ellauri052.html on line 112: Leader defines Bellow’s recurrent themes as “the relative claims of life and work, the intensity of childhood experience, sexual insecurity.” He could have added Jewish life and identity, the perils of matrimony and the defects of modern civilisation.
ellauri052.html on line 866: Leader (se elämäkerturi) defines Bellow’s recurrent themes as “the relative claims of life and work, the intensity of childhood experience, sexual insecurity.” He could have added Jewish life and identity, the perils of matrimony and the defects of modern civilisation. The highly disciplined fellow devoted almost every morning to the sacred writing hours from nine to one. Sale ostettiin loppupeleissä Chicagosta Bostoniin. Jasu ja Sale kehu izeään varmaan kilpaa BU:n kekkereissä.
ellauri053.html on line 120: Toute notre civilisation est aphrodisiaque. La société ouverte est celle qui embrasserait en principe l’humanité entière.
ellauri055.html on line 78: Les deux hommes ont quinze ans de différence. Stefan Zweig s'intéresse aux lettres européennes et il a déjà traduit quelques œuvres d'auteurs anglais, français et belges. La découverte en 1907 des premiers volumes de Jean-Christophe sera décisive dans sa rencontre avec l'auteur. Il est séduit par la portée universelle de l’œuvre de Romain Rolland et plus encore par l’homme auquel il rend visite, pour la première fois en février 1911, dans son appartement du 162, boulevard du Montparnasse. Les deux hommes partagent un amour pour la musique, une même foi en l'humanité et le sentiment d'appartenir à une civilisation, une culture commune, dont Romain Rolland esquisse les contours dans « la chevauchée européenne de Jean-Christophe ». Les deux écrivains entretiendront une correspondance suivie et intense entre 1910 et 1940 : 945 lettres ont été retrouvées (509 de Stefan Zweig dont une centaine en allemand, et 436 pour Romain Rolland). Cette correspondance est d'une importance capitale pour l'histoire des intellectuels du début du XXe siècle.
ellauri141.html on line 525: "It is a hard law but an old one – Rome died learning it, as our western civilisation may die – that if you give any man anything that he has not painfully earned for himself, you infallibly make him or his descendants your devoted enemies."
ellauri162.html on line 158: En 1946 paraît La France contre les robots, aux éditions de la France libre, un essai dans lequel Bernanos dénonce la « civilisation des machines » et les nouveaux totalitarismes économiques qui commencent à se construire dans l´après-guerre. Exceptes les motos. Georges Bernanos meurt d´un cancer du foie, en 1948, à l´hôpital américain de Neuilly.
ellauri162.html on line 162: Convaincu que le monde moderne est une « conspiration contre toute espèce de vie intérieure », il y dénonce « la dépossession progressive des États au profit des forces anonymes de l’Industrie et de la Banque, cet avènement triomphal de l’argent, qui renverse l’ordre des valeurs humaines et met en péril tout l’essentiel de notre civilisation ».
ellauri191.html on line 1862: "that epicist of the female experience, who with scepticism, fire and visionary power has subjected a divided civilisation to scrutiny"
ellauri221.html on line 271: Surrounded by anthropogenic ecological disasters, brutal wars, and the threat of destruction looming over the future of the planet itself due to our actions, constructed knowledge, and structured ignorance, it becomes urgent to examine the underlying ontological concepts and the reality from which our children are incarcerated in schools. This research is an attempt to look at what is the knowledge that children get exposed to and my main question is whether identity and civilisation are not the underlying culprits in our alienation from the world. As Tove Jansson shows in her moominbooks, perhaps it is necessary to empathise even with the one who dislikes us and not limit ourselves to people only, but see if “I can often have tender, concerned feelings for anyone (animals and people included) as fortunate or less fortunate than me”.
ellauri266.html on line 447: Le roman raconte l’histoire de trois hommes qui explorent une planète lointaine très-similaire à la Terre, où les grands singes sont les espèces dominantes et intelligentes, alors que l´humanité est réduite à l’état animal. Le narrateur, Ulysse Mérou, est capturé par les singes et se retrouve enfermé dans un laboratoire. Prouvant son intelligence aux singes, il aide ensuite les scientifiques simiens à découvrir les origines de leur civilisation.
ellauri266.html on line 470: Zira donne ensuite à Ulysse une lampe et des livres grâce auxquels il apprend le langage simien et découvre l’organisation de la société des singes, leur système politique et leur culture. Profitant des promenades avec Zira et des entrevues avec Cornélius, le narrateur prépare le discours qu’il doit présenter lors du congrès. La guenon lui fait visiter le parc zoologique où il découvre des animaux ressemblant à ceux de la Terre et des « humains », parmi lesquels il retrouve le professeur Antelle, qui a perdu la raison. Les deux premiers jours du congrès dont parlait Zira sont consacrés aux théories. Le troisième jour, Zaïus présente le narrateur qui en profite pour exposer son cas dans le langage simien provoquant l’étonnement général des singes savants et des journalistes. Pressé par l´opinion publique, le congrès décide à contrecœur de libérer le narrateur et destitue Zaïus de ses fonctions. Mais Ulysse sait qu´il représente toujours une menace pour la civilisation simiesque.
ellauri266.html on line 476: Après avoir été nommé directeur de l’Institut des recherches biologiques, Cornélius désigne Ulysse comme son collaborateur et l’amène sur un site archéologique daté de plus de dix mille ans. Cornélius espère y trouver des indices sur l’origine des singes et de leur civilisation car ils ne savent absolument rien au-delà de dix mille ans d´histoire, période depuis laquelle ils ont très peu évolué. Cornélius y découvre une poupée d´apparence humaine habillée et parlante, confirmant son pressentiment selon lequel les humains avaient régné en maîtres sur leur planète avant les singes.
ellauri266.html on line 478: Cornélius renvoie par avion le narrateur en ville. Ils ont tous deux compris que la civilisation des singes est uniquement bâtie sur l’imitation. À son retour, Zira apprend au narrateur que Nova est tombée enceinte lors des tests d´accouplement que Zaïus avait demandés. Elle a donc été transférée dans un autre service pour que la naissance reste secrète.
ellauri299.html on line 636: All det som Grein hade varit med om i Miami framstod some että surrealistiskt skämt-mrs Gombiners dogmatism, Annas dagdrömmar, hans egen avresa. Till och med orkanen han hade fått uppleva verkade ingå i en show som naturen med jämna mellanrum ställde till med för turisternas skull. Inom loppet av en sekund blev det nattsvart mitt på ljusa dagen. Kokosnötter föll på marken. Palmkronor slets av. Trädstammar bröts itu, buskar och blommor flög omkring i stormen likt fåglar. Grenar klövs och liknade pinnar i en väldig solfjäder som inte kunde fällas ihop. Vinden hamrade på hustaken, regnet piskade mot marken och balkonger stötade ner från fasaderna med ett stön. Elledningar slets ner. Anna var tvungen att tända ett starinljus. Den lilla lägan tycktes bara vittnesmål om det som profetiorna forkunnade: att när civilisationen hade utplånats och allt var slut skulle människorna tvingas återvända till en enda liten pappersark.
ellauri300.html on line 56: Singerin Varjot Hudsonjoella jatkuvat pitkän tauon jälkeen. Vizi miten Singer on vanhakantainen jutkumies, tekopyhä narsisti. Se pitää 3 naista yhtä aikaa kiimassa, puristaa ne kuivixi kuin sitruunat ja heittää sankkoon varttumaan, palataxeen silloin tällöin niitä puristelemaan josko niistä lähtisi vielä mehua. Esther, Jael och Abishag. 5th Ave symboliserar den mänskliga civilisationen. Kyllä tosiaan.
ellauri322.html on line 93: In contemplating the whole of this subject, I extend my views into the department of commerce. In all my publications, where the matter would admit, I have been an advocate for commerce, because I am a friend to its effects. It is a pacific system, operating to cordialise mankind, by rendering nations, as well as individuals, useful to each other. As to the mere theoretical reformation, I have never preached it up. The most effectual process is that of improving the condition of man by means of his interest; and it is on this ground that I take my stand. If commerce were permitted to act to the universal extent it is capable, it would extirpate the system of war, and produce a revolution in the uncivilised state of governments. The invention of commerce has arisen since those governments began, and is the greatest approach towards universal civilisation that has yet been made by any means not immediately flowing from moral principles. Whatever has a tendency to promote the civil intercourse of nations by an exchange of benefits, is a subject as worthy of philosophy as of politics.
ellauri365.html on line 556: Han hyste en stor beundran för Benito Mussolini och Adolf Hitler. Han var mycket positiv till de politiska förändringarna i Tyskland: "Jag visste att Tysklands stund skulle komma och hälsar nu nationens uppvaknande. Min åsikt är nu som förr, att det nya Tyskland genom sin segerrika kamp mot bolsjevismen får kommunistiska vågen i Europa att stagnera och därigenom – som vi hoppas – räddar den europeiska civilisationen." Han var med andra ord också en motståndare till sovjetkommunismen.
xxx/ellauri199.html on line 1059: Murray thinks that European civilisation as we have known it will not survive and he explores two factors that he thinks explain this. The first is the combination of mass migration of new peoples into Europe together with its low birth rates. The second is what Murray describes as "the fact that… at the same time Europe lost faith in its beliefs, traditions, and legitimacy". In The Daily Telegraph, Juliet Samuel summarised Murray´s book by saying, "His overall thesis, that a guilt-driven and exhausted Europe is playing fast and loose with its precious modern values by embracing migration on such a scale, is hard to refute".
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