ellauri012.html on line 624: Après ces instructions, qui doivent tenir la première place, je crois qu’il n’est pas inutile de laisser aux filles, selon leurs loisirs et la portée de leur esprit, la lecture des livres profanes qui n’ont rien de dangereux pour les passions : c’est même le moyen de les dégoûter des comédies et des romans. Donnez-leur donc les histoires grecques et romaines ; elles y verront des prodiges de courage et de désintéressement. Ne leur laissez pas ignorer l’histoire de France, qui à aussi ses beautés ; mêlez celles des pays voisins, et les relations des pays éloignés judicieusement écrites. Tout cela sert à agrandir l’esprit, et à élever l’âme à de grands sentiments, pourvu qu’on évite la vanité et l’affectation.
ellauri014.html on line 622: Chaque fois que deux époux s’unissent par un nœud solennel, il intervient un engagement tacite de tout le genre humain de respecter ce lien sacré, d’honorer en eux l’union conjugale ; et c’est, ce me semble, une raison très forte contre les mariages clandestins, qui, n’offrant nul signe de cette union, exposent des cœurs innocents à brûler d’une flamme adultère. Le public est en quelque sorte garant d’une convention passée en sa présence, et l’on peut dire que l’honneur d’une femme pudique est sous la protection spéciale de tous les gens de bien. Ainsi, quiconque ose la corrompre pèche, premièrement parce qu’il la fait pécher, et qu’on partage toujours les crimes qu’on fait commettre ; il pèche encore directement lui-même, parce qu’il viole la foi publique et sacrée du mariage, sans lequel rien ne peut subsister dans l’ordre légitime des choses humaines.
ellauri014.html on line 1197: « On ne sait pas, disait-elle, quelle douceur c’est de s’attendrir sur ses propres maux et sur ceux des autres. La sensibilité porte toujours dans l’âme un certain contentement de soi-même indépendant de la fortune et des événements. Que j’ai gémi ! que j’ai versé de larmes ! Eh bien ! s’il fallait renaître aux mêmes conditions, le mal que j’ai commis serait le seul que je voudrais retrancher ; celui que j’ai souffert me serait agréable encore.»
ellauri049.html on line 523: Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Jos jotain vettä tekee mieli Euroopassa,
ellauri055.html on line 129: il est interdit aux baha’is de boire de l’alcool ou de prendre des drogues à usage récréatif, sauf si c’est prescrit par un médecin;
ellauri055.html on line 140: Du point de vue liturgique, la méditation dans les temples est accompagnée de lectures choisies dans les textes sacrés des autres religions. Ces textes — par exemple le Pentateuque des juifs, le Nouveau Testament des chrétiens, le Coran des musulmans, le Bayān des babis, etc. — ont annoncé successivement, par paliers de perfection croissante, l’incessante révélation divine ou message de Dieu. En ce sens, le livre sacré liant tous les textes sur la révélation qui le précèdent est logiquement le dernier dans l’ordre chronologique, à savoir le Kitāb-i Aqdas (« Le plus saint livre »). Il a été rédigé vers 1873 par Bahāʾ-Allāh et est complété par différentes tablettes (lawḥ) révélées ensuite ; pour les baha’is, c’est le texte de référence bien qu’il ne soit pas plus important que les autres, ni le livre le plus lu par les baha’is eux-mêmes sur la foi. Le livre ne fut d’ailleurs accessible que très tard aux croyants occidentaux puisque la première traduction officielle en anglais date de 1992.
ellauri074.html on line 278: Cioranin mielestä ihmisen on tärkeää valita paikka, jossa hän haluaa epäonnistua elämässään. Hänelle itselleen Pariisi oli paras mahdollinen paikka siihen: ”S’il faut rater sa vie, c’est mieux de la rater à Paris qu’ailleurs. Il faut choisir l’endroit où on veut rater sa vie.”
ellauri109.html on line 412: Et c’est là, en Haute Égypte, qu’il découvre son homosexualité. Ei ollut ainoa, näitäkin peräreiän löytöretkeilijöitä on ollut useampia, mm André Gide.
ellauri109.html on line 413: C’est en référence à la chanson de Gavroche dans Les Misérables de Victor Hugo : « Je suis tombé par terre, c’est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau. » La faute est à Flaubert car c’est un homosexuel qui s’ignore.
ellauri109.html on line 423: [...] Je doute que les femmes vaillent les hommes ; la laideur de ceux-ci ajoute beaucoup comme Art. [...] Puisque nous causons de bardaches, voici ce que j’en sais. Ici, c’est très bien porté. On avoue sa sodomie et on en parle à table d’hôte.
ellauri118.html on line 585: Paizi että kaikki ne lopultakin latistuvat narsistisen kirjailijan omaelämäkerraxi. Jota sulattelee narsistinen lukija oman bionsa ainexixi. Toisin sanoen: Emma Bovary, c’est moi, la lectrice. Kirjallinen mieli löytää kaunokirjasta aina oman naamansa lammen pinnasta.
ellauri150.html on line 319: — Mais c’est la musique même ! Un bel accord, c’est un baiser.
ellauri151.html on line 107: Car d’après ce que j’entendis les premiers temps dans celle de Jupien et qui ne furent que des sons inarticulés, je suppose que peu de paroles furent prononcées. Il est vrai que ces sons étaient si violents que, s’ils n’avaient pas été toujours repris un octave plus haut par une plainte parallèle, j’aurais pu croire qu’une personne en égorgeait une autre à côté de moi et qu’ensuite le meurtrier et sa victime ressuscitée prenaient un bain pour effacer les traces du crime. J’en conclus plus tard qu’il y a une chose aussi bruyante que la souffrance, c’est le plaisir, surtout quand s’y ajoutent—à défaut de la peur d’avoir des enfants, ce qui ne pouvait être le cas ici, malgré l’exemple peu probant de la Légende dorée—des soucis immédiats de propreté. Enfin au bout d’une demi-heure environ (pendant laquelle je m’étais hissé à pas de loup sur mon échelle afin de voir par le vasistas que je n’ouvris pas), une conversation s’engagea. Jupien refusait avec force l’argent que M. de Charlus voulait lui donner. (SG 609/11).
ellauri164.html on line 86: Et c’est encore la vie ! — Si la damnation est éternelle ! Un homme qui veut se mutiler est bien damné, n’est-ce pas ? Je me crois en enfer, donc j’y suis. C’est l’exécution du catéchisme. Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre. Pauvre innocent ! L’enfer ne peut attaquer les païens. — C’est la vie encore ! Plus tard, les délices de la damnation seront plus profondes. Un crime, vite, que je tombe au néant, de par la loi humaine.
ellauri164.html on line 90: Là-bas, ne sont-ce pas des âmes honnêtes, qui me veulent du bien… Venez… J’ai un oreiller sur la bouche, elles ne m’entendent pas, ce sont des fantômes. Puis, jamais personne ne pense à autrui. Qu’on n’approche pas. Je sens le roussi, c’est certain.
ellauri164.html on line 108: — Et pensons à moi. Ceci me fait peu regretter le monde. J’ai de la chance de ne pas souffrir plus. Ma vie ne fut que folies douces, c’est regrettable.
ellauri172.html on line 156: — Ah ! maintenant, je me rappelle !… dit-il. Qu’ai-je donc ? — Mais tu es morte ! Rooger änkyttää. Herra hän haisee jo. Sitä ei Roogerin olisi pitänyt sanoa, taika raukesi. Un faible soupir d’adieu et merci, distinct, lointain, parvint jusqu’à l’âme de Roger. Oh ! murmura-t-il, c’est donc fini ! — Seuraava kokous on sit nahkurin orsilla. Tarina osoitti millainen mahti tahto kaikkinensa on. Kuten sanottua, bullshittiä. Tää vähän ennakoi Blavatskyn ja muiden meedioiden trendausta.
ellauri172.html on line 316: Le caractère de la vie qui nous a permis d’unir en une certaine mesure, l’égoïsme et l’altruisme, — union qui est la pierre philosophale des moralistes, — c’est ce que nous avons appelé la fécondité morale. Il faut que la vie individuelle se répande pour autrui, en autrui, et, au besoin, se donne ; eh bien, cette expansion n’est pas contre sa nature : elle est au contraire selon sa nature ; bien plus, elle est la condition même de la vraie vie. L’école utilitaire a été forcée de s’arrêter, plus ou moins hésitante, devant cette antithèse perpétuelle du moi et du toi, du mien et du tien, de l’intérêtpersonnel et de notre intérêt général ; mais la nature vivaute ne s’arrête pas à cette division tranchée et logiquement inflexible : la vie individuelle est expansive pour autrui parce qu’elle est féconde, et elle est féconde par cela même qu’elle est la vie.
ellauri172.html on line 318: Au point de vue physique, nous l’avons vu, c’est un besoin individuel que d’engendrer un autre individu, si bien que cet autre devient comme une condition de nous-même. La vie, comme le feu, ne se conserve qu’en se communiquant. Et cela est vrai de l’intelligence non moins que du corps ; il est aussi impossible de renfermer l’intelligence en soi que la flamme : elle est faite pour rayonner. Même force d’expansion dans la sensibilité : il faut que nous partagions notre joie, il faut que nous partagions notre douleur. C’est tout notre être qui est sociable : la vie ne connaît pas les classifications et les divisions absolues des logiciens et des métaphysiciens : elle ne peut pas être complètement égoïste, quand même elle le voudrait. Nous sommes ouverts de toutes parts, de toutes parts envahissants et envahis. Cela tient à la loi fondamentale que la biologie nous a fournie : La vie n’est pas seulement nutrition, elle est production et fécondité. Vivre, c’est dépenser aussi bien qu’acquérir.
ellauri172.html on line 322: L’être vivant n’est pas purement et simplement un calculateur à la Bentham, un financier faisant sur son grand livre la balance des profits et des pertes : vivre, ce n’est pas calculer, c’est agir. Il y a dans l’être vivant une accumulation de force, une réserve d’activité qui se dépense non pour le plaisir de se dépenser, mais parce qu’il faut qu’elle se dépense : une cause ne peut pas ne pas produire ses effets, même sans considération de fin.
ellauri172.html on line 324: Le second équivalent, nous l’avons trouvé dans la théorie des idées-forces soutenue par un philosophe contemporain : l’idée même de l’action supérieure, comme celle de toute action, est une force tendant à la réaliser. L’idée est même déjà la réalisation commencée de l’action supérieure ; l’obligation n’est, à ce point de vue, que le sentiment de la profonde identité qui existe entre la pensée et l’action ; c’est par cela même le sentiment de l’unité de l’être, de l’unité de la vie. Celui qui ne conforme pas son action à sa plus haute pensée est en lutte avec lui-même, divisé intérieurement. Sur ce point encore l’hédonisme est dépassé ; il ne s’agit pas de calculer des plaisirs, de faire de la comptabilité et de la finalité : il s’agit d’être et de vivre, de se sentir être, de se sentir vivre, d’agir comme on est et comme on vit, de ne pas être une sorte de mensonge en action, mais une vérité en action.
ellauri172.html on line 330: Peut-être notre terre, peut-être l’humanité arriveront-elles aussi à un but ignoré qu’elles se seront créé à elles-mêmes. Nulle main ne nous dirige, nul œil ne voit pour nous ; le gouvernail est brisé depuis longtemps ou plutôt il n’y en a jamais eu, il est à faire : c’est une grande tâche, et c’est notre tâche.
ellauri172.html on line 568: Mais, capitaine Mautravers, il y a pis pour un soldat que de mettre à mal quelques bigotes : c’est de devenir dévot soi-même, comme une poule mouillée de pékin, quand on a traîné le bancal !…
ellauri172.html on line 570: Mais non, — cria-t-il, — tonnerre de tonnerres ! c’est impossible ! Voyez-vous, vous autres, le chef d’escadron Mesnilgrand à confesse, comme une vieille bonne femme, à deux genoux sur le strapontin, le nez au guichet, dans la guérite d’un prêtre ? Voilà un spectacle qui ne m’entrera jamais dans le crâne ! Trente mille balles plutôt. — Mille bombes ! — fit Capitain Haddock, exalté.
ellauri172.html on line 592: No mutta mitähän hirmu pahaa se sitten oli tehnyt kysyi porthosmainen Ranconnet. Restel dans le rang, älä keskeytä! Tulen ihan kohta siihen. Nimittäin kaikki oli taas kerran sen ämmän vika! Mais une femme, c’est l’aimant du diable ! Il y a une proportion d’arithmétique morale, écrite, avant qu’elle le fût par un philosophe sur du papier, dans la poitrine de tous les hommes, comme un encouragement du Démon : « c’est qu’il y a plus loin d’une femme à son premier amant, que de son premier au dixième! Vittu tää Barney on läpimätä!
ellauri172.html on line 608: La Rosalba était pudique comme elle était voluptueuse, et le plus extraordinaire, c’est qu’elle l’était en même temps. Quand elle disait ou faisait les choses les plus… osées, elle avait d’adorables manières de dire : « J’ai honte ! » que j’entends encore. Phénomène inouï ! Elle fût sortie d’une orgie de bacchantes, comme l’Innocence de son premier péché. Jusque dans la femme vaincue, pâmée, à demi morte, on retrouvait la vierge confuse, avec la grâce toujours fraîche de ses troubles et le charme auroral de ses rougeurs… (Vizi tää hemmo on aika sick. Mutta se on just kuten Huismanni totesi: pyllistely tuntuu vielä rotevammalta kun pyllyn takana kyttää kiivas Jehova piiska handussa. Niin varmaan junioriapinastakin joka pääsee salaa silverbäkin nartun vulvalle. Sisään vaan vaikkei seisokkaan!)
ellauri172.html on line 654: « — Tenez ! — dit-elle, insolemment provocante, — voilà votre image ! C’était brûlant il n’y a qu’une seconde, et c’est froid.
ellauri172.html on line 662: « Oui, — reprit amèrement Mesnilgrand, — c’est encore là un des revenants-bons de l’adultère et du partage ! En ces moments-là, les plus fendants ne sont pas fiers, et, par générosité pour une femme épouvantée, ils deviennent aussi lâches qu’elle, et font cette lâcheté de se cacher. J’en ai, je crois, mal au cœur encore d’être entré dans ce placard, en uniforme et le sabre au côté, et, comble de ridicule ! pour une femme qui n’avait pas d’honneur à perdre et que je n’aimais pas !
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri172.html on line 702: — Eh ! mais c’est l’aventure d’Abélard, transposée à Héloïse ! — fit l’abbé Reniant.
ellauri172.html on line 712: — Est-ce là tout ? — dit Mautravers. — Et si c’est là tout, voilà une fière histoire ! Quelle relation a ton histoire avec tes dévotions à l’église, de l’autre jour ?…
ellauri172.html on line 714: Well, j’ai porté plusieurs années, ce cœur d’enfant dont je doutais ; mais quand, après la catastrophe de Waterloo, il m’a fallu ôter cette ceinture d’officier dans laquelle j’avais espéré de mourir, et que je l’eus porté encore quelques années, ce cœur, — et je t’assure, Mautravers, que c’est lourd, quoique cela paraisse bien léger, — la réflexion venant avec l’âge, j’ai craint de profaner un peu plus ce cœur si profané déjà, et je me suis décidé à le déposer en terre chrétienne. Sans entrer dans les détails que je vous donne aujourd’hui, j’en ai parlé à un des prêtres de cette ville, de ce cœur qui pesait depuis si longtemps sur le mien, et je venais de le remettre à lui-même, dans le confessionnal de la chapelle.
ellauri210.html on line 132: Littéralement ’pataphysique (contraction du pseudo-grec τὰ ἐπὶ τὰ μεταφυσικά – tà epì tà metàphusiká – d'après le titre « τὰ μετὰ τὰ φυσικά » – « tà metà tà phusiká » – de l'œuvre la Métaphysique d'Aristote) signifie « ce qui est sur la métaphysique », c’est-à-dire « ce qui est sur ce qui est après la physique » parce que le titre de l'œuvre la Métaphysique signifiait à l'origine « ce qui est (écrit) après (l'œuvre) la Physique ».
ellauri210.html on line 359: « Je ne comprendrai jamais comment Victor Hugo a pu, quarante ans durant, faire son métier. Toute la littérature, c’est : ta, ta, ta, ta, ta, ta. L’Art, l’Art, ce que je m’en fiche de l’Art ! » — « Oscar Wilde est vivant ! »,
ellauri210.html on line 400: « Je ne comprendrai jamais comment Victor Hugo a pu, quarante ans durant, faire son métier. Toute la littérature, c’est : ta, ta, ta, ta, ta, ta. L’Art, l’Art, ce que je m’en fiche de l’Art ! » — « Oscar Wilde est vivant ! »,
ellauri222.html on line 728: Bernard Le Bouyer de Fontenelle, né le 11 février 1657 à Rouen et mort le 9 janvier 1757 à Paris, est un écrivain, dramaturge et scientifique français. Fontenelle oli armoton keskikertaisuus joka yritettyään kaikenlaista päätyi populääritieteen kautta Ranskan akatemiaan. Eli kuukautta vaille satavuotiaaxi, laiskiainen. Il ne connut pas l’amitié vraie, et put s’appliquer ces mots d’une de ses églogues : « Il me manqua d’aimer. » Claudine de Tencin, lui disait en montrant sa poitrine : « Ce n’est pas un cœur que vous avez là ; c’est de la cervelle, comme dans la tête."
ellauri247.html on line 211: Alain-René Lesage ou Le Sage, né le 8 mai 1668 à Sarzeau1 et mort le 17 novembre 1747 à Boulogne-sur-Mer, est un romancier et dramaturge français. Bien qu’il soit aujourd’hui surtout connu pour son roman picaresque Histoire de Gil Blas de Santillane, Lesage est l’auteur d’une importante production théâtrale. Il a notamment contribué au développement et au renouvellement du « théâtre de la Foire » Après les marionnettes et les danseurs de corde, les acteurs forains en vinrent progressivement à jouer de véritables petites comédies, souvent écrites par des auteurs de renom et de talent. Toujours modeste, c’est par ses ouvrages seuls qu’il obtint sa réputation, et jamais il ne rechercha les dignités et les titres littéraires. Nietsche piti Gil Blasista enemmän kuin Shakespearesta. Varmaan se oli parempi kuin tuo nenäkäs skottitohtori.
ellauri264.html on line 88: Dans sa réaction violente contre le milieu à la fois dreyfusard et juif auquel il est intimement lié malgré lui, Rolland perd toute impartialité et finit pas assimiler les défenseurs de Dreyfus aux Juifs. La cause dreyfusarde, c’est la campagne des Juifs ou celle de la Banque juive. En realite, la plupart d’entre eux se tenaient à l’écart. Les Juifs ne voulaient pas qu’on les accuse de prendre parti pour Dreyfus parce qu’il était, comme eux, Juif.
ellauri285.html on line 687: Debray dit lui-même : « Vaincre c’est accepter, par principe, que la vie n’est pas le bien suprême du révolutionnaire ». L´auteur attaque notamment les anti-révolutionnaires : « trotskisme et réformisme se donnent la main pour condamner la guerre de guérilla la freiner ou la saboter ».
xxx/ellauri139.html on line 895: « Mais c’est pour la dernière fois. Muze on sulle laitimmainen kerta.
xxx/ellauri139.html on line 1174: Mais, sire, c’est bien peu, je pense. Mutta, herra, ei sillä kuuhun mennä.
xxx/ellauri173.html on line 288: Sous une fausse symétrie, de part et d’autre de la serrure se cache une dissemblance radicale : c’est l’être humain qui a la clef – la clef de la serrure, la clef de la pièce qui enferme le singe, la clef du dispositif auquel l’homme soumet un animal qui ne demandait rien à personne, la clef de l’interprétation de toute l’expérience, la clef d’un regard scientifique ou voulu tel, quand le regard du singe n’est qu’un regard stressé, apeuré, c'est un interrogateur du jeu absurde qu’il subit sans en comprendre les tenants et aboutissants et sans en avoir lui-même institué les règles.
xxx/ellauri173.html on line 298: Ce n’est pas l’être male qui aura perdu sa avantage, c’est l’animal qui sera devenu artificiellement un sorte d’être humain inferieur par la volonté et l’obstination humaine, et qui pourra alors prétendre à ses diverses attributions.
xxx/ellauri173.html on line 310: Enfin, puisque vous le désirez, voici : ― j’ai le malheur de subir un amour très pénible, le premier de ma vie (et, dans ma famille, le premier est presque toujours le dernier, c’est-à-dire le seul) pour une très-belle personne ― tenez ! pour la plus belle personne du monde, je crois ! ― et qui est, actuellement à New York, au théâtre, dans notre loge, où elle fait miroiter les pierres de ses oreilles en paraissant écouter le Freyschütz. ― Là !… Vous voilà satisfait, j’imagine, monsieur le curieux ?
xxx/ellauri173.html on line 321: ― Oui, c’est désastreux, en effet, ce que vous m’apprenez là ! murmura-t-il froidement. Mit vit? Ewald ei ole vielä sanonut halaistua sanaa siitä mikä mimmissä on vikana. (Paizi eze on amerikkalainen ja tykkää saxalaisesta oopperasta. No ehkä siinä on jo tarpeexi.)
xxx/ellauri173.html on line 523: » Mon crime, c’est d’avoir, gai de vaincre ces peurs

xxx/ellauri173.html on line 543: Etna ! c’est parmi toi visité de Vénus

xxx/ellauri304.html on line 476: I can’t escape it. Every character I’ll ever write is me. Some little piece of me; some tiny corner of my little mind that often you’d rather not confront openly; but it’s me. Flaubert wasn’t fooling when he said: “Madame Bovary, c’est moi.” It’s me. They’re all me. And in your books, they’ll all be you, if you ever write any books, sucker.
xxx/ellauri376.html on line 676: Je bande, je fous… c’est assez.
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