ellauri012.html on line 624: Après ces instructions, qui doivent tenir la première place, je crois qu’il n’est pas inutile de laisser aux filles, selon leurs loisirs et la portée de leur esprit, la lecture des livres profanes qui n’ont rien de dangereux pour les passions : c’est même le moyen de les dégoûter des comédies et des romans. Donnez-leur donc les histoires grecques et romaines ; elles y verront des prodiges de courage et de désintéressement. Ne leur laissez pas ignorer l’histoire de France, qui à aussi ses beautés ; mêlez celles des pays voisins, et les relations des pays éloignés judicieusement écrites. Tout cela sert à agrandir l’esprit, et à élever l’âme à de grands sentiments, pourvu qu’on évite la vanité et l’affectation.
ellauri033.html on line 143: plupart de celles qui se laissent comprendre trouvent le moyen d´être à
ellauri033.html on line 189: justes, la distinguer avec soin de celles qui ne portent pas leur
ellauri172.html on line 150: Un Comte quelconque nomme Alcool vit couché dans un cercueil sa dame de volupté, sa pâlissante épousée, Véra, son désespoir. La nuit dernière, sa bien-aimée s’était évanouie en des joies si profondes que son cœur avait défailli. Cependant leur nature était des plus étranges, en vérité ! Certaines idées, celles de l’âme, par exemple, de l’Infini, de Dieu même, étaient comme voilées à leur entendement. La foi d’un grand nombre de vivants aux choses surnaturelles n’était pour eux qu’un sujet de vagues étonnements. Au lieu de cela, les deux amants s’ensevelirent dans l’océan des joies languides et perverses. Veera oli Madonnan näköinen, tottakai. Veera oli kulkija luonnoltaan. Jätkät sätkät parrunpätkät, jasen tervahöyryn nimi, oli PRINSESSA ARMAADA! Continuons.
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri210.html on line 67: « Monsieur Gide n'a pas l'air d'un enfant d'amour, ni d'un éléphant, ni de plusieurs hommes : il a l'air d’un artiste ; et je lui ferai ce seul compliment, au reste désagréable, que sa petite pluralité provient de ce fait qu'il pourrait très aisément être pris pour un cabotin (komeljanttari). Son ossature n'a rien de remarquable ; ses mains sont celles d'un fainéant, très blanches, ma foi ! Dans l'ensemble, c'est une toute petite nature. »
ellauri210.html on line 394: « Monsieur Gide n'a pas l'air d'un enfant d'amour, ni d'un éléphant, ni de plusieurs hommes : il a l'air d’un artiste ; et je lui ferai ce seul compliment, au reste désagréable, que sa petite pluralité provient de ce fait qu'il pourrait très aisément être pris pour un cabotin (komeljanttari). Son ossature n'a rien de remarquable ; ses mains sont celles d'un fainéant, très blanches, ma foi ! Dans l'ensemble, c'est une toute petite nature. »
ellauri321.html on line 112: Here sorrow and desolation awaited him. His wife had died a few weeks before his arrival, his farm had been ravaged, his children were in the care of strangers. But as he had been appointed French Consul in New York with the especially expressed approbation of Washington, he remained in America six years longer, with only one brief interval spent in France. Notwithstanding the disastrous practical influence of his book, through which five hundred Norman families are said to have perished in the forests of Ohio, he was now an honored citizen in his adopted country, distinguished by Washington, and the friend of Franklin. In these later years he accompanied Franklin on various journeys, one of which is recorded in the “Voyage Dans La Haute Pennsylvanie.” In 1790 he returned to France, living now at Rouen, now at Sarcelles, where he died on November 12, 1813. He was a man of “serene temper and pure benevolence,” of good sense and sound judgment; something also of a dreamer, yet of a rhetorical rather than a poetical temperament; typically French, since there were in him no extremes of opinion or emotion. He followed the dictates of his reason tempered by the warmth of his heart, and treated life justly and sanely.
ellauri365.html on line 72: hajustetun lihan kanssa ja häiritsevät À celles de la chair parfumée, et troublant
xxx/ellauri173.html on line 459: Tacites sous les fleurs d’étincelles, CONTEZ

xxx/ellauri174.html on line 328: Mancanillier, mancanillier, s. m. Arbre à poison, Toxicodendron, de l'Amérique Méridionale. Raynal, dans son Hist. Philos, l'appelle Mancanillier, de l'Espa- gnol Mancanilla. il est gros comme un noyer, ses feuilles ressemblent à celles du pommier, et son fruit aux pommes d'apis. Ceux qui dorment à l'ombre de cet arbre perfide, sont exposés à ne plus se réveiller. Les troupeaux le fuient ; et l'homme qui n'est pas averti va se reposer sous son ombrage et mange de ses fruits. Il faut donc que les animaux aient l'odorat plus fin, que celui de l'homme.
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