ellauri055.html on line 140: Du point de vue liturgique, la méditation dans les temples est accompagnée de lectures choisies dans les textes sacrés des autres religions. Ces textes — par exemple le Pentateuque des juifs, le Nouveau Testament des chrétiens, le Coran des musulmans, le Bayān des babis, etc. — ont annoncé successivement, par paliers de perfection croissante, l’incessante révélation divine ou message de Dieu. En ce sens, le livre sacré liant tous les textes sur la révélation qui le précèdent est logiquement le dernier dans l’ordre chronologique, à savoir le Kitāb-i Aqdas (« Le plus saint livre »). Il a été rédigé vers 1873 par Bahāʾ-Allāh et est complété par différentes tablettes (lawḥ) révélées ensuite ; pour les baha’is, c’est le texte de référence bien qu’il ne soit pas plus important que les autres, ni le livre le plus lu par les baha’is eux-mêmes sur la foi. Le livre ne fut d’ailleurs accessible que très tard aux croyants occidentaux puisque la première traduction officielle en anglais date de 1992.
ellauri144.html on line 632: Expérience - Résultat - Interprétation - Conclusion. C’est d’ailleurs une démarche
ellauri150.html on line 261: Parmi les jeunes filles du monde, — peu nombreuses d’ailleurs, — que Christophe avait pour élèves, était la fille d’un riche fabricant d’automobiles, Colette Stevens. Son père était Belge, naturalisé Français, fils d’un Anglo-Américain établi à Anvers et d’une Hollandaise. Sa mère était Italienne. C’était une famille bien parisienne. Pour Christophe, — pour bien d’autres, — Colette Stevens était le type de la jeune fille française.
xxx/ellauri128.html on line 135: C’était, dit Jean-Jacques Rousseau, « un homme droit et adroit ». « Il faisait profession, écrit La Harpe, d’une franchise brusque qui ne déplaisait point […] Soit habitude, soit dessein, il gardait ce ton même dans la louange et l’on peut juger qu’elle n’y perdait pas. Il avait d’ailleurs un fonds de droiture qui le rendait incapable de plier son opinion ni sa liberté à aucun intérêt ni aucune politique ; et cependant ce ne fut point un obstacle à son avancement, parce qu’il n’offensa jamais l’amour-propre des gens de lettres, et qu’il sut intéresser en sa faveur celui des gens en place. » Duclos avait beaucoup d’esprit et une grande liberté de parole ; on cite de lui nombre de mots heureux.
xxx/ellauri129.html on line 640: Son mari, Albert Dardenne de la Grangerie, était fameux journaliste, rédacteur entres autres du Figaro et du Messager du Midi. Marguerite de la Grangerie fut avec son mari très liée au couple Gautier, Judith et Théophile. Elle était la petite-fille du duc de Persigny, propriétaire du chateau de Chamarande ou Théo séjourna en 1866. Ce dernier lui dédiera d’ailleurs deux sonnets dont « les poètes chinois… ». Usant de plusieurs pseudonymes tels que Philippe Gerfaut et Marie-Alix de Valtine, elle est l’auteur entre autres du roman Le passé de Claudie (1884), des Pensées d’un sceptique (1886) et de Belle et bonne histoire d’une grande fillette (Prix Lambert en 1890). Superbe exemplaire dans une reliure mosaïquée parfaitement établi par Louis Pouillet. Petites taches pâles sur le plat supérieur. Gerfaut puuttuu Vaakun hakemistosta.
xxx/ellauri139.html on line 1023: Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château et mort le 16 novembre 1780 à Paris, est un poète lorrain francophone. Son père, maire de Fontenoy-le-Château, propriétaire de deux fermes, y exerce le métier de marchand de grains. Son éducation est confiée au curé du village, un jésuite qui, voyant en lui « un esprit apte à être éduqué », lui apprend le latin. Puis le jeune Nicolas part faire ses humanités au collège de l'Arc à Dole. Après 1770, il part pour Paris, avec en poche ses premiers vers, ainsi qu’une lettre, signée de Mme de La Verpillière, femme du prévôt des marchands de Lyon et mécène. Cette lettre recommande le jeune poète à D’Alembert. Il semble que D’Alembert, lui ayant promis une place de précepteur, n’honore pas cette espérance, et le reçoit d’ailleurs assez froidement. Gilbert s'en souviendra quand il composera sa satire du Dix-huitième siècle :
xxx/ellauri173.html on line 175: Et tous les épisodes du Nouveau-Testament ! Quelles épreuves ! ― Et toutes les anecdotes de l’Histoire des empires d’Orient et d’Occident ! Quelle collection ! Et les martyres ! et les supplices ! Depuis celui des sept Machabées et de leur mère, jusqu’à ceux de Jean de Leyde et de Damiens, sans omettre les principaux sacrifices des chrétiens livrés aux bêtes dans les cirques de Rome, de Lyon et d’ailleurs !
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