ellauri012.html on line 624: Après ces instructions, qui doivent tenir la première place, je crois qu’il n’est pas inutile de laisser aux filles, selon leurs loisirs et la portée de leur esprit, la lecture des livres profanes qui n’ont rien de dangereux pour les passions : c’est même le moyen de les dégoûter des comédies et des romans. Donnez-leur donc les histoires grecques et romaines ; elles y verront des prodiges de courage et de désintéressement. Ne leur laissez pas ignorer l’histoire de France, qui à aussi ses beautés ; mêlez celles des pays voisins, et les relations des pays éloignés judicieusement écrites. Tout cela sert à agrandir l’esprit, et à élever l’âme à de grands sentiments, pourvu qu’on évite la vanité et l’affectation.
ellauri014.html on line 1206: « Voyez donc, continuait-elle, à quelle félicité je suis parvenue. J’en avais beaucoup ; j’en attendais davantage. La prospérité de ma famille, une bonne éducation pour mes enfants, tout ce qui m’était cher rassemblé autour de moi ou prêt à l’être. Le présent, l’avenir, me flattaient également ; la jouissance et l’espoir se réunissaient pour me rendre heureuse. Mon bonheur monté par degrés était au comble ; il ne pouvait plus que déchoir ; il était venu sans être attendu, il se fût enfui quand je l’aurais cru durable. Qu’eût fait le sort pour me soutenir à ce point ? Un état permanent est-il fait pour l’homme ?
ellauri033.html on line 877: Aimons donc, aimons donc ! de l´heure fugitive,
ellauri036.html on line 295: Où donc est leSauveur pour entr'ouvrir nos tombes ?
ellauri036.html on line 296: Où donc le vieux saint Paul haranguant les Romains,
ellauri036.html on line 298: Où donc est le Cénacle ? où donc les Catacombes ?
ellauri036.html on line 299: Avec qui marche donc l'auréole de feu?
ellauri036.html on line 301: Où donc vibre dans l'air une voix plus qu'humaine?
ellauri036.html on line 461: Quelle est donc cette femme assise à ton chevet,
ellauri036.html on line 468: Pour qui donc ces flacons, cette table fumante,
ellauri036.html on line 470: Pour qui donc ces flambeaux, et qui donc va venir?...
ellauri036.html on line 474: À qui donc ce manteau que cette femme essuie ?
ellauri036.html on line 479: Où donc t'en allais-tu par cette nuit d'orage?
ellauri036.html on line 587: Prié! — Qui donc, grand Dieu! C'est toi qu'en cette vie
ellauri036.html on line 628: Eh bien, lève-toi donc, puisqu'il en est ainsi,
ellauri036.html on line 702: Oh! venez donc rouvrir vos profondes entrailles
ellauri036.html on line 705: Frappez-leur donc le cœur sur vos saintes murailles.
ellauri036.html on line 707: Trempez-leur donc le front dans les eaux baptismales,
ellauri036.html on line 708: Dites-leur donc un peu ce qu'avec leurs genoux
ellauri036.html on line 817: Dites-moi, terre et deux, qu'est-ce donc que l'aurore?
ellauri036.html on line 821: Si vous n'éprouvez rien, qu'avez-vous donc en vous
ellauri036.html on line 823: ô terre! à ton soleil qui donc t'a fiancée?
ellauri036.html on line 827: Et pourquoi donc aimer ? Pourquoi ce mot terrible
ellauri036.html on line 848: Qui donc au moribond osait parler d'aimer?
ellauri036.html on line 851: Qui donc lui dit alors qu'il peut quitter la terre,
ellauri036.html on line 853: Qui donc lui parle bas, l'encourage et l'appelle ?
ellauri036.html on line 980: — Vous avez donc joué? — Non, je suis ruiné.
ellauri049.html on line 326: Elle était donc couchée et se laissait aimer, No se siis oli pötköllään ja antoi naida,
ellauri109.html on line 449: Lamartine (1790-1869), bête noire, permet de détourner en partie et de crypter la critique virulente que Flaubert adresse à l’écriture femelle. Lamartine, auteur féminin entre toutes les femmes, permet à Flaubert de poursuivre sa guerre misogyne. Le procès que Flaubert intente à la poésie du premier romantisme se fonde donc massivement sur la haine du féminin.
ellauri109.html on line 455: Ainsi, dans une lettre datée du mardi 6 juillet 1852, il revient sur le récit qu’elle lui a fait de sa promenade au clair de lune avec Musset (on sait que Musset est un spécialiste des bal(l)ades au clair de lune). Flaubert écrit donc longuement sur Musset en réaction à l’épisode que lui rapporte Louise Colet, assez naïve ou ennuyée pour lui faire ce genre de compte rendu détaillé, à moins qu’elle n’ait trouvé là un moyen commode de le provoquer : elle lui raconte la rencontre de nuit, la scène où Musset, ivre de dépit, la jette d’un fiacre en marche.
ellauri118.html on line 809: La Princesse de Clèves est un roman de Madame de La Fayette, d´abord publié anonymement en 1678. Le roman prend pour cadre la vie à la cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second », comme l´indique le narrateur dans les premières lignes du récit. Il peut donc être défini comme un roman historique, même s´il inaugure, par bien des aspects (souci de vraisemblance, construction rigoureuse, introspection des personnages) la tradition du roman d´analyse. C´est en effet un des premiers romans dits psychologiques, ce qui contribue à sa modernité.
ellauri145.html on line 448: Mais Chance, dis-moi donc de quel nom tu te nommes ? Mutta sattuma, sanopas millä nimellä sa kuzut izeäsi?
ellauri145.html on line 882: Songez donc ! si j´étais un sage, Kelaa nyt! Jos oisin viisas,
ellauri145.html on line 896: Pourquoi donc, partout à la ronde, Mixet sitten kaikille sun rundilla
ellauri145.html on line 1018: Je puis donc y mettre un baiser Mä voin painaa siihen suukkosen
ellauri145.html on line 1143: Il a inventé un caoutchuc artificiel et un café soluble lyophilisé dont il a déposé le brevet, le 7 mars 1881 sous le numéro no 141520, bien avant donc que Nestlé, grâce à son chimiste alimentaire Max Morgenthaler (de), ne le reprenne en 1935 et lance le Nescafé. Un holorime d´Alphonse suffira ici.
ellauri151.html on line 282: Dilthey a le premier noté l’importance d’un texte de jeunesse de Hegel et y a signalé comme une première esquisse de ce que sera plus tard «la conscience malheureuse». On sait quelle importance revient à la conscience malheureuse dans la Phénoménologie de Hegel, et plus tard encore dans la Philosophie de la Religion. Sous une forme abstraite la conscience malheureuse est la conscience de la contradiction entre la vie finie de l’homme et sa pensée de l’infini. « En pensant je m’élève à l’absolu en dépassant tout ce qui est fini, je suis donc une conscience infinie et en même temps je suis une conscience de soi finie et cela d’après toute ma détermination empirique... Les deux termes se cherchent et se fuient — je suis le sentiment, l’intuition, la représentation de cette unité et de ce conflit et la connexion de ces termes en conflit... je suis ce combat, je ne suis pas un des termes engagés dans le confit, mais je suis les deux combattants et le combat lui-même, je suis le feu et l’eau, qui entrent en contact et le contact et l’unité de ce qui absolument se fuit. » La conscience malheureuse qui dans la Phénoménologie trouve son incarnation historique dans le judaïsme et dans une partie du moyen âge chrétien est en effet la conscience de la vie comme du malheur de la vie. L’homme s’est élevé au-dessus de sa condition terrestre et mortelle ; il n’est plus que le conflit de l’infini et du fini, de l’absolu qu’il a posé en dehors de la vie, et de sa vie réduite à la finitude…
ellauri161.html on line 931: Toute religion doit pour de Maistre être sociale ; or, le protestantisme n'étant pas social à ses yeux, voire anti-souverain par nature, il n'est pas une religion. La religion doit apporter des croyances communes, et apporter la cohésion de l'organisme politique. Elle doit protéger le pouvoir autant que le pouvoir doit la protéger. Il n'est donc pas question de séparer l'Église de l'État, bien au contraire. C'est pourquoi Joseph de Maistre prônera un régime de type théocratique, dans lequel la religion tient un rôle fortement structurant, devant apprendre aux sujets le respect aveugle pour l'autorité et « l'abnégation de tout raisonnement individuel."
ellauri161.html on line 933: Si Jean-Jacques Rousseau s'accordait également à dire que la religion était nécessaire au corps politique, il rejetait en revanche le christianisme comme étant ennemi de la république. Chez Joseph de Maistre, à l'inverse, la religion chrétienne est la plus adaptée, car elle soutient parfaitement la monarchie et se base sur la tradition, sans laquelle il est impossible que soit fondée une religion. Or, la monarchie est elle-même le régime politique le plus adapté : comme il l'affirme dans ses Considérations sur la France, la monarchie est un équilibre qui s'est constitué au fil de l'histoire. C'est un régime tempéré mais fort, et qui ne tend pas, selon lui, vers la violence, à l'inverse de la république qu'il voit comme un régime déséquilibré et instable. De plus, la monarchie est le régime qui respecte le plus ce qu'il considère comme un fait naturel : à savoir l'inégalité entre les hommes, que la monarchie intègre dans son organisation, et qui est relativisée grâce à l'égalité de tous dans leur assujettissement au roi. Pour Joseph de Maistre, la république y substitue une égalité utopique, qui ne prend pas en compte la véritable nature de l'Homme. Car ce dernier doit vivre en société, et toute société doit être structurée autour d'une hiérarchie, ce qui justifie donc l'existence d'ordres dans la société.
ellauri162.html on line 268: Que peuvent donc avoir de commun les écrivains Marcel Camus, Marcel Aymé, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Louis Aragon, Jacques Prévert, Georges Bernanos, Aimé Césaire, Bernard Clavel, Guy de Maupassant, Georges Sand, les peintres Claude Monet, Gustave Courbet, Honoré Daumier, les compositeurs Hector Berlioz, Maurice Ravel, les politiciens Philippe Seguin (de droite), Jack Ralite (de gauche), le syndicaliste Edmond Maire, le philosophe Jacques Bouveresse, les chanteurs et poètes Georges Brassens, Léo Ferré, l'acteur et humoriste Bourvil, les actrices Catherine Deneuve, Claudia Cardinale, Brigitte Bardot, la chanteuse Mylène Farmer, la madame Miss France Geneviève de Fontenay, les prix Nobel de physique Pierre et Marie Curie, le médecin humanitaire Anne-Marie Gouvet, la chercheuse spécialiste des cancers professionnels Annie Thiebaud-Mony, ou tout récemment le dessinateur de bandes dessinées Tardy… ?
ellauri164.html on line 86: Et c’est encore la vie ! — Si la damnation est éternelle ! Un homme qui veut se mutiler est bien damné, n’est-ce pas ? Je me crois en enfer, donc j’y suis. C’est l’exécution du catéchisme. Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre. Pauvre innocent ! L’enfer ne peut attaquer les païens. — C’est la vie encore ! Plus tard, les délices de la damnation seront plus profondes. Un crime, vite, que je tombe au néant, de par la loi humaine.
ellauri164.html on line 106: Fiez-vous donc à moi, la foi soulage, guide, guérit. Tous, venez, — même les petits enfants, — que je vous console, qu’on répande pour vous son cœur, — le cœur merveilleux ! — Pauvres hommes, travailleurs ! Je ne demande pas de prières ; avec votre confiance seulement, je serai heureux.
ellauri172.html on line 156: — Ah ! maintenant, je me rappelle !… dit-il. Qu’ai-je donc ? — Mais tu es morte ! Rooger änkyttää. Herra hän haisee jo. Sitä ei Roogerin olisi pitänyt sanoa, taika raukesi. Un faible soupir d’adieu et merci, distinct, lointain, parvint jusqu’à l’âme de Roger. Oh ! murmura-t-il, c’est donc fini ! — Seuraava kokous on sit nahkurin orsilla. Tarina osoitti millainen mahti tahto kaikkinensa on. Kuten sanottua, bullshittiä. Tää vähän ennakoi Blavatskyn ja muiden meedioiden trendausta.
ellauri172.html on line 606: Qui donc a dit — ce doit être un Anglais — que le monde est l’œuvre du Diable, devenu fou ? C’était sûrement ce Diable-là qui, dans un accès de folie, avait créé la Rosalba, pour se faire le plaisir… du Diable, de fricasser, l’une après l’autre, la volupté dans la pudeur et la pudeur dans la volupté, et de pimenter, avec un condiment céleste, le ragoût infernal des jouissances qu’une femme puisse donner à des hommes mortels.
ellauri172.html on line 639: — Elle n’a donc pas duré ? Tu sais donc, toi, ce que cette chienne de femme-là est devenue ? — fit Capitain Haddock, haletant d’intérêt excité, et oubliant pour une minute cette visite à l’église qui le tenait si dru.
ellauri172.html on line 717: — Servez donc le café ! — sanoi nuhaisella äänellään vanhempi M. de Mesnilgrand. — jos se on yhtä vahvaa kuin sun kaskusi, niin se on hyvää.
ellauri266.html on line 478: Cornélius renvoie par avion le narrateur en ville. Ils ont tous deux compris que la civilisation des singes est uniquement bâtie sur l’imitation. À son retour, Zira apprend au narrateur que Nova est tombée enceinte lors des tests d´accouplement que Zaïus avait demandés. Elle a donc été transférée dans un autre service pour que la naissance reste secrète.
ellauri285.html on line 710: Régis Debray affirme que quand s’épuise le sens du symbolique reviennent les autorités religieuses. Plus la puissance symbolique est dématérialisée (la religion), plus l’ordre symbolique est fort et plus la puissance symbolique est historicisée (personnages), plus l’ordre symbolique est fragile. Une humanité sans croyance est donc, selon lui, réduite à l’animalité.
ellauri322.html on line 51: Thomas Paine est né en 1737 à Thetford, une bourgade du Norfolk en Angleterre. Son père, Joseph Pain, est quaker et sa mère, Frances Cocke Pain, anglicane. Malgré les affirmations selon lesquelles Thomas aurait changé l'orthographe de son nom de famille lors de son émigration en Amérique en 1774, il utilisait "Paine" déja en 1769, alors qu'il était encore à Lewes, dans le Sussex. Il grandit dans un milieu rural modeste et quitte l'école à l'âge de douze ans. Sa formation intellectuelle est donc celle d'un autodidacte. Grâce à cela, sa pensée simple et son style concis et clair ont fait de lui une arme efficace de propagande.
ellauri408.html on line 1041: Bob | abat-jour | abbaye de Cluny | arche | arrière-boutique | arrière-garde | arrière-train | arrondissement | artiche | auguste | au pet | baba | baba du pauvre | baigneur | ballon | banlieue | baril de moutarde | bas | bas des reins | base | bavard | beautés occidentales | beautés postérieures | bernard | bienséant | bol | bonda | bon endroit | borgne | bottom | boule | brioches | bronze | cadet | cadran | cadran humain | cadran lunaire | cadran solaire | canon | canonnière | cavu | centre | centre de gravité | chose | cible à coups de pied | cocotier | comète | contrebasse | coquillard | côté face | coufa | coup de pied dans les reins | croupe | croupière | croupion | cucu | cul | culasse | culot | cuvette | cyclope | dargeaf | dargeoskoff | dargeot | dargif | demi-lunes | département du bas-rein | der | derche | derge | derjo | derrière | deux citrouilles | deux melons | deux soeurs | discret | disque | dos | dossière | double-blanc | double-six | endroit où les grenouilles n'ont pas de queue | envers | épaules qui trottent | être renforcé sur la culasse | face du Grand Turc | faubourg | fiac | fiacre | fias | fignard | figne | fignoton | figue | figure | fion | firts | fla | flacdal | flaquet | foireux | foiron | foirpette | fondement | fouettard | fouigne | fouindé | garde-manger | giberne | giffaut | globes | gnarre | grosse caisse | gros visage | hémisphères | jacques | joues (les) | joufflu | jumelles | juste milieu | la partie la plus exhubérante de ses attraits | le bas de l'épine dorsale | le bas Rhin | les deux frangines | lignefuche | lorgne | luc | lune | lunette de viande | machine à moulin | mappemonde | médaillon | meules | miches | molistrol | montre | mouilles (les -) | moule à merde | moulin à vents | moutardier | n'a-qu'un-oeil | naze | noix | obusier | oeuf | où je pense | où vous savez | pains au lait | panier | panier à crottes | panier fleuri | parfaitement | partie charnue | parties basses | pastèque | patelette | pendule | pétard | pète | péteux | petits pains | pétoulet | pétrousquin | pétrus | pignard | pleine-lune | pommes | ponant | pont arrière | pont-arrière | popotas | popotin | postère | pot | pot à crottes | pot à moutarde | potard | pot-au-feu | potin | pouet | prose | proye | prozinard | prussien | quelque part | réchaud | reposoir | revers de la médaille | rondeurs | rose des vents | rotondités | sac à foire | salle de danse | seuff | sonore | soufflet | staphanari | taffanard | tal | tambour | tapanard | t'as donc faim, que tu frappes au garde-manger ? | tcho-tcho | Thomas | tirelire | tôle | train | trèfle | trompe | trompette musicale | trouffe | troufignon | troufion | trousse | troussequin | uc | ulc | valseur | vase | vénérable | verre de montre | vezouille | visage sans nez Tintin | châssis arrière | ci-devant | dualisme charnu | fessier | fiotas | fiotum | monument | tarma | tates.
xxx/ellauri123.html on line 1229: Il faut donc pour ce v.. un grand c.. vermoulu, Tää k.. vaatii siis ison madonsyömän v..n,
xxx/ellauri126.html on line 471: Claude Sarraute est donc la belle-mère du célèbre moine tibétain, interprète du dalaï-lama. Claude Sarraute "n'entend plus, ne voit plus, ne marche plus" Les apparitions de Claude Sarraute sur nos antennes se font rares, puisque la journaliste est désormais âgée de 93 ans. Mais en 2019, elle refait surface , appelée par son ami Laurent Ruquier, en pleine émission des Grosses têtes. "Mais dans ma grosse tête, ça va très bien", avait assuré Claude Sarraute, non sans humour et pétulance.
xxx/ellauri126.html on line 476: Pour l'anecdote, Jean-François Revel (Ricard, de son vrai nom), est le père du bouddhiste Matthieu Ricard. Claude Sarraute est donc la belle-mère du célèbre moine tibétain, interprète du dalaï-lama.
xxx/ellauri173.html on line 58: Il a en effet fabriqué un être artificiel de silicon et il attendait une occasion pour expérimenter son invention. Il lui propose donc d'adapter physiquement le prototype à son modèle feminin, tout en le rendant spirituellement bien supérieur. Car Il donne à l'être fabriqué l'âme" d'une jeune homme, c'est d'une grande perfection ainsi, plongée dans un sommeil hypnotique profond.
xxx/ellauri173.html on line 490: Tâche donc, instrument des fuites, ô maligne
xxx/ellauri174.html on line 328: Mancanillier, mancanillier, s. m. Arbre à poison, Toxicodendron, de l'Amérique Méridionale. Raynal, dans son Hist. Philos, l'appelle Mancanillier, de l'Espa- gnol Mancanilla. il est gros comme un noyer, ses feuilles ressemblent à celles du pommier, et son fruit aux pommes d'apis. Ceux qui dorment à l'ombre de cet arbre perfide, sont exposés à ne plus se réveiller. Les troupeaux le fuient ; et l'homme qui n'est pas averti va se reposer sous son ombrage et mange de ses fruits. Il faut donc que les animaux aient l'odorat plus fin, que celui de l'homme.
xxx/ellauri176.html on line 186: Vous aurez donc compris que La Faute de l’abbé Mouret est un Zola un peu atypique qui respecte moins le schéma habituel des autres (enfin sauf que ça finit mal). Zola a un peu tendance à perdre son lecteur dans la forêt du Paradou et au milieu des atermoiements de Serge Mouret. Il s’agit donc d’un Zola que je déconseille en première instance (voire même en seconde). Les téméraires pourront néanmoins profiter de descriptions paradisiaques à foison, d’une fin tragi-comique et d’un propos qui reste très intéressant.
xxx/ellauri176.html on line 358: Madame, allez-vous donc mourir ? Neiti, aiotteko siis kuolla?
xxx/ellauri177.html on line 264: -- Quoi donc? Quoi donc?
xxx/ellauri225.html on line 279: Cette construction littéraire a été décrite pour la première fois par le linguiste Adolf Tobler, en 1887. Il l´a découverte en étudiant les écrits de Zola et Flaubert. Un autre linguiste, Charles Bally, lui donna en 1912 un nom et l´appela « style indirect libre », et ce n´est que plus tard, que peu à peu, style devint discours, car cette forme vise à restituer une parole, et est donc plus proche du discours que du style.
xxx/ellauri376.html on line 667: Redouble donc tes infortunes,
xxx/ellauri420.html on line 534: Sa matière, comme on sait, est empruntée à Jean Paul Richter, et plus précisément à un épisode du roman Siebenkäs (1796) intitulé Le Discours du Christ mort, traduit par Mme de Staël sous le titre Un songe et lu par Nerval probablement dans la version que Loève-Veimars publie sous le titre La Dernière Heure – Vision dans la Revue de Paris du 4 juillet 18308 . Le monologue lyrique qui découle de cet emprunt est donc mis au centre du poème, – signe que, pour les romantiques et très singulièrement pour Nerval, toute matière discursive doit être
xxx/ellauri420.html on line 537: Le Christ n’est donc pas le simple « personnage » d’une narration distanciée : il est un avatar de la subjectivité lyrique, laquelle engage à son tour la vie même du poète. Rappelons à ce propos qu’une première version du poème – celle contenue dans la lettre à Victor Loubens – remonte à la crise de 1841 alors que Nerval a dû, malgré qu’il en ait, se laisser « classer dans une affection définie par les docteurs et appelée indifféremment Théomanie ou Démonomanie dans le dictionnaire médical ». « Je me croyais Dieu moi-même », écrit Nerval. « C’était bien lui, ce fou, cet insensé sublime… », lit-on réciproquement dans Le Christ aux Oliviers, en un vers où Nerval projette sur le Christ cette même « folie » que ses confrères littéraires aussi bien que « les médecins et les commissaires » lui jettent au visage. Il (Nerval) devient, dans le finale du texte, un nouveau « prophète », annonçant, après la sorte de Contre-Évangile que constitue la partie centrale empruntée à Jean Paul, quelque religion nouvelle qui permettrait de dépasser l’opposition du paganisme et du christianisme. Se on se kaveri joka antaa sielun liman lapsille.
xxx/ellauri420.html on line 541: Dans le texte original, la Vision de Jean Paul est un simple cauchemar : un homme s’endort ; il croit voir dans son rêve le Christ annoncer, devant des enfants éplorés, qu’il n’y a pas de Dieu ; puis, alors que l’univers va s’effondrer sur lui-même dans l’étreinte d’un immense serpent, il se réveille brusquement ; et, à son réveil, il se réjouit d’entendre les cloches des églises célébrer la gloire du Christ. Le Discours du Christ mort de Jean Paul est donc un « cauchemar d’athéisme », qui conduit au contraire à une apologie de la foi chrétienne, finalement restaurée. C’est ce message que supprime Nerval, en même temps qu’il supprime les frontières du rêve et de la réalité, puisque plus
xxx/ellauri420.html on line 561: Elle meurt à Paris en 1780. Quand, à l’agonie, elle entend Wiart, son valet de chambre et secrétaire pendant plus de vingt ans, étouffer ses pleurs, elle lui adresse ces derniers mots : « Vous m’aimez donc ? »
65