ellauri146.html on line 473: Troublé dans l’action, troublé dans le dessein, Toiminnan miehenä, eto suunnittelijana,
ellauri316.html on line 245: La nuit du 14 au 15 avril 1718, nuit du Vendredi Saint, Boureau-Deslandes est à Brest. Il raconte : « sur les 4 heures du matin, il fit trois coups de tonnerre les plus horibles que j’aye jamais entendus. Dans cet espace de la Côte de Brêtagne qui s’étend depuis Conquerneau jusqu’à St. Paul de Leon, on a observé que le tonnerre étoit tombé sur 24 eglises differentes et à la même heure ». Cinq jours plus tard, Deslandes entreprend son enquête à Gouesnou, village voisin de Brest, dont l’église a été transpercée par la réunion de « 3 globes de feu, chacun 3 piés et demi de diamètre » qui ont occasionné la mort de trois sonneurs de cloches. « Le tonnerre n’est tombé que sur les Eglises où l’on sonnoit des cloches, à dessein de l’écarter, et il a épargné toutes les autres. »
xxx/ellauri086.html on line 621: Dupin explains that the gunshot distraction was arranged by him and that he left a duplicate letter to ensure his ability to leave the hotel without D— suspecting his actions. If he had tried to seize it openly, Dupin surmises D— might have had him killed. As both a political supporter of the queen and old enemy of the minister [who had done an evil deed to Dupin in Vienna in the past], Dupin also hopes that D— will try to use the power he no longer has, to his political downfall, and at the end be presented with a quotation from Prosper Jolyot de Crébillon's play Atrée et Thyeste that implies Dupin was the thief: Un dessein si funeste, S'il n'est digne d'Atrée, est digne de Thyeste (If such a sinister design isn't worthy of Atreus, it is worthy of Thyestes).
xxx/ellauri128.html on line 135: C’était, dit Jean-Jacques Rousseau, « un homme droit et adroit ». « Il faisait profession, écrit La Harpe, d’une franchise brusque qui ne déplaisait point […] Soit habitude, soit dessein, il gardait ce ton même dans la louange et l’on peut juger qu’elle n’y perdait pas. Il avait d’ailleurs un fonds de droiture qui le rendait incapable de plier son opinion ni sa liberté à aucun intérêt ni aucune politique ; et cependant ce ne fut point un obstacle à son avancement, parce qu’il n’offensa jamais l’amour-propre des gens de lettres, et qu’il sut intéresser en sa faveur celui des gens en place. » Duclos avait beaucoup d’esprit et une grande liberté de parole ; on cite de lui nombre de mots heureux.
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