ellauri053.html on line 167: Dans la première moitié du XIXe siècle les peintres français vont en faire un emploi très fréquent. La texture laquée et la tonalité d'un roux très sombre intéressent des peintres comme Prud'hon qui l'utilise dans son tableau La Justice et la Vengeance divine poursuivant le Crime, et il sert avec excès jusqu'à Gustave Courbet. Les artistes l'utilisent abondamment soit en glacis pour les ombres, soit en couche épaisse pour les aplats des fonds. L'usage d'une couleur chaude pour les ombres et les fonds apparaît alors comme une nouveauté remettant en question la doctrine courante qui voulait que les ombres et les lointains soient bleuâtres (froids).
ellauri161.html on line 919: Dans une intervention au souverain Sénat de Savoie, le sénateur de Maistre plaide pour que le peuple marche à grands pas vers l'égalité civile[9]. Toutefois, il déplore les excès populaires et les désordres qui bouleversent la vie du pays voisin. Certains biographes, dont Robert Triomphe[note 7], lui reprocheront ce qu'ils considèrent comme une volte-face.
xxx/ellauri128.html on line 138: À l'Académie, il soutint généralement le parti des Philosophes, mais sans en faire partie car les excès de ses membres l’irritaient : « Les grands raisonneurs et les sous-petits raisonneurs de notre siècle, disait-il, en feront et en diront tant qu’ils finiront par m’envoyer à confesse. » Ses relations avec Voltaire furent froides et leur correspondance n’est qu’académique et de politesse. Il n’avait pas de relations avec Diderot, dont on lui reprocha d’avoir fait échouer la candidature à l’Académie. Il se brouilla avec D'Alembert et les deux hommes ne se réconcilièrent jamais entièrement. Généralement, son caractère autoritaire rendit ses relations souvent difficiles avec ses collègues.
3