ellauri014.html on line 1197: « On ne sait pas, disait-elle, quelle douceur c’est de s’attendrir sur ses propres maux et sur ceux des autres. La sensibilité porte toujours dans l’âme un certain contentement de soi-même indépendant de la fortune et des événements. Que j’ai gémi ! que j’ai versé de larmes ! Eh bien ! s’il fallait renaître aux mêmes conditions, le mal que j’ai commis serait le seul que je voudrais retrancher ; celui que j’ai souffert me serait agréable encore.»
ellauri033.html on line 149:

C´est cette douceur ineffable qui fait le charme tout particulier de
ellauri033.html on line 150: Verlaine. La beauté que les ´Parnassiens´ exprimaient dans leurs rythmes précis et stricts avait quelque chose de dur. En quelques pièces exquises, Verlaine a mis la douceur d´une âme tout enfantine.


ellauri131.html on line 1099: Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère Ole salarakas, ole sisko väliaikainen,
ellauri146.html on line 524: Car la bonté de l’Homme est forte, et sa douceur Sillä miehen hyvyys on iso, ja kiltteys
ellauri206.html on line 454: Selon le témoignage de ses contemporains, Gassendi se levait régulièrement à trois heures du matin, jamais plus tard que quatre heures, et quelquefois à deux. Il étudiait jusqu'à onze heures, à moins de recevoir une visite et se remettait à l'étude vers deux ou trois heures après midi jusqu'à huit. Il soupait légèrement (une tisane tiède, des légumes, rarement de la viande) et se couchait entre neuf et dix. On le disait pieux, et pratiquant avec scrupule ses devoirs de prêtre ; ses paroissiens l'appelaient le saint prêtre. Par sa pauvreté, sa modestie, sa douceur, son humanité, sa bienfaisance, sa charité et sa simplicité, il faisait figure d'un anachorète, vivant dans le monde selon la règle d'un monastère. « Le plus grand philosophe parmi les hommes de lettres, et le plus grand homme de lettres parmi les philosophes », sanoi gibboni. Peu d'auteurs ont imaginé qu'il s'agissait là d'une posture, ou d'un masque.
ellauri210.html on line 422: Ja suloisuutta Et la douceur
xxx/ellauri137.html on line 219: La douceur du foyer et le charme des soirs,
xxx/ellauri137.html on line 236: Et je buvais ton souffle, ô douceur! ô poison!
xxx/ellauri139.html on line 1196: Ma douceur n’est qu’une grimace ; Hyvyyteni on vain irvstys;
xxx/ellauri176.html on line 168: Quelque estime que l'on ait pour Franju, il faut constater son échec. Si La Faute de l'abbé Mouret n'est pas un des meilleurs Rougon Macquart, le roman ne manquait ni de puissance, ni de poésie. Dans le film, on se trouve en face d'un anticléricalisme primaire dont la puissance, parfois ressentie au travers du personnage d'Archangias, est en partie désamorcée par des allusions aux faits actuels. Comment croire qu'Archangias borné, fanatique, puisse imaginer l'existence future des prêtres ouvriers, de la messe en français ? La violence du frère, la douceur évangélique de Serge deviennent ainsi schématiques, concertées.
xxx/ellauri176.html on line 170: Et le merveilleux Paradou du roman, ce paradis panthéiste, cet hymne à la nature, à l'amour – ces paysages décrits par Zola perdent toute vibration, toute poésie. On croit voir défiler les pages du catalogue Vilmorin où s'ébattent Serge et une Albine issue du Petit Echo de la Mode. Le film projeté ne montre pas la séquence du grenier, la découvert des toilettes féminines – les nombreux changements de robe d'Albine sont, dès lors, gratuits, irritants. Comme tous les autres acteurs, Gillian Hills (Albine) est mal dirigée, elle n'a aucune grâce, aucun naturel. Francis Huster (Serge), lui, a du charisme mais son dur combat, sa douceur sont hélas surtout perceptibles par le fard qui rantôt ranime, tantôt creuse un visage que des zooms inutiles amènent en gros plan. Et pour avoir voulu donner aux paysages de la Sainte-Baume, du Lubéron, du Parc Floral d'Orléans une certaine unité, on aboutit à des tonalités froides, éteintes. Seules les intérieurs (l'église, la chambre de Serge, la salle à manger de la cure) gardent leurs contrastes, leurs valeurs. Les personnages n'existent guère, aucune vibration n'émane d'eux, ni de la nature cruelle ou triomphante, de ce Paradou, terre-mère bruissante de vie, féconde.
xxx/ellauri376.html on line 283: Edmée de Mauprat, quant à elle, est une jeune femme noble et vertueuse. Son personnage est empreint de douceur et de détermination, faisant d’elle un personnage féminin fort et inspirant. Leurs histoires entrelacées de passion et de rédemption nous tiennent en haleine, nous invitant à réfléchir sur la nature humaine et sur la possibilité de changer et de se racheter. Lunastusta kehiin taas. Vizi moraali on yhtä kaupanhierontaa.
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