair ont fait de lui une arme efficace de propagande.
ellauri324.html on line 166: Tout le monde est libre de croire en Dieu par rapport à ce qu'il voit ou dans les conditions dans lesquelles où il vit. Pour moi, Dieu existe et guide ma vie et celle de ma famille. Il y a tant de choses, dont je n'énumère pas, qui m'ont convaincues que Dieu en Jesus Christ est toujours là pour moi et pour tous ceux qui y croient. Je ne suis pas sur terre par hasard comme les microbes et autres organismes issus de la dégradation de notre environnement.
ellauri339.html on line 360: Travail, étends sur nos familles Työskentele, laajenna perheeseemme
ellauri349.html on line 490: Raymond Claude Ferdinand Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu aisé des deux côtés. Ses parents sont Gustave Émile Aron (1870-1934) et Suzanne Levy (1877-1940). Son grand-père maternel, Léon Levy, possédait une usine de textile dans le nord de la France. Sa famille paternelle venait de Lorraine où elle était établie depuis la fin du XVIIIe siècle. Son grand-père paternel, Isidore (dit Ferdinand) Aron, était grossiste en textile à Rambervillers, puis Nancy (Lorraine). Un de ses grand-oncles paternels, Paul Aron, était le père de Max Aron, médecin biologiste à la faculté de médecine de Strasbourg. Ferdinand, le grand-père paternel de Raymond, prédit à celui-ci à sa naissance une grande carrière. Gustave Aron refusa de prendre la suite de l'affaire familiale et fit de brillantes études de droit; il publia des travaux juridiques, mais n'étant reçu que deuxième à l'agrégation de droit alors qu'un seul poste était attribué, il abandonna la perspective d'enseigner à l'université et devint professeur de droit à l'École normale supérieure de l'enseignement technique. Il arrêta de travailler au début du XXe siècle, vécut dès lors de l'héritage familial et fit construire une maison à Versailles en 1913-1915 avec un court de tennis. La famille Aron retourna ensuite à Paris. Après la guerre, Gustave Aron investit en bourse, mais sa fortune fut perdue du fait de la crise économique de 1929 et il fut obligé de reprendre un emploi. Il mourut en 1934 d'une crise cardiaque. La mère de Raymond mourut en juin 1940 à Vannes.
ellauri367.html on line 116: La famille Rothschild, la plus célèbre famille à porter ce nom, sont des descendants de Mayer Amschel Rothschild (1744-1812). Né Mayer Amschel Bauer, à Francfort-sur-le-Main dans l'ouest de l'Allemagne, il changea son nom en Rothschild en référence au bouclier rouge, symbole de la maison familiale puis de la banque créée par son père. Ses descendants ont fondé depuis le XVIIIe siècle des dynasties de banquiers et financiers dans différents pays européens aux origines juives ashkénazes et aux différentes nationalités (allemande, française, britannique, israélienne, etc.).
ellauri370.html on line 499: famille_de_Gobineau.png/800px-Blason_de_la_famille_de_Gobineau.png" width="30%" style="padding-bottom:100px" />
xxx/ellauri075.html on line 100: Chestov naît dans une famille juive de commerçants manufacturiers en tissus. Son père, Isaak Moisseïevitch Schwarzmann, forte personnalité, autoritaire, est très respecté et bon connaisseur de la tradition juive et de la littérature hébraïque.
xxx/ellauri127.html on line 435: Prosper Mérimée naît le 28 septembre 18031 à Paris dans une famille bourgeoise. Du côté de sa mère, Prosper Mérimée est sans doute l'arrière-petit-fils de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont (1711-1776). Les parents de Prosper, qui se sont mariés à (Paris 12e) le 22 juin 1802, ont un solide bagage intellectuel et artistique datant du XVIIIe siècle, mais ne s'engagent guère dans les courants culturels naissants (romantisme). De l'éducation parentale, Mérimée retient l'horreur de l'emphase.
xxx/ellauri128.html on line 181: Madame de Staël (/stal/) ou bien Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, était une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 1817. Issue d´une famille de protestants valdo-genevois richissimes, fille du ministre des finances de Louis XVI Jacques Necker, elle est élevée dans un milieu de gens de lettres. Elle épouse, en 1786, le baron Erik Magnus Staël von Holstein, ambassadeur du roi Gustave III de Suède auprès de la cour de France à Versailles. Le couple se séparera en 1800. Devenue baronne de Staël, elle mène une vie sentimentale agitée et entretient en particulier une relation orageuse avec Benjamin Constant, écrivain et homme politique franco-vaudois rencontré en 1794. Entretemps, sa réputation littéraire et intellectuelle s´est affirmée grâce à trois essais philosophiques que sont les Lettres sur les ouvrages et le caractère de Jean-Jacques Rousseau (1788), De l´influence des passions sur le bonheur de l´individu et des nations (1796) et De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (1800). Favorable à la Révolution française et aux idéaux de 1789 au debut, elle adopte une position critique dès 1791 et ses idées d´une monarchie constitutionnelle la font considérer comme une opposante gênante par les maîtres de la révolution. Malgré le statut de diplomate de son mari, elle doit se réfugier auprès de son père en Suisse à plusieurs reprises. Interdite de séjour sur le sol français par Napoléon Bonaparte qui la considère comme un obstacle à sa politique, elle s´installe en Suisse dans le château familial de Coppet qui sert de lieu principal de rencontres au groupe du même nom, et d´où elle fait paraître Delphine (1802), Corinne ou l´Italie (1807) et De l´Allemagne (1810/1813b). Ses œuvres fictionnelles majeures, dans lesquelles elle représente des femmes victimes des contraintes sociales qui les enchaînent, sont Delphine (1802) et Corinne ou l´Italie (1807).
xxx/ellauri128.html on line 524: Issu d´une famille de drapiers juifs alsaciens, il est le fils d´Ernest Herzog et d´Alice Lévy, et le petit-fils de Salomon Herzog (1818-1876) et Émilie Fraenckel (1828-1891), originaires de Ringendorf.
xxx/ellauri129.html on line 613: Francis Wiener de Croissant, né Edgar Franz Wiener à Bruxelles le 28 janvier 1877 et mort à Neuilly-sur-Seine le 8 novembre 1937, est un auteur dramatique, romancier et librettiste français. Francis de Croisset est issu d'une famille juive allemande. Son grand-père, Jacques Wiener (1815-1899), s'était installé vers 1835 à Bruxelles ; graveur, il créa le premier timbre belge. Le frère cadet de celui-ci, Léopold Wiener, se fit également connaître comme graveur, médailleur et sculpteur. Le père de Francis de Croisset, Alexandre Wiener (1848-1920), était peintre. L'un de ses oncles, Samson Wiener (1851-1914), fut sénateur à la chambre haute de Belgique et bourgmestre d'une commune bruxelloise. The whole family was known for their remarkable skinless wieners. Francis' innovation was to embed his Jewish wiener in a French croissant, creating the first hot-dog.
xxx/ellauri130.html on line 564: Delphin-Antoine-Edmond Thiaudière, né le 17 mars 1837 à Gençay, où il est mort le 9 novembre 1930, est un homme de lettres français, à la fois poète, romancier, philosophe et « maximiste ». Issu d’une famille de médecins depuis quatre générations, Edmond Thiaudière, opte pour une carrière d’homme de lettres après s’être détourné de ses études de droit brillamment menées à Poitiers. Il s’essaie au roman, aux nouvelles, à la poésie, au théâtre, écrit des essais politiques et autres pamphlets, mais il se distingue surtout par son œuvre philosophique, parsemant sur quarante années une douzaine de recueils aux titres sibyllins, avec le sous-titre générique Notes d’un Pessimiste. Son premier recueil de pensées, La Proie du Néant, qu’il publie en 1886, contient en préambule une longue dédicace adressée à Léa et Mosès, ses deux chiens fidèles.
xxx/ellauri130.html on line 778: En septembre 1913, la sculptrice Camille Claudel, sœur de Paul (et ancienne maîtresse d'Auguste Rodin) , est internée en asile d'aliénés à Mondevergues (Montfavet - Vaucluse) à la demande de la famille et à l'instigation de son frère Paul, qui décide d'agir immédiatement après la mort de leur père. En trente ans d'hospitalisation, Paul Claudel ne va voir sa sœur qu'à douze reprises. Lors de la rétrospective qui lui fut consacrée en 1934, des témoins ont rapporté que Paul Claudel s'emporte : il ne veut pas qu'on sache qu´il a une sœur folle.
xxx/ellauri173.html on line 310: Enfin, puisque vous le désirez, voici : ― j’ai le malheur de subir un amour très pénible, le premier de ma vie (et, dans ma famille, le premier est presque toujours le dernier, c’est-à-dire le seul) pour une très-belle personne ― tenez ! pour la plus belle personne du monde, je crois ! ― et qui est, actuellement à New York, au théâtre, dans notre loge, où elle fait miroiter les pierres de ses oreilles en paraissant écouter le Freyschütz. ― Là !… Vous voilà satisfait, j’imagine, monsieur le curieux ?
xxx/ellauri178.html on line 287: La famille adoptive de Genet lui offre l’éducation communale, une mère de lait douce et aimante et un environnement protégé. Selvä mammanpoika siis, kuten Peppukin.
xxx/ellauri202.html on line 206: À travers les destinées de deux familles bourgeoises, les Thibault et les Fontanin, est évoquée la France de la Belle Époque qui va sombrer dans le premier conflit mondial. L'ensemble du cycle est surtout centré sur les deux fils du riche notable catholique Oscar Thibault, deux frères que tout oppose : Antoine, l'aîné, médecin sûr de lui, esprit rationnel et plutôt conformiste, et son cadet de neuf ans, Jacques, idéaliste et tourmenté, en révolte contre les valeurs de la société bourgeoise puis militant socialiste.
xxx/ellauri356.html on line 108: Sa famille laïque (de tradition juive, ashkénaze par la mère, séfarade par le père) quitte l'Algérie en 1954.
xxx/ellauri356.html on line 141: Jacques Derrida était le troisième fils d’Aimé Derrida, juif d'origine séfarade, et de Georgette Sultana Esther Safar, issue d'une famille juive d'Algérie dont les ancêtres établis depuis plusieurs générations dans ce pays. Isä Aaron Prosper Charles ( "Aimé") Derrida (1896–1970) työskenteli koko ikänsä viini- ja väkeviä alkoholijuomia valmistava yrityxessä Tachet, myös matkustavana myyjänä (hänen poikansa mielestä työ oli "uuvuttavaa" ja "nöyryyttävää", hänen isänsä pakotettiin olemaan "kuuliainen työntekijä" siinä määrin, että hän heräsi aikaisin tehdäkseen kirjanpidon ruokapöydässä).
xxx/ellauri376.html on line 274: Mauprat est un roman historique publié en 1837. L'histoire se déroule pour la majeure partie dans le Berry à l'aube de la Révolution française au XVIIIe siècle. Il relate l'histoire d'un jeune garçon issu d'une famille de seigneurs cruels, les Mauprat, qui échappe peu à peu à son lourd héritage familial grâce à l'amour qu'il éprouve pour sa cousine Edmée, nettement plus civilisée que lui. L'œuvre recèle plusieurs aspects: si Mauprat est avant tout un roman d'amour et une histoire de famille, c'est aussi un roman politique, une fable philosophique et un manifeste féminin.
xxx/ellauri376.html on line 281: Au début du roman, Bernard est présenté comme un personnage détestable, un véritable voyou sans scrupules. Il est élevé dans une famille de brigands et est un con. Cependant, au fil de l’histoire, nous assistons à sa transformation profonde, alors qu’il est confronté à l’amour et à la bienveillance de la belle Edmée de Mauprat. Bernard devient ainsi le symbole de la rédemption, luttant contre ses instincts les plus sombres pour devenir un homme meilleur.
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