ellauri014.html on line 1037: « Milord, me dit-il, en me donnant le saint nom d’ami, vous m’apprîtes à le porter. J’ai rempli la fonction dont vous m’avez chargé ; et vous voyant prêt à vous oublier, j’ai dû vous rappeler à vous-même. Vous n’avez pu rompre une chaîne que par une autre. Toutes deux étaient indignes de vous. S’il n’eût été question que d’un mariage inégal, je vous aurais dit : Songez que vous êtes pair d’Angleterre, et renoncez aux honneurs du monde, ou respectez l’opinion. Mais un mariage abject !… vous !… Choisissez mieux votre épouse. Ce n’est pas assez qu’elle soit vertueuse, elle doit être sans tache… La femme d’Edouard Bomston n’est pas facile à
ellauri036.html on line 833: Aussi facilement qu'il méprisait la vie
ellauri109.html on line 457: Flaubert n’est pas dupe. Il administre à cette innocente douteuse une morale qui mériterait d’être ajoutée au Dictionnaire des idées reçues : « Il est dans les idées reçues qu’on ne va pas se promener avec un homme au clair de lune pour admirer la lune. » Mais Musset a beau être diminué, il a été célèbre, ils se voient, tandis que Flaubert, tout mâle qu’il est, reste bien abstrait dans sa retraite de Croisset, à se battre comme un forcené avec l’expression. Il n’est pas facile d’être longtemps l’amante d’un obscur ermite ni de faire l’amour par correspondance. Le but est atteint puisque Flaubert s’interroge sous les yeux de Louise : « Ai-je été jaloux, moi, dans tout ça ? — Il se peut.
ellauri109.html on line 461: Il me déplaît pour avoir mis en axiomes et pratique « la Poésie du cœur » (double farce à l'usage des impuissants et des charlatans). En voilà un qui a été peu critique ! Il me paraît avoir eu sur l'humanité le coup d'œil d'un coiffeur sentimental ! Toujours « mon pauvre cœur », toujours les larmes ! — je crois du reste que la mère Colet l'a reproduit assez fidèlement ? et il est facile maintenant de le bien connaître. As-tu remarqué ses affectations de noblesse ? Ses éternels bals aux ambassades ? Comme c'est beau cet homme qui porte sa douleur dans le monde ! — telle qu'un bijou rare, pour l'ébahissement de ces Messieurs et ces Dames !
ellauri151.html on line 187: Fundit humo facilem victum justissima tellus!
ellauri158.html on line 1075: P. 4. prop. 49. Existimatio facile hominem, qui existimatur, superbum reddit.
ellauri210.html on line 134: Jarry indique que l’apostrophe précédant le nom sert à « éviter un facile calembour », mais ce peut être un commentaire humoristique dans la tradition de cette philosophie, puisque le terme ’pataphysique est lui-même un calembour (paronyme) de métaphysique. Étant donné que l'apostrophe n'influence ni le sens ni la prononciation de ’Pataphysique, ce terme a pu être créé pour spécifiquement rappeler des calembours divers. Ces calembours comprennent patte à physique, pas ta physique, et pâte à physique.
ellauri249.html on line 123: an facile et prōnum est agere intrā viscera pēnem
ellauri266.html on line 468: Le narrateur commence à apprendre le langage simien. Profitant d’une visite de routine, il dessine à Zira des figures géométriques et les théorèmes qui en découlent, puis le Système solaire et celui de Bételgeuse, la trajectoire de son vaisseau et son origine, la Terre. Zira comprend son message et lui demande de garder le secret car Zaïus pourrait lui causer des problèmes. Zira commence à apprendre le français et les deux peuvent communiquer facilement. Elle lui apprend comment les singes se sont développés sur cette planète alors que l’homme est resté à un stade d’animalité. Enfin, le narrateur retrouve l’air libre lorsque Zira l´amène en promenade, après trois mois d’enfermement, pour lui présenter Cornélius, son fiancé, un chimpanzé biologiste très intelligent et intuitif. Il se laisse tenir en laisse comme le lui a recommandé Zira et tente de dissimuler son intelligence. Zira lui apprend que Zaïus voulait le transférer à la division encéphalique pour pratiquer sur son cerveau des opérations délicates mais qu’elle l’en a empêché. Avec Cornélius, elle lui conseille de faire très attention et d´attendre le congrès des savants biologistes qui va se tenir dans les jours suivants où il sera présenté par Zaïus, pour révéler son secret.
ellauri349.html on line 492: Cette fortune familiale disparue avait permis aux trois enfants Aron de mener une vie aisée et de faire de bonnes études. Le frère aîné de Raymond, Adrien Aron (1902-1969), a étudié au lycée Hoche et poursuit par une classe de mathématiques supérieures et une licence en droit[7], mais il était plus attiré par une vie facile et devint un grand joueur de tennis et de bridge et mena une vie de « flambeur », à l'opposé de Raymond et au grand dam de leur père. Avant la naissance d'Adrien, la mère avait accouché d'un enfant mort-né. Après Raymond vint un troisième garçon, Robert Aron, qui obtint une licence en droit et en philosophie, publia une étude sur Descartes et Pascal[Laquelle ?] et après son service militaire entra dans l'administration de la Banque de Paris et des Pays-Bas (devenue en 1982 Paribas, qui fut ensuite rachetée en 2000 par la BNP pour former BNP Paribas), selon certains grâce à Raymond, qui jouait régulièrement au tennis avec son directeur.
xxx/ellauri169.html on line 471: Sometimes you can tell from the first shot. In “Compartment No. 6,” the camera follows a young woman at a party as she leaves a bathroom and enters a living room full of gathered friends. That walking, back-of-the-head shot is one of the soggiest conventions of the steadicam era, a facile way of conveying characters’ own fields of vision while anchoring the action on them. The familiarity of this trope suggests both limited imagination and an unwillingness to commit to a clear-cut point of view.
xxx/ellauri250.html on line 433: Sometimes you can tell from the first shot. In “Compartment No. 6,” the camera follows a young woman at a party as she leaves a bathroom and enters a living room full of gathered friends. That walking, back-of-the-head shot is one of the soggiest conventions of the steadicam era, a facile way of conveying characters’ own fields of vision while anchoring the action on them. The familiarity of this trope suggests both limited imagination and an unwillingness to commit to a clear-cut point of view. When used cannily, it can convey ambiguous neutrality and looming mystery, but, more often, it suggests the merely functional recording of action, which is exactly what’s delivered in “Compartment No. 6,” opening in theatres on Wednesday. The movie sinks, fast and deep, under the weight of dramatic shortcuts, overemphatic details, undercooked possibilities, unconsidered implications. It’s heavy-handed, tendentious, and regressive—and it should come as no surprise that it’s on the fifteen-film shortlist for the Best International Feature Oscar.
xxx/ellauri251.html on line 2226: Or honourable or with facile feet avenged
xxx/ellauri363.html on line 59: Si, ormai sono due anni che sto con il mio ragazzo è lui è davvero superdotato, mai visto e avuto uno così. Ci sono sia pro che contro. All'inizio non è stato facile, tanto che la prima volta chè l'abbiamo fatto mi ha fatto uscire sangue, ed io non ero vergine! Poi lui avendolo anche molto largo, ogni volta all'inizio della penetrazione mi fa molto male, e succede ancora oggi. Ma Dopo che entra poi va tutto bene ed è bellissimo fare sesso con lui, tranne quando spinge forte che con la sua lunghezza mi arriva allo stomaco e li sono dolori, ma con il tempo ha capito I miei limiti e dove lui può arrivare e come andare.
xxx/ellauri420.html on line 565: Aviottoman syntymänsä ja köyhyyden takia mlle de Lespinasse oli laiminlyöty lapsi. Hän sai peruskoulutuksen nunnaluostarista mutta oli pääasiassa itseoppinut, minkä ansiosta hän pystyi myöhemmin pitämään pintansa Ranskan kärkiälykköjen joukossa. Tunnistettuaan veljentyttärensä kyvyt Madame du Deffand houkutteli hänet vuonna 1754 Pariisiin. Siis Mlle de Lespinasse muutti sokean tätinsä luo Pariisiin. Kymmenen vuotta myöhemmin Madame du Deffand alkoi kadehtia nuoremman naisen vaikutusvaltaa nuorempiin salongeissa kävijöihin. L’arrivée de Julie au milieu de ce beau monde fait sensation. Elle n’est, certes, pas remarquée pour sa beauté mais son comportement est plein de grâce. Elle a un irrésistible besoin de plaire à tous, sans discrimination. Le ton de sa voix est très doux et exquis. Elle a l’art d’écouter et d’applaudir aux bons mots des autres. Elle s’enthousiasme facilement mais avec retenue et cette attitude tranche sur les sentiments blasés d’une société trop polie. Cela redonne vie à la marquise naturellement sceptique et craignant par-dessus tout de s’ennuyer. Au fur et à mesure de l’aggravation de sa cécité elle a bien besoin d’une telle compagne pour se rattacher à la vie.
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