ellauri036.html on line 768: L'hypocrisie est morte; on ne croit plus aux prêtres;
ellauri036.html on line 769: Mais la vertu se meurt, on ne croit plus à Dieu.
ellauri036.html on line 934: Lui qui se croit encore aux jours de ton enfance,
ellauri146.html on line 532: Qui se traîne en sa fange et s’y croit ignorée ; Sen sylissä muka huomaamatta;
ellauri161.html on line 851:

Yleiset termit ja lausekkeet


ellauri163.html on line 591: Qu'Alceste qui croit au libre arbitre se fache,

xxx/ellauri139.html on line 1026: Qui se croit un grand homme et fit une préface
xxx/ellauri176.html on line 170: Et le merveilleux Paradou du roman, ce paradis panthéiste, cet hymne à la nature, à l'amour – ces paysages décrits par Zola perdent toute vibration, toute poésie. On croit voir défiler les pages du catalogue Vilmorin où s'ébattent Serge et une Albine issue du Petit Echo de la Mode. Le film projeté ne montre pas la séquence du grenier, la découvert des toilettes féminines – les nombreux changements de robe d'Albine sont, dès lors, gratuits, irritants. Comme tous les autres acteurs, Gillian Hills (Albine) est mal dirigée, elle n'a aucune grâce, aucun naturel. Francis Huster (Serge), lui, a du charisme mais son dur combat, sa douceur sont hélas surtout perceptibles par le fard qui rantôt ranime, tantôt creuse un visage que des zooms inutiles amènent en gros plan. Et pour avoir voulu donner aux paysages de la Sainte-Baume, du Lubéron, du Parc Floral d'Orléans une certaine unité, on aboutit à des tonalités froides, éteintes. Seules les intérieurs (l'église, la chambre de Serge, la salle à manger de la cure) gardent leurs contrastes, leurs valeurs. Les personnages n'existent guère, aucune vibration n'émane d'eux, ni de la nature cruelle ou triomphante, de ce Paradou, terre-mère bruissante de vie, féconde.
xxx/ellauri202.html on line 236: On croit mourir pour la patrie ; on meurt pour des industriels.
xxx/ellauri376.html on line 661: Si l’on croit que de votre pompe,
xxx/ellauri420.html on line 541: Dans le texte original, la Vision de Jean Paul est un simple cauchemar : un homme s’endort ; il croit voir dans son rêve le Christ annoncer, devant des enfants éplorés, qu’il n’y a pas de Dieu ; puis, alors que l’univers va s’effondrer sur lui-même dans l’étreinte d’un immense serpent, il se réveille brusquement ; et, à son réveil, il se réjouit d’entendre les cloches des églises célébrer la gloire du Christ. Le Discours du Christ mort de Jean Paul est donc un « cauchemar d’athéisme », qui conduit au contraire à une apologie de la foi chrétienne, finalement restaurée. C’est ce message que supprime Nerval, en même temps qu’il supprime les frontières du rêve et de la réalité, puisque plus
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