ellauri033.html on line 160: renoncement total de la raison et de la conscience; enfin, par l´accent
ellauri036.html on line 880: Se sont-elles de terre enfin déracinées
ellauri036.html on line 992: Murmura-t-elle enfin : moi je n'ai pas d'argent,
ellauri051.html on line 3258: Lorsqu’il fut de retour enfin Kun oli lopultakin kotimaassa
ellauri055.html on line 170: Emprunt à l'occitan prunhon issu du latin vulgaire *prūnea pour prūna « prune ». Attesté d'abord en français sous la forme brignon (1600), et enfin brugnon (1680).
ellauri097.html on line 276: Ce qu 'ily a en moi d'impulsif, de rêveur, de charnel aussi, j'ai tendance à croire que je le dois à l'Irlande; à elle aussi tout ce qui fait que je réussis un jour pour échouer l'autre, tout ce qui m'a poussé à écrire mes livres, enfin le meilleur et le pire de moi-même. Je reconnais l'apport écossais dans mes crises religieuses, dans un amour profond et invariable de l'Ecriture... A travers moi l'humanité passe comme sur une grand-route. Je suis une parcelle de l'Univers. L'Univers est heureux en moi. Je suis le ciel, le soleil, les arbres, la Seine et les maisons qui la bordent...
ellauri109.html on line 441: Une première rupture avec Louise Colet en apporte la preuve. Dans sa lettre datée du dimanche 7 mars 1847, Flaubert ose enfin clamer à quel point il est allergique32 aux valeurs qu’elle véhicule, valeurs qui baignent et macèrent dans le discours ambiant du romantisme humanitaire33 : « tes idées de moralité, de patrie, de dévouement, tes goûts en littérature, tout cela était antipathique à mes idées, à mes goûts. »34 Ce qui vient immédiatement après est l’affirmation d’une esthétique, sur le mode de l’antithèse : « amoureux exclusif de la ligne pure, du galbe saillant, de la couleur criante, de la note sonore, je retrouvais toujours chez toi je ne sais quel ton noyé de sentiment qui atténuait tout, et altérait jusqu'à ton esprit ». Voilà les griefs d’un amant qui ne sépare pas l’art de la vie. Le lexique sentimental se trouve accaparé par le commentaire stylistique : « amoureux exclusif », écrit Flaubert, non pas d’une femme, comme Louise, elle, le voudrait, mais du tracé ferme, il lui reproche son « ton noyé de sentiment » qu’il interprète comme une déperdition de force et de précision. De même, les muscles relâchés, les lignes floues et les déliaisons trahissent le corps du texte féminin.
ellauri118.html on line 877: Il dit aussi que, quand on n´est point aimé, on souffre encore davantage de voir sa maîtresse dans une assemblée; que plus elle est admirée du public, plus on se trouve malheureux de n´en être point aimé; que l´on craint toujours que sa beauté ne fasse naître quelque amour plus heureux que le sien; enfin, il trouve qu´il n´y a point de souffrance pareille à celle de voir sa maîtresse au bal, si ce n´est de savoir qu´elle y est, et de n´y être pas.
ellauri144.html on line 606: obtient enfin les financements nécessaires à la poursuite de ses travaux. Commence
ellauri146.html on line 527: Mais enfin je suis las. J’ai l’âme si pesante, Mutta nyt mä olen kylästynyt, niin on sielu raskas,
ellauri146.html on line 566: Et quand enfin Samson, secouant les colonnes Ja kun loppuviimexi Homer Simpson heiluttaa
ellauri150.html on line 275: Christophe l’attirait, pour beaucoup de raisons, dont la première était qu’il n’était pas attiré par elle. Il l’attirait encore, parce qu’il était différent de tous les jeunes gens qu’elle connaissait : elle n’avait jamais essayé encore d’une potiche de cette forme et de ces aspérités. Il l’attirait enfin, parce qu’experte, de race, à évaluer du premier coup d’œil le prix exact des potiches et des gens, elle se rendait parfaitement compte qu’à défaut d’élégance, Christophe avait une solidité, qu’aucun de ses bibelots parisiens ne pouvait lui offrir.
ellauri163.html on line 596: Et mon esprit enfin n´est pas plus offense

ellauri172.html on line 554: Dans cette salle à manger, présentement muette, mais dont les murs nous en diraient de si belles s’ils pouvaient parler, puisqu’ils auraient ce que je n’ai pas, moi, l’impassibilité des murs, l’heure des vanteries qui arrive si vite dans les dîners d’hommes, d’abord décente, — puis indécente bientôt, — puis déboutonnée, — enfin chemise levée et sans vergogne, amena les anecdotes, et chacun raconta la sienne… Ce fut comme une confession de démons !
ellauri172.html on line 590: Nous on a ete de "mauvais sujets", mais, il y avait des choses, — pas beaucoup ! mais enfin il y en avait bien une ou deux, dont, si démons que nous fussions, nous n’aurions pas été capables, comme par exemples donner du cul. Mais, lui (prétendait-on), il était capable de tout. Ils l’accusaient de servilité avec les chefs et de basse ambition. Ils allèrent même jusqu’à le soupçonner d’espionnage. Il était aussi à la fois heureux au jeu et heureux en femmes ; ce qui n’est pas l’usage non plus. Rumat miehet ovat yhtä mustasukkaisia könsikkäille kuin rumat naiset.
ellauri203.html on line 206: En attendant la construction de leur nouvelle résidence (baptisée « palais Marie »), Maximilien et son épouse s'installent au palais d'Hiver. Ils y restent jusqu'en 1845 et c'est là que naissent leurs quatre premiers enfants, Alexandra, Marie, Nicolas et Eugénie. Après cette date, le couple peut enfin prendre son indépendance et Maximilien transfère ses collections de tableaux, d'armes et de minéraux en Russie. Une bonne partie d'entre elles se trouvent aujourd'hui au musée de l'Ermitage ou dans d'autres institutions du pays.
ellauri339.html on line 291: Travailleurs, groupons-nous enfin. Työntekijät, ryhmittykäämme vihdoin yhteen.
ellauri339.html on line 354: Qu'enfin le passé s'engloutisse ! Anna menneiden vihdoin niellä!
xxx/ellauri139.html on line 992: Dieu qui pardonne enfin à la nature humaine Jumala joka antaa kuitin ihmisluonnolle
xxx/ellauri139.html on line 1030: En 1775 paraît sa première pièce majeure Le Dix-huitième siècle. C’est une satire en vers qui donne la caricature de son temps ; la philosophie y est le principe de la « chute des arts », de la « perte des mœurs ». Tout y est matière à charge : la bourgeoisie, la noblesse, le clergé libertin ; la littérature du moment y est passée au peigne fin. Des généralités sociales, on passe bientôt aux attaques ad hominem ; à la fin de la satire, du reste, le nom honni paraît enfin : Voltaire. Le Dix-huitième siècle est véritablement à sa parution, et pour reprendre le mot de Huysmans, « un météore dans le champ littéraire » de l’époque. Il n'est pas de bon ton, La critique se dechaine.
xxx/ellauri173.html on line 188: Quant aux mystiques, je puis leur soumettre une réflexion naïve, paradoxale, superficielle, s’ils veulent, mais singulière : ― N’est-il pas attristant de penser que si Dieu, le Très-Haut, le bon Dieu, dis-je, enfin le Tout-Puissant, (lequel, de notoriété publique, est apparu à tant de gens, qui l’ont affirmé, depuis les vieux siècles, ― nul ne saurait le contester sans hérésie ― et dont tant de mauvais peintres et de sculpteurs médiocres s’évertuent à vulgariser de chic les prétendus traits) ― oui, penser que s’Il daignait nous laisser prendre la moindre, la plus humble photographie de Lui, voire me permettre, à moi, Thomas Alva Edison, ingénieur américain, sa créature, de clicher une simple épreuve videographique de Sa vraie Nez et Voix (car le tonnerre a bien mué, depuis Franklin), dès le lendemain il n’y aurait plus un seul athée sur la terre !
xxx/ellauri176.html on line 186: Vous aurez donc compris que La Faute de l’abbé Mouret est un Zola un peu atypique qui respecte moins le schéma habituel des autres (enfin sauf que ça finit mal). Zola a un peu tendance à perdre son lecteur dans la forêt du Paradou et au milieu des atermoiements de Serge Mouret. Il s’agit donc d’un Zola que je déconseille en première instance (voire même en seconde). Les téméraires pourront néanmoins profiter de descriptions paradisiaques à foison, d’une fin tragi-comique et d’un propos qui reste très intéressant.
xxx/ellauri176.html on line 384: Se séparer enfin ses froides pierreries. pääsystä vihdoin eroon kylmistä kivistä.
xxx/ellauri259.html on line 566: Normalt handler de fra deres bolig i det nordligste Frankrig med antikvariske bøger, især illustrerede værker fra 1700-tallet inden for astronomi og zoologi. Men under en forretningsrejse til Bordeaux og siden Paris kommer Tara ud for det sælsomme, at verden i løbet af natten vender tilbage til sit udgangspunkt. Den har nemlig forrykket sig med et døgn og kan følgelig genfindes nøjagtig som dagen før.
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