ellauri028.html on line 332: "Mademoiselle from Armentières" is an English song that was particularly popular during World War I. It is also known by its ersatz French hook line, Hinky Dinky Parlez-vous (variant: Parlay voo).
ellauri028.html on line 334: "Mademoiselle from Armentières" has roots in a tradition of older popular songs; its immediate predecessor seems to be the song "Skiboo" (or "Snapoo"), which was also popular among British soldiers of the Great War. Earlier still, the tune of the song is thought to have been popular in the French Army in the 1830s; at this time the words told of the encounter of an inn-keeper's daughter, named Mademoiselle de Bar le Duc, with two German officers. During the Franco-Prussian War of 1870, the tune was resurrected, and again in 1914 when the British and Allied soldiers got to know it.
ellauri028.html on line 336: The Pittsburgh Post-Gazette of December 4, 1939, reported that the historical inspiration for the song had been a young Frenchwoman named Marie Lecoq (later Marie Marceau), who worked as a waitress at the Café de la Paix in Armentières at the time of the war. Despite the obscenity of many popular versions of the song, it was reportedly quite clean in its original form.
ellauri028.html on line 338: "Mademoiselle from Armentières" was considered a risqué song and not for 'polite company', and when sung on the radio and TV, as in The Waltons, typically only the first verse was sung. The lyrics on which this opinion is based are recorded in the Gordon "Inferno" Collection.
ellauri028.html on line 366: Mademoiselle from Armentières
ellauri028.html on line 368: Mademoiselle from Armentières
ellauri028.html on line 370: Mademoiselle from Armentières,
ellauri028.html on line 374: Our top kick in Armentières
ellauri028.html on line 417: Mademoiselle from Armentières
ellauri028.html on line 419: Mademoiselle from Armentières
ellauri028.html on line 426: Mademoiselle from Armentières
ellauri028.html on line 437: Mademoiselle from Armentières
ellauri028.html on line 439: Mademoiselle from Armentières
ellauri028.html on line 443: Mademoiselle from Armentières
ellauri028.html on line 452: Mademoiselle from Armentières
ellauri028.html on line 454: Mademoiselle from Armentières
ellauri033.html on line 1063: Le tombeau qui l’attend l’engloutit tout entière, Odottava hauta nielaisee sen tyystin,
ellauri036.html on line 434: Ses longs cheveux épars la couvrent tout entière.
ellauri036.html on line 902: J'aime! — voilà le mot que la nature entière
ellauri046.html on line 469: Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, né Pierre-Augustin Caron le 24 janvier 1732 à Paris où il est mort le 18 mai 1799, est un écrivain, dramaturge, musicien et homme d'affaires français. Éditeur de Voltaire, il est aussi à l'origine de la première loi en faveur du droit d'auteur et le fondateur de la Société des auteurs. Également espion et marchand d'armes pour le compte du roi, c'est un homme d'action et de combats qui ne semble jamais désarmé face à un ennemi ou à l'adversité. Son existence est tout entière marquée par l'empreinte du théâtre et s'il est principalement connu pour son œuvre dramatique, en particulier la trilogie de Figaro, sa vie se mêle étrangement à ses œuvres.


ellauri053.html on line 120: Toute notre civilisation est aphrodisiaque. La société ouverte est celle qui embrasserait en principe l’humanité entière.
ellauri118.html on line 875: Il n´y a point de femme que le soin de sa parure n´empêche de songer à son amant; qu´elles en sont entièrement occupées; que ce soin de se parer est pour tout le monde, aussi bien que pour celui qu´elles aiment; que lorsqu´elles sont au bal, elles veulent plaire à tous ceux qui les regardent; que, quand elles sont contentes de leur beauté, elles en ont une joie dont leur amant ne fait pas la plus grande partie.
ellauri145.html on line 290: l'accablement causé par l'hiver glacial, humide et mortifère (I - Pluviôse, irrité contre la ville entière) ;
ellauri145.html on line 300: Pluviôse irrité contre la ville entière Sadekuu koko stadiin ärtynyt
ellauri145.html on line 995: L´eau de ses croyances entières, Uskon vihkiveden vajettumattomana,
ellauri210.html on line 1169: Personnalité tragique et indépendante, il abandonne la poésie au début des années 1950 pour se consacrer entièrement à la sculpture dans son atelier situé au 123, rue de Crimée à Paris, puis chez Hanesse à Pantin et, à partir de 1957, au 21, avenue du Maine, dans un atelier situé villa Marie Vassilieff (chemin du Montparnasse).
ellauri210.html on line 1342: Une population remarquable díversifiée de mollusques (escargots et vers de toutes formes et couleurs), de reptiles (couleuvres et serpents sans nom), de rongeurs ou arracheurs crée un climat anxiogène et menaçant. La matière est toute entière la proie de la morsure, de l’éventration, de l’étouffement ou de la souillure (op.cit., 1988).
ellauri349.html on line 507: Lors des évènements de Mai 68, Aron a d'abord un élan de sympathie pour les étudiants révoltés, avant de critiquer les débordements qu'il juge pseudo-révolutionnaires. Sartre, qui soutient le mouvement, étrille violemment son ancien ami : « Je mets ma main à couper qu'Aron ne s'est jamais mis en cause et c'est pour cela qu'il est, à mes yeux, indigne d’être professeur. Il faut, maintenant que la France entière a vu de Gaulle tout nu, que la France entière pût regarder Aron tout nu ». Aron répond calmement à ces attaques, dénonçant des arguments que « même un démagogue de bas étage n'aurait pas utilisés »
ellauri408.html on line 706: Le 31 décembre 1849, toujours à la prison Sainte-Pélagie, Proudhon épouse Euphrasie Piégard, une ouvrière passementière avec laquelle il aura quatre filles. Taas tuli halkiohaara! Contrairement à ce qui a parfois été écrit, Proudhon a bénéficié d´un droit de sortie pour se marier à la mairie du Ve arrondissement. Le mariage fut purement civil, au grand dam de sa femme, qui était croyante, et de son beau-père royaliste. Ses enfants ne seront jamais baptisés.
xxx/ellauri128.html on line 138: À l'Académie, il soutint généralement le parti des Philosophes, mais sans en faire partie car les excès de ses membres l’irritaient : « Les grands raisonneurs et les sous-petits raisonneurs de notre siècle, disait-il, en feront et en diront tant qu’ils finiront par m’envoyer à confesse. » Ses relations avec Voltaire furent froides et leur correspondance n’est qu’académique et de politesse. Il n’avait pas de relations avec Diderot, dont on lui reprocha d’avoir fait échouer la candidature à l’Académie. Il se brouilla avec D'Alembert et les deux hommes ne se réconcilièrent jamais entièrement. Généralement, son caractère autoritaire rendit ses relations souvent difficiles avec ses collègues.
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