ellauri036.html on line 957: J'étais là, dans ce lit, je croyais m'éveiller;
ellauri049.html on line 346: Je croyais voir unis par un nouveau dessin Olin näkevinäni uuteen tyyliin skezattuna
xxx/ellauri137.html on line 231: Je croyais respirer le parfum de ton sang.
xxx/ellauri420.html on line 537: Le Christ n’est donc pas le simple « personnage » d’une narration distanciée : il est un avatar de la subjectivité lyrique, laquelle engage à son tour la vie même du poète. Rappelons à ce propos qu’une première version du poème – celle contenue dans la lettre à Victor Loubens – remonte à la crise de 1841 alors que Nerval a dû, malgré qu’il en ait, se laisser « classer dans une affection définie par les docteurs et appelée indifféremment Théomanie ou Démonomanie dans le dictionnaire médical ». « Je me croyais Dieu moi-même », écrit Nerval. « C’était bien lui, ce fou, cet insensé sublime… », lit-on réciproquement dans Le Christ aux Oliviers, en un vers où Nerval projette sur le Christ cette même « folie » que ses confrères littéraires aussi bien que « les médecins et les commissaires » lui jettent au visage. Il (Nerval) devient, dans le finale du texte, un nouveau « prophète », annonçant, après la sorte de Contre-Évangile que constitue la partie centrale empruntée à Jean Paul, quelque religion nouvelle qui permettrait de dépasser l’opposition du paganisme et du christianisme. Se on se kaveri joka antaa sielun liman lapsille.
4