ellauri080.html on line 498: These two views of the world are, of course, mutually inimical — they inevitably chase each other’s tails. Nietzsche says to Hume: ‘he stole that bread because he wanted to feed his family,’ to which Hume replies, ‘yes, that is true: but why did he want to feed his family? Because he is adhering to a familial principle,’ to which Nietzsche replies, ‘I suppose you could put it that way, but why is he operating according to that principle? It’s because he wants to, because he loves his family,’ to which Hume replies, ‘yes, but why does he love his family? It’s because that is his logical worldview…’ And so on.
ellauri119.html on line 424: Ancient Greek philosophers identified no less than six forms of love: essentially, familial love (in Greek, storge), friendly love or platonic love (philia), romantic love (eros), self-love (philautia), guest love (xenia) and divine love (agape). Plus a zillion learned words for different kinds of paraphilia. But that's nothing yet compared to the hindoos [below] who have words for love like the Eskimos for ice cream.
ellauri119.html on line 522: Storge is the Greek term for familial love. For some reason, Lee chooses storge, rather than the term philia (the usual term for friendship) to describe this kind of love. Examples of storge can be seen in movies including Love & Basketball, When Harry Met Sally..., and Zack and Miri Make a Porno.
ellauri145.html on line 233: Dandy endetté, Baudelaire est placé sous tutelle judiciaire et mène dès 1842 une vie dissolue. Il commence alors à composer plusieurs poèmes des Fleurs du mal. Critique d´art et journaliste, il défend Delacroix comme représentant du romantisme en peinture, mais aussi Balzac lorsque l´auteur de La Comédie humaine est attaqué et caricaturé pour sa passion des chiffres ou sa perversité présumée. En 1843, il découvre les « paradis artificiels » dans le grenier de l´appartement familial de son ami Louis Ménard, où il goûte à la confiture verte. Même s´il contracte une colique à cette occasion, cette expérience semble décupler sa créativité (il dessine son autoportrait en pied, très démesuré) et renouvellera cette expérience occasionnellement sous contrôle médical, en participant aux réunions du « club des Haschischins ». En revanche, son usage de l´opium est plus long : il fait d´abord, dès 1847, un usage thérapeutique du laudanum17, prescrit pour combattre des maux de tête et des douleurs intestinales consécutives à une syphilis, probablement contractée vers 1840 durant sa relation avec la prostituée Sarah la Louchette. Comme De Quincey avant lui, l´accoutumance lui dicte d´augmenter progressivement les doses. Croyant ainsi y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et les tortures.
ellauri180.html on line 201: Neonatal circumcision techniques have evolved in parallel. It is clear from most surgical texts that circumcision of the new-born had become a regular request for the surgeon by the later part of the 19th century. For instance, Jacobsen (1893) warns of the importance of establishing a familial bleeding tendency from the mother before circumcision. He describes the case of four Jewish infants, each descended from a different grandchild of a common ancestress, all of whom died from haemorrhage after circumcision.
ellauri210.html on line 367: Cravan’s real name was Fabian Avenarius Lloyd; he adopted myriad pseudonyms and aliases during his short life. He was born in Switzerland, in 1887, to Irish and British parents with whom he had a tumultuous relationship, though he was immensely proud of his aunt Constancez, who was Oscar Wilde’s wife. In his early teens, Cravan came to regard the familial link to the world’s most disreputable genius as proof that he was destined for a life of fabulous infamy.
ellauri260.html on line 415: Hence it would indeed be a fine thing if each spoke for himself (hōs hekastos), saying "mine." But in Socrates' regime, all, when they say "mine," speak only collectively, on behalf of the polis (462d8-e3). Aristotle contends that for them to speak for themselves is impossible. Why? His reasoning turns on the nebulous connection among citizens established by familial communism. He says:
ellauri326.html on line 556: Le Cercles des zutistes, en particulier Verlaine, Rimbaud et Germain Nouveau, multiplie les attaques contre François Coppée, accusé de défendre une littérature paternaliste et familialiste, alors qu'il serait lui-même un «inverti». Les « poètes maudits » de son temps (Verlaine, Rimbaud, Charles Cros) aimaient à pasticher ses dizains.
ellauri349.html on line 490: Raymond Claude Ferdinand Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu aisé des deux côtés. Ses parents sont Gustave Émile Aron (1870-1934) et Suzanne Levy (1877-1940). Son grand-père maternel, Léon Levy, possédait une usine de textile dans le nord de la France. Sa famille paternelle venait de Lorraine où elle était établie depuis la fin du XVIIIe siècle. Son grand-père paternel, Isidore (dit Ferdinand) Aron, était grossiste en textile à Rambervillers, puis Nancy (Lorraine). Un de ses grand-oncles paternels, Paul Aron, était le père de Max Aron, médecin biologiste à la faculté de médecine de Strasbourg. Ferdinand, le grand-père paternel de Raymond, prédit à celui-ci à sa naissance une grande carrière. Gustave Aron refusa de prendre la suite de l'affaire familiale et fit de brillantes études de droit; il publia des travaux juridiques, mais n'étant reçu que deuxième à l'agrégation de droit alors qu'un seul poste était attribué, il abandonna la perspective d'enseigner à l'université et devint professeur de droit à l'École normale supérieure de l'enseignement technique. Il arrêta de travailler au début du XXe siècle, vécut dès lors de l'héritage familial et fit construire une maison à Versailles en 1913-1915 avec un court de tennis. La famille Aron retourna ensuite à Paris. Après la guerre, Gustave Aron investit en bourse, mais sa fortune fut perdue du fait de la crise économique de 1929 et il fut obligé de reprendre un emploi. Il mourut en 1934 d'une crise cardiaque. La mère de Raymond mourut en juin 1940 à Vannes.
ellauri349.html on line 492: Cette fortune familiale disparue avait permis aux trois enfants Aron de mener une vie aisée et de faire de bonnes études. Le frère aîné de Raymond, Adrien Aron (1902-1969), a étudié au lycée Hoche et poursuit par une classe de mathématiques supérieures et une licence en droit[7], mais il était plus attiré par une vie facile et devint un grand joueur de tennis et de bridge et mena une vie de « flambeur », à l'opposé de Raymond et au grand dam de leur père. Avant la naissance d'Adrien, la mère avait accouché d'un enfant mort-né. Après Raymond vint un troisième garçon, Robert Aron, qui obtint une licence en droit et en philosophie, publia une étude sur Descartes et Pascal[Laquelle ?] et après son service militaire entra dans l'administration de la Banque de Paris et des Pays-Bas (devenue en 1982 Paribas, qui fut ensuite rachetée en 2000 par la BNP pour former BNP Paribas), selon certains grâce à Raymond, qui jouait régulièrement au tennis avec son directeur.
ellauri367.html on line 116: La famille Rothschild, la plus célèbre famille à porter ce nom, sont des descendants de Mayer Amschel Rothschild (1744-1812). Né Mayer Amschel Bauer, à Francfort-sur-le-Main dans l'ouest de l'Allemagne, il changea son nom en Rothschild en référence au bouclier rouge, symbole de la maison familiale puis de la banque créée par son père. Ses descendants ont fondé depuis le XVIIIe siècle des dynasties de banquiers et financiers dans différents pays européens aux origines juives ashkénazes et aux différentes nationalités (allemande, française, britannique, israélienne, etc.).
ellauri408.html on line 496: Die Familie Amiel stammte ursprünglich aus Frankreich und war seit 1791 in Genf heimatberechtigt. Harryn porukat olivat hottentotteja, jotka pakenivat Sveitsiin Nantesin ediktin kumoamisen jälkeen. Deux tragédies familiales marquent son enfance : la mort de sa mère (d'une tuberculose), alors qu'il n'a que onze ans, et, moins de deux ans plus tard, le suicide de son père, qui se jette dans le Rhône. Henri-Frédéric, alors âgé de 13 ans, et ses deux sœurs cadettes, Fanny et Laure, sont recueillis par leur oncle Frédéric Amiel et leur tante Fanchette, déjà parents de onze enfants. Ce séjour dure sept ans.
ellauri428.html on line 425: La jeune épouse de Pirandello, peu instruite, ne comprenait pas les préoccupations littéraires de son mari, intellectuel brillant. Cette incompréhension s'est fixée en une jalousie maladive causée par la fascination que son mari exerçait sur ses jeunes élèves de l'école normale pour jeunes filles. Cette jalousie sans fondement va se transformer, peu à peu, après la faillite de l'entreprise familiale, en une folie. Le critique et essayiste Nino Frank se demande à ce sujet : « Lequel est né d'abord, de l'œuf ou de la poule ? Pirandello est-il devenu Pirandello parce que sa femme était folle, ou vice versa ? Peu importe à l'heure qu'il est. Ce qui importe, c'est que ce cas familial conditionne désormais l'inspiration de l'écrivain »
ellauri428.html on line 433: La vie familiale de Pirandello et de ses enfants est difficile et douloureuse. La paranoïa de sa femme, qui commence après la naissance de leur troisième enfant, aurait nécessité un internement mais Pirandello, qui ne peut s'y résoudre, garde sa femme au foyer familial pendant dix-sept années. L'écrivain, qui a trouvé refuge dans un travail acharné, écrit des nouvelles, des romans et des essais. Il publie son essai sur L'Humour en 1908 et collabore l'année suivante au Corriere della sera.
xxx/ellauri075.html on line 104: Il prend la direction de la manufacture familiale de 1908 jusqu'à son exil en 1919. Malgré la contrainte que représente la gestion de cette entreprise, il abandonne le droit et se tourne vers l'écriture et la philosophie.
xxx/ellauri075.html on line 110: En 1908, l'entreprise familiale est transformée en société. Il en prend la direction, mais se réserve plus de temps pour son travail personnel. À l'automne paraissent « Les Commencements et les Fins », un recueil d'articles parus en revues entre 1905 et 1907. Il s'installe à Fribourg-en-Brisgau en Allemagne.
xxx/ellauri128.html on line 182: Madame de Staël (/stal/) ou bien Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, était une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 1817. Issue d´une famille de protestants valdo-genevois richissimes, fille du ministre des finances de Louis XVI Jacques Necker, elle est élevée dans un milieu de gens de lettres. Elle épouse, en 1786, le baron Erik Magnus Staël von Holstein, ambassadeur du roi Gustave III de Suède auprès de la cour de France à Versailles. Le couple se séparera en 1800. Devenue baronne de Staël, elle mène une vie sentimentale agitée et entretient en particulier une relation orageuse avec Benjamin Constant, écrivain et homme politique franco-vaudois rencontré en 1794. Entretemps, sa réputation littéraire et intellectuelle s´est affirmée grâce à trois essais philosophiques que sont les Lettres sur les ouvrages et le caractère de Jean-Jacques Rousseau (1788), De l´influence des passions sur le bonheur de l´individu et des nations (1796) et De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (1800). Favorable à la Révolution française et aux idéaux de 1789 au debut, elle adopte une position critique dès 1791 et ses idées d´une monarchie constitutionnelle la font considérer comme une opposante gênante par les maîtres de la révolution. Malgré le statut de diplomate de son mari, elle doit se réfugier auprès de son père en Suisse à plusieurs reprises. Interdite de séjour sur le sol français par Napoléon Bonaparte qui la considère comme un obstacle à sa politique, elle s´installe en Suisse dans le château familial de Coppet qui sert de lieu principal de rencontres au groupe du même nom, et d´où elle fait paraître Delphine (1802), Corinne ou l´Italie (1807) et De l´Allemagne (1810/1813b). Ses œuvres fictionnelles majeures, dans lesquelles elle représente des femmes victimes des contraintes sociales qui les enchaînent, sont Delphine (1802) et Corinne ou l´Italie (1807).
xxx/ellauri128.html on line 531: Il préfère en effet une carrière littéraire à la direction de l’usine familiale et s’illustre d’abord par des romans qui lui gagnent un public féminin : Climats, Les Roses de septembre. Il obtient un Prix d´Honneur au Concours général et passe sa licence de lettres. Sa première épouse fut Jane-Wanda de Szymkiewicz (Jeanine) (1892-1923), fille d’un comte polonais qui lui donnera trois enfants, deux garçons et une fille, Michelle1.
xxx/ellauri187.html on line 300: During the centenary of Quamquam pluries in 1989, Pope John Paul II delivered the Apostolic exhortation Redemptoris custos ("Guardian of the Redeemer"). This exhortation is part of the "redemption documents" issued by the pope, and refers to the Marian encyclical Redemptoris Mater. It discusses the importance of Saint Joseph in the Holy Family, and presents the pope's view of Saint Joseph's role in the plan of redemption. John Paul II positions Saint Joseph as breaking the old vice of paternal familial domination, and suggests him as the model of a loving father.
xxx/ellauri200.html on line 176: Ezekiel enriched and established Indian English language poetry through his modernist innovations and techniques, which enlarged Indian English literature, moving it beyond purely spiritual and orientalist themes, to include a wider range of concerns and interests, including familial events, individual angst and skeptical societal introspection.
xxx/ellauri376.html on line 274: Mauprat est un roman historique publié en 1837. L'histoire se déroule pour la majeure partie dans le Berry à l'aube de la Révolution française au XVIIIe siècle. Il relate l'histoire d'un jeune garçon issu d'une famille de seigneurs cruels, les Mauprat, qui échappe peu à peu à son lourd héritage familial grâce à l'amour qu'il éprouve pour sa cousine Edmée, nettement plus civilisée que lui. L'œuvre recèle plusieurs aspects: si Mauprat est avant tout un roman d'amour et une histoire de famille, c'est aussi un roman politique, une fable philosophique et un manifeste féminin.
xxx/ellauri410.html on line 996: Mormons certainly do not equate Asherah with anything other than what she was, a pagan idol. You have misunderstood the Mormon belief, supported by the scriptures, that if our spirits are the literal offspring of God, and he is our heavenly father, logically therefore, we have a heavenly mother. And the same familial stucture which exists in heaven was instituted by God on earth when he created Adam and Eve, the first mortal parents. The article you referenced says nothing even close to your incorrect assertion that Mormons somehow believe a false pagan goddess was/is our heavenly mother.
22