ellauri145.html on line 1137: Derrière son écriture légère et son style narquois, on sent dans les écrits d´Allais une sorte de déception ; ses critiques des militaires, des politiques et des curés sont toujours empreintes d´un certain pessimisme.
ellauri161.html on line 828: D´après Raïssa Maritain, la conversion de Léon Bloy doit beaucoup à Ernest Hello ; on trouve de nettes traces de son influence dans le Journal d´un curé de campagne de Georges Bernanos et dans l´exégèse biblique de Paul Claudel ; Henri Michaux le reconnaît également comme l´une de ses sources.
ellauri162.html on line 104: Louis Émile Clément Georges Bernanos (French: [ʒɔʁʒ bɛʁnanɔs]; 20 February 1888 – 5 July 1948) was a French author, and a soldier in World War I. A Roman Catholic with monarchist leanings, he was critical of elitist thought and was opposed to what he identified as defeatism. He believed this had led to France´s defeat and eventual occupation by Germany in 1940 during World War II. His two major novels "Sous le soleil de Satan" (1926) and the "Journal d’un curé de campagne" (1936) both revolve around a parish priest who combats evil and despair in the world. Most of his novels have been translated into English and frequently published in both Great Britain and the United States.
ellauri162.html on line 112: After the war, he worked in insurance before writing Sous le soleil de Satan (1926, Under the Sun of Satan). He won the Grand Prix du roman de l'Académie française for The Diary of a Country Priest (Journal d'un curé de campagne), published in 1936.
ellauri162.html on line 129: Bernanosin tunnetuin teos on Maalaispapin päiväkirja (alkuteos Journal d´un curé de campagne, 1936), jonka pohjalta Robert Bresson on ohjannut elokuvan Papin päiväkirja (1950). Suomeksi on ilmestynyt lisäksi Mouchette (alkuteos Nouvelle histoire de Mouchette), josta Bresson myös on ohjannut elokuvan, jota Suomessa on esitetty nimellä Mouchette – raiskattu.
ellauri162.html on line 145: Par nécessité ou par goût, il est longtemps un adepte de la moto comme moyen de transport quotidien et cette pratique se retrouvera dans ses œuvres. Comme le curé de campagne, il sentait "la haute moto rouge, tout étincelante, ronfler sous moi comme un petit avion.".
ellauri162.html on line 152: En 1934, Bernanos s´installe aux Baléares, en partie pour des raisons financières. Il y écrit le Journal d´un curé de campagne. Il est possible qu´il soit inspirée par un jeune prêtre (l´abbé Camier), mort de tuberculose à vingt-huit ans, que Bernanos a côtoyé dans son enfance.
ellauri172.html on line 834: Le Vicaire des Ardennes roman d'Honoré de Balzac (1824) (publié sous le pseudonyme d'Horace de Saint-Aubin) : le curé Jérôme Gausse, le jeune vicaire Joseph, personnage principal du roman.
ellauri172.html on line 920: Le Journal d'un curé de campagne, roman de Georges Bernanos, 1936, avec le curé de Torcy, personnage inspiré à Bernanos par ses souvenirs d'enfance de Fressin, et le curé d'Ambricourt[38] qui emprunte plusieurs traits au curé Fenouille de Monsieur Ouine. CHECK
ellauri172.html on line 922: Gustalin, roman de Marcel Aymé, 1938, le curé de Chesnevailles, considéré comme un cureton par les gens du village. Adapté à l'écran en 1976 par Guy Jorré.
ellauri172.html on line 964: Abraham Lévy, curé de campagne, roman de Joseph Joffo, 1988
ellauri172.html on line 974: Monsieur le curé fait sa crise, de Jean Mercier, 2016, avec l'abbé Benjamin Bucquoy.
ellauri172.html on line 976: La partition intérieure de Réginald Gaillard, publié aux Éditions du Rocher en 2017 : le narrateur est un curé de campagne dans le Jura, le père Jean.
xxx/ellauri123.html on line 54: ..aussi noir qu’un curé.

xxx/ellauri123.html on line 1231: La tête et les ....llons pour le mettre en curée, nupin ja kivexet jotta ne innostuisivat,
xxx/ellauri139.html on line 1022: Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château et mort le 16 novembre 1780 à Paris, est un poète lorrain francophone. Son père, maire de Fontenoy-le-Château, propriétaire de deux fermes, y exerce le métier de marchand de grains. Son éducation est confiée au curé du village, un jésuite qui, voyant en lui « un esprit apte à être éduqué », lui apprend le latin. Puis le jeune Nicolas part faire ses humanités au collège de l'Arc à Dole. Après 1770, il part pour Paris, avec en poche ses premiers vers, ainsi qu’une lettre, signée de Mme de La Verpillière, femme du prévôt des marchands de Lyon et mécène. Cette lettre recommande le jeune poète à D’Alembert. Il semble que D’Alembert, lui ayant promis une place de précepteur, n’honore pas cette espérance, et le reçoit d’ailleurs assez froidement. Gilbert s'en souviendra quand il composera sa satire du Dix-huitième siècle :
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