ellauri016.html on line 552: Snobbery surfaced more strongly as the structure of the society changed, and the bourgeoisie had the possibility to imitate aristocracy.[citation needed] Snobbery appears when elements of culture are perceived as belonging to an aristocracy or elite, and some people (the snobs) feel that the mere adoption of the fashion and tastes of the elite or aristocracy is sufficient to include someone in the elites, upper classes or aristocracy.[citation needed]
ellauri033.html on line 41: Nää(kin) on bourgeois poikia jotka hännystelee homona aatelia. Katolisia poliittisia konservatiiveja. 1870 sotahäpeän todistajia revanchisteja. Pirun oppipoikia kadonnutta aikaa ezimässä. Hienohattusia wiixekkäitä fin de siècle snoppeja. Antediluviaalisia amfibisia sammakkomiehiä.
ellauri055.html on line 52: Son père, procureur, décède alors que Jean Bouchet est encore jeune. Ami de Rabelais, Jean Bouchet exerce la profession paternelle. Il compose un grand nombre d'ouvrages historiques ou de fantaisie en vers et en prose, qui sont encore recherchés des bibliographes au XIXe siècle. Selon Maurice Allem, « grand travailleur, bon bourgeois, père d'une nombreuse famille, Bouchet est volontiers moraliste et même sentencieux » ainsi dans cet envoi :
ellauri055.html on line 1128: Né à Gand, Maurice Maeterlinck est l'aîné d'une famille de trois enfants, flamande, bourgeoise, catholique, conservatrice et francophone. Après des études au collège Sainte-Barbe (Sint-Barbara) de Gand, il suit des études en droit avant de pratiquer le métier d'avocat durant une courte période. Maeterlinck publie, dès 1885, des poèmes d’inspiration parnassienne dans La Jeune Belgique. Il part pour Paris où il rencontre plusieurs écrivains qui vont l'influencer, dont Stéphane Mallarmé et Villiers de l’Isle-Adam. Ce dernier lui fait découvrir les richesses de l'idéalisme allemand (Hegel, Schopenhauer). À la même époque, Maeterlinck découvre Ruysbroeck l'Admirable, un mystique flamand du XIVe siècle dont il traduit les écrits (Ornement des noces spirituelles). C'est ainsi qu'il se tourne vers les richesses intuitives du monde germanique en s'éloignant du rationalisme français. Dans cet esprit, il se consacre à Novalis et entre en contact avec le romantisme d'Iéna (Allemagne, 1787-1831, autour d'August et Friedrich Schlegel et de la revue l'Athenäum), précurseur en droite ligne du symbolisme. Les œuvres que publie Maeterlinck entre 1889 et 1896 sont imprégnées de cette influence germanique.
ellauri077.html on line 803: the "best people" from the gentlemen´s clubs, and all the frantic fascist captains, united in common hatred of Socialism and bestial horror at the rising tide of the mass revolutionary movement, have turned to acts of provocation, to foul incendiarism, to medieval legends of poisoned wells, to legalize their own destruction of proletarian organizations, and rouse the agitated petty-bourgeoise to chauvinistic fervor on behalf of the fight against the revolutionary way out of the crisis.
ellauri077.html on line 810: The jargon peculiar to Marxist writing (hyena, hangman, cannibal, petty bourgeois, these gentry, lackey, flunkey, mad dog, White Guard, etc.) consists largely of words translated from Russian, German, or French; but the normal way of coining a new word is to use Latin or Greek root with the appropriate affix and, where necessary, the size formation. It is often easier to make up words of this kind (deregionalize, impermissible, extramarital, non-fragmentary and so forth) than to think up the English words that will cover one´s meaning. The result, in general, is an increase in slovenliness and vagueness.
ellauri077.html on line 820: It is almost universally felt that when we call a country democratic we are praising it: consequently the defenders of every kind of regime claim that it is a democracy, and fear that they might have to stop using that word if it were tied down to any one meaning. Words of this kind are often used in a consciously dishonest way. That is, the person who uses them has his own private definition, but allows his hearer to think he means something quite different. Statements like Marshal Petain was a true patriot, The Soviet press is the freest in the world, The Catholic Church is opposed to persecution, are almost always made with intent to deceive. Other words used in variable meanings, in most cases more or less dishonestly, are: class, totalitarian, science, progressive, reactionary, bourgeois, equality.
ellauri106.html on line 184: “The comedy is that the real haters of the bourgeois Jews, with the real contempt for their everyday lives, are these complex intellectual giants,” Zuckerman snorts. “They loathe them, and don’t particularly care for the smell of the Jewish proletariat either. All of them full of sympathy suddenly for the ghetto world of their traditional fathers now that the traditional fathers are filed for safekeeping in Beth Moses Memorial Park. When they were alive they wanted to strangle the immigrant bastards to death because they dared to think they could actually be of consequence without ever having read Proust past Swann’s Way. And the ghetto—what the ghetto saw of these guys was their heels: out, out, screaming for air, to write about great Jews like Ralph Waldo Emerson and William Dean Howells. But now that the Weathermen are around, and me and my friends Jerry Rubin and Herbert Marcuse and H. Rap Brown, it’s where oh where’s the inspired orderliness of those good old Hebrew school days? Where’s the linoleum? Where’s Aunt Rose? Where is all the wonderful inflexible patriarchal authority into which they wanted to stick a knife?”
ellauri107.html on line 427: 1937 English author J.R.R. Tolkien published The Hobbit; the title and the originally somewhat complacent and bourgeois character of Bilbo and hobbits in general were influenced by Babbitt.
ellauri145.html on line 70: André Breton est né le 19 février 1896 à Tinchebray en Normandie, où il passe ses quatre premières années. Fils unique de Louis-Justin Breton, gendarme né dans les Vosges, il est issu de la petite bourgeoisie catholique dont la mère impose une éducation rigide, il passe une enfance sans histoire à Pantin (Seine-St-Denis3), dans la banlieue nord-est de Paris.
ellauri145.html on line 79: Malgré les difficultés de la reconstruction de la France et le début de la guerre froide, Breton entend poursuivre sans aucune inflexion les activités du surréalisme. Et les polémiques reprennent et se succèdent : contre Tristan Tzara se présentant comme le nouveau chef de file du surréalisme, contre Jean-Paul Sartre qui considérait les surréalistes comme des petits-bourgeois, contre des universitaires, en démontant la supercherie d’un soi-disant inédit d’Arthur Rimbaud, contre Albert Camus et les chapitres que celui-ci consacre à Lautréamont et au surréalisme dans L’Homme révolté. Kuka täällä hajuttaa, Milli-Molli rupsuttaa.
ellauri145.html on line 221: Renvoyé du lycée Louis-le-Grand en avril 1839 pour ce qui a passé pour une vétille, mais que son condisciple au lycée, Charles Cousin (1822-1894) a expliqué comme un épisode d´amitié particulière, Baudelaire mène une vie en opposition aux valeurs bourgeoises incarnées par sa famille. Il passe son baccalauréat au lycée Saint-Louis en fin d´année et est reçu in extremis. Jugeant la vie de l´adolescent « scandaleuse » et désirant l´assagir, son beau-père le fait embarquer pour Calcutta. Le Paquebot des Mers du Sud quitte Bordeaux le 9 ou 10 juin 1841. Mais en septembre, un naufrage abrège le périple aux îles Mascareignes (Maurice et La Réunion). On ignore si Baudelaire poursuit son voyage jusqu´aux Indes, de même que la façon dont il est rapatrié.
ellauri145.html on line 725: His mother Marie-Angélique-Aspasie Puyo, 19 years old at the time of his birth, belonged to one of the most prominent families of the local bourgeoisie. His father was Antoine-Édouard Corbière, known for his best-selling novel Le Négrier. A cousin, Constant Puyo, was a well-known Pictorialist photographer.
ellauri161.html on line 921: L'ambassadeur est très apprécié de la bonne société pétersbourgeoise, dont les princes Galitzine et l'amiral Tchitchagov. Il obtient en 1805 de la part de l'amiral le poste de directeur de la bibliothèque et du musée de la Marine à Saint-Pétersbourg en faveur de son frère Xavier. Il rencontre l'empereur Alexandre Ier à de multiples reprises et devient son conseiller attitré.
ellauri162.html on line 148: L´évolution de son antisémitisme est toujours débattue. Bernanos rend hommage à Édouard Drumont, avec lequel il partage sa détestation de la bourgeoisie, mais aussi l´association des juifs à la finance, aux banques, au pouvoir de l’argent au détriment du peuple, un thème qui fait florès dans la France de cette époque et qui suscite des propos antisémites de l´écrivain. Bernanos, qui a fait la guerre de 1914-1918, fustige aussi un patriotisme perverti qui humilie l´ennemi allemand dans la défaite au lieu de le respecter, trahissant ainsi l´honneur de ceux qui ont combattu et hypothéquant l´avenir. Täähän kuulostaa suorastaan Ezra Poundilta. «Les juifs traînent nonchalamment sur les colonnes de chiffres et les cotes un regard de biche en amour » ou « ces bonshommes étranges qui parlent avec leurs mains comme des singes ». J’aimerais mieux être fouetté par le rabbin d’Alger que faire souffrir une femme ou un enfant juif ». Juutalaiset kiistelevat vieläkin oliko Ykä hyvis vaiko pahis.
ellauri207.html on line 361: Years later, he runs a criminal empire based on drugs and prostitution, with his son Ronald Neiderman as his enforcer. El Sapo continues to cover for him in order to have him as a national asset, meaning that he is never arrested for his crimes but just patted on the back. This part of the story sounds fully believable. Some feminists blamed Mia for spreading bourgeois fantasies. The story did not specify which, and Lisbet hadn´t got the foggiest what they might be. Nor Stieg for that matter.
ellauri210.html on line 749: Jacques Pierre Vaché, né à L'Orient le 7 septembre 1895 et mort à 23 ans à Nantes le 6 janvier 1919, etait un wannabe écrivain et dessinateur français. Il n'a laissé pour toute œuvre qu'une série de lettres, quelques textes et quelques dessins. Le ton de son œuvre est volontairement provocateur, pacifiste voire anti-militariste, haine des bourgeois, des conventions et de l'armée. Quatre jeunes hommes faisaient paraître une revue ayant pour titre En route mauvaise troupe, en hommage à Paul Verlaine. Varmaan hinureita kaikki.
ellauri221.html on line 93: Issue d'une famille modeste (son père Louis Betenfeld, violent et alcoolique, est ouvrier brasseur et sa mère Marie Lartisant domestique), Marthe Betenfeld a un frère et une sœur aînés, Camille et Jeanne. Elle est envoyée quelques années dans une institution catholique et son destin semble tout tracé : couturière, comme sa sœur aîné. Puis elle devient à Nancy apprentie culottière, à quatorze ans. Le métier ne l'enchantant guère, elle fugue de chez ses parents. Elle est interpellée pour racolage en mai 1905 par la Police des mœurs et ramenée chez ses parents. Elle fugue à nouveau à 16 ans et se retrouve à Nancy, ville avec une importante garnison militaire, où elle tombe amoureuse d'un Italien se disant sculpteur mais qui se révèle être un proxénète. Il l'envoie sur le trottoir, puis elle devient prostituée dans les « bordels à soldats » de Nancy. Devant effectuer plus de 50 passes par jour, elle tombe rapidement malade et contracte la syphilis. Renvoyée du bordel, dénoncée par un soldat pour lui avoir transmis la syphilis et fichée par la police (où elle est inscrite comme prostituée mineure le 21 août 1905), elle est contrainte de s'enfuir à Paris. Elle rentre dans un « établissement de bains » rue Godot-de-Mauroy (maison close d'un standing supérieur à ses anciennes maisons d'abattage) où elle rencontre, un soir de septembre 1907, Henri Richer, mandataire aux Halles. Le riche industriel l'épouse le 13 avril 1915. Elle fait alors table rase de son passé et devient une respectable bourgeoise de la Belle Époque dans son hôtel particulier de l'Odéon. Elle demande à être rayée du fichier national de la prostitution, ce qui lui est refusé.
ellauri222.html on line 271: But to keep it short – the reason: the reason lay in the hatred of one's own country. Among the French it was the old confrontation of "free spirits", or artists, with the ruling bourgeoisie. In America it was the fight against the McCarthys, the House Committees investigating subversion, etc that justified the left, the followers of Henry Wallace, etc. The main enemy was at home (Lenin's WWI slogan). If you opposed the CP you were a McCarthyite, no two ways about it.
ellauri222.html on line 563: Augie’s mother is “simple-minded,” gentle, and meek, with few teeth left. She allows herself to be ruled by Grandma Lausch and later, by her son Simon. After Mama goes blind, Simon sells her home to get money, and she ends up in a home. The one-time Mama stands up for herself is when she insists on bringing her white cane to Simon’s wedding, against the wishes of Simon, who appears ashamed of her disability. Later in her life, she lives in a luxurious bourgeois style, taken care of by Simon.
ellauri278.html on line 163: He often punctuated speeches with phrases like "Dogs of the Fascist bourgeoisie", "mad dogs of Trotskyism", "dregs of society", "decayed people", "terrorist thugs and degenerates", and "accursed vermin". This dehumanization aided in what historian Arkady Vaksberg calls "a hitherto unknown type of trial where there was not the slightest need for evidence: what evidence did you need when you were dealing with 'stinking carrion' and 'mad dogs'."
ellauri278.html on line 167: He spoke good French, was quick, clever and efficient, and always knew his dossier well, but whereas I had a certain unwilling respect for Molotov, I had none at all for Vyshinsky. All Soviet officials at that time had no choice but to carry out Stalin's policies without asking too many questions, but Vyshinsky above all gave me the impression of a cringing toadie only too anxious to obey His Master's Voice even before it had expressed his wishes. ... I always had the feeling with Vyshinsky that his past as a Menshevik together with his Polish and bourgeois background made him particularly servile and obsequious in his dealings with Stalin and to a lesser extent with Molotov.
ellauri278.html on line 171: We must bear in mind that the growth of the power of the Soviet state will increase the resistance of the last remnants of the dying classes. It is precisely because they are dying, and living their last days that they will pass from one form of attack to another, to sharper forms of attack, appealing to the backward strata of the population, and mobilizing them against the Soviet power. There is no foul lie or slander that these 'have-beens' would not use against the Soviet power and around which they would not try to mobilize the backward elements. This may give ground for the revival of the activities of the defeated groups of the old counter-revolutionary parties: the Socialist-Revolutionaries, the Mensheviks (glup), the bourgeois Malo-Russian nationalists (double glup) in the centre and in the outlying regions; it may give grounds also for the revival of the activities of the fragments of counter-revolutionary opposition elements from among the Trotskyites and the Right deviationists. Of course, there is nothing terrible in this. But we must bear all this in mind if we want to put an end to these elements quickly and without great loss."
ellauri281.html on line 162: He often punctuated speeches with phrases like "Dogs of the Fascist bourgeoisie", "mad dogs of Trotskyism", "dregs of society", "decayed people", "terrorist thugs and degenerates", and "accursed vermin". This dehumanization aided in what historian Arkady Vaksberg calls "a hitherto unknown type of trial where there was not the slightest need for evidence: what evidence did you need when you were dealing with 'stinking carrion' and 'mad dogs'."
ellauri281.html on line 166: He spoke good French, was quick, clever and efficient, and always knew his dossier well, but whereas I had a certain unwilling respect for Molotov, I had none at all for Vyshinsky. All Soviet officials at that time had no choice but to carry out Stalin's policies without asking too many questions, but Vyshinsky above all gave me the impression of a cringing toadie only too anxious to obey His Master's Voice even before it had expressed his wishes. ... I always had the feeling with Vyshinsky that his past as a Menshevik together with his Polish and bourgeois background made him particularly servile and obsequious in his dealings with Stalin and to a lesser extent with Molotov.
ellauri281.html on line 170: We must bear in mind that the growth of the power of the Soviet state will increase the resistance of the last remnants of the dying classes. It is precisely because they are dying, and living their last days that they will pass from one form of attack to another, to sharper forms of attack, appealing to the backward strata of the population, and mobilizing them against the Soviet power. There is no foul lie or slander that these 'have-beens' would not use against the Soviet power and around which they would not try to mobilize the backward elements. This may give ground for the revival of the activities of the defeated groups of the old counter-revolutionary parties: the Socialist-Revolutionaries, the Mensheviks (glup), the bourgeois Malo-Russian nationalists (double glup) in the centre and in the outlying regions; it may give grounds also for the revival of the activities of the fragments of counter-revolutionary opposition elements from among the Trotskyites and the Right deviationists. Of course, there is nothing terrible in this. But we must bear all this in mind if we want to put an end to these elements quickly and without great loss."
ellauri317.html on line 364: Das kommunistische Regime der Tschechoslowakei nach 1948 tat sich Karel Čapek zwar schwer anzuerkennen, da er nie von der Überlegenheit einer Diktatur des Proletariats gegenüber anderen Gesellschaftsformen überzeugt gewesen war. Zudem war er eine Symbolfigur der „bourgeoisen“ ersten Republik.
ellauri344.html on line 263: The novel depicts a Zionist entrepreneur's fatal extortion of a poor Jew, which has been read as a proletarian critique of both American capitalism and of Zionism as a "bourgeois" movement that does not serve the interests of working-class American Jews.
ellauri365.html on line 49: Maupassant [måpasa], Henry René Albert Guy de, fransk författare, f. 5 aug. 1850 på slottet Miromesnil i Normandie, d. 6 juli 1893 Auteuil, var ättling af en gammal lothringsk adels- familj; modern var sy- ster till skalden Alfred de Poittevin. Föräld- rarna skildes tidigt, och den intelligenta och litterärt intresse- rade modern, en barn- domsväninna till Gu- stave Flaubert, ledde sonens uppfostran. Hans barndom förflöt vid Normandies kust, där M. insöp sin kärlek till naturen och lärde kän- na dessa normandiska typer, som han sedan så gärna skildrade. Adertonårig inträdde han 1868 i Marinministeriet, men öfvergick 1878. till kultusministeriet. Han saknade emellertid intresse för ämbetsmannabanan. Redan tidigt vak- nade hans lust för litteraturen, som närdes af mo- derns ungdomsminnen. Flaubert omfattade honom med en faders kärlek, kritiserade strängt hans. första omogna försök, inpräntade i hans sinne sina egna konstnärliga principer, lärde honom att genom aldrig tröttnande observation söka uppfånga det förut icke iakttagna och därför nya och att återge. det så, att det skildrade fenomenet skiljer sig från alla andra och blir individuellt och enastående. Framför allt afhöll han honom från att debutera för tidigt. Från midten af 70-talet meddelade dock M. under hvarjehanda pseudonymer (oftast Guy de Valmont) smärre bitar åt tidningar och tidskrifter, och 1879 fick han uppförd en drama- tisk bagatell, Histoire du vieux temps. Hans verk- liga debut inföll dock först 1880 med diktsamlingen Des vers. Den har obestridligen ett originellt skaplynne och väckte uppseende kanske ej minst därför, att den hotades med ett åtal för osedlighet hufvudsakligen på grund af dikten Le mur), som deck afstyrdes genom inflytelserika vänner. M. insåg sedan själf, att hans talang låg mera för prosan, i all synnerhet sedan han samma år ut- gifvit novellen Boule de suif (i "Soirées de Mé- dan"). Med denna novell, som utmärktes genom skarp observationsförmåga och ypperlig prosa- stil, slog M. igenom och intog sin plats som en at den naturalistiska skolans förnämsta representanter och en af den franska litteraturens största novellister. Den efterföljdes af en lång rad novel ler, först publicerade i "Gil Blas" och "Echo de Paris" och sedan samlade i bokform under följande titlar: La maison Tellier (1881), M:lle Fifi (1882), Les contes de la Bécasse (1883), Clair de lune i (1884), Au soleil (resebilder, s. a.), Les soeurs Rondoli (s. a.), Miss Harriett (s. a.), Yvette (s. a.; sv. öfv. 1905), Monsieur Parent (s. a.), Contes du jour et de la nuit (1885), Contes et nouvelles (s. 4.), Contes choisis (1886), La petite Roque (s. a.), Toine (s. 1.), Le Horla (1887), Sur l'eau (rese- skildringar, 1888), Le rosier de Mime Husson (s. å.), L'héritage (s. a.), La main gauche (1889), Histoire d'une fille de ferme (s. a.), La vie errante (reseskildringar, s. å.) och L'inutile beauté (1890); efter hans död ha ytterligare publicerats Le père Milon (1899; "Gubben Milon", s. å.), Le colporteur (1900) och Dimanches d'un bourgeois de Paris (s. å.). Till dessa novellsamlingar ansluta sig sexromanerna Une vie (1883; "Ett lif", 1884), Bel-ami (1885; "Qvinnogunst", 1885 och 1901), Mont-Oriol (1887; sv. öfv. 1895), Pierre et Jean (1888; "Pierre och Jean", s. a.), Fort comme la vi mort (1889; "Stark som döden", 1894 och 1910) och Notre coeur (1890; "Vårt hjerta", 1894 och 1910). För scenen skref M. vidare treaktsskåde spelet Musotte (i samarbete med J. Normand, 1891) och La paix du ménage (uppf. på Théâtre fran- çais, 1893). M. skref äfven litterära studier, bl. a. öfver Emile Zola (1883) och Gustave Flaubert (1884). Denna oerhörda produktion fullbordades en på den korta tiden af omkr. tio år. Den gjorde honom hastigt världsberömd som en äkta represen tant för den franska conten, en ättling i rakt ned stigande led af de gammalfranske fabliåförfattarna, med ära upphärande Rabelais', La Fontaines och Voltaires traditioner.
ellauri408.html on line 702: Au cours des voyages qu'il fait à Paris, Proudhon rencontre Karl Grün, Mikhaïl Bakounine, Alexandre Herzen qui deviendront ses amis et Karl Rot qui admirait en lui le seul socialiste français dégagé du mysticisme chrétien. En plus, il est lui-même prolétaire, ouvrier! Et il précise : « nous ne devons pas poser l'action révolutionnaire comme moyen de réforme sociale, parce que ce prétendu moyen serait tout simplement un appel à la force, à l'arbitraire, bref, une contradiction. L'échange de lettres avec Marx annonce la rupture, qui intervient quelques mois plus tard. Quand, en octobre 1846, Proudhon publie le Système des contradictions économiques ou Philosophie de la misère, Marx riposte par Misère de la philosophie. Marx considère que Proudhon est un socialiste « petit-bourgeois » ou nettement « bourgeois », qui défend un système utopique qui combinerait les avantages du socialisme et du capitalisme sans leurs inconvénients. Il écrit ainsi : « Les socialistes bourgeois veulent tous les avantages des conditions sociales modernes sans les luttes et les dangers qui en découlent nécessairement ». Il critique notamment ses conceptions économiques sur la valeur, son soutien à la concurrence ou encore son opposition aux grèves ouvrières. Marx est le ténia du socialisme (sosialismin lapamato), Proudhomme sinkauttaa vastineexi ja kommentoi marginaaliin manifestia: « Calomnie », « Absurde », « Faux » « Mensonge », « Pasquinade ». « Quelle bêtise après ce que j´ai écrit — En vérité Marx est jaloux » ; « Allons mon cher Marx, vous êtes de mauvaise foi, et tout à la fois vous ne savez rien » .
ellauri408.html on line 704: Hullun vuoden kansannousussa Prude kiemurtaa kuin lapamato, valehtelee pälkähästä päästäxeen mutta joutuu linnareisulle. Les bourgeois vainqueurs sont féroces comme des tigres. Sans doute minimise-t-il au mieux ses agissements lors de l´interrogatoire et les efface-t-il totalement dans ses Confessions d´un révolutionnaire (1849) pour éviter d´être inculpé.
xxx/ellauri068.html on line 64: A committee was set up in Baku to develop the new Turkic alphabet (the All-Union Committee for the Development of the New Turkic Alphabet, the CNTA, later transformed into the Committee of the New Alphabet), headed by S. A. Agamali-oglu. At its first meeting the theses of N. F. Yakovlev,Chair of the Commission, were adopted. The Commission declared the Cyrillic (Russian civilian) script a "relic of the 18th - 19th centuries, the script of Russian feudal landlords and the bourgeoisie, the script of autocratic oppression, missionary propaganda, great-power chauvinism. <...> it still binds the population that reads in Russian with the national-bourgeois traditions of Russian pre-revolutionary culture."
xxx/ellauri123.html on line 766: Lolita is frequently described as an "erotic novel", not only by some critics but also in a standard reference work on literature Facts on File: Companion to the American Short Story. The Great Soviet Encyclopedia called Lolita "an experiment in combining an erotic novel with an instructive novel of bourgeois bad manners."
xxx/ellauri127.html on line 433: Issu d'un milieu bourgeois et artiste, Prosper Mérimée fait des études de droit avant de s'intéresser à la littérature et de publier dès 1825 des textes, en particulier des nouvelles, qui le font connaître et lui valent d'être élu à l'Académie française en 1844.
xxx/ellauri127.html on line 435: Prosper Mérimée naît le 28 septembre 18031 à Paris dans une famille bourgeoise. Du côté de sa mère, Prosper Mérimée est sans doute l'arrière-petit-fils de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont (1711-1776). Les parents de Prosper, qui se sont mariés à (Paris 12e) le 22 juin 1802, ont un solide bagage intellectuel et artistique datant du XVIIIe siècle, mais ne s'engagent guère dans les courants culturels naissants (romantisme). De l'éducation parentale, Mérimée retient l'horreur de l'emphase.
xxx/ellauri137.html on line 194: When Manet painted this piece 1868, scenes of bourgeois life were in vogue. Yet The Balcony went against the conventions of the day. All the subjects were close acquaintances of the artist, especially Berthe Morisot who here, pictured sitting in the foreground, makes her first appearance in Manet's work, and who went on to become one of his favourite models.
xxx/ellauri139.html on line 1031: En 1775 paraît sa première pièce majeure Le Dix-huitième siècle. C’est une satire en vers qui donne la caricature de son temps ; la philosophie y est le principe de la « chute des arts », de la « perte des mœurs ». Tout y est matière à charge : la bourgeoisie, la noblesse, le clergé libertin ; la littérature du moment y est passée au peigne fin. Des généralités sociales, on passe bientôt aux attaques ad hominem ; à la fin de la satire, du reste, le nom honni paraît enfin : Voltaire. Le Dix-huitième siècle est véritablement à sa parution, et pour reprendre le mot de Huysmans, « un météore dans le champ littéraire » de l’époque. Il n'est pas de bon ton, La critique se dechaine.
xxx/ellauri139.html on line 1076: Né le 28 frimaire an XII (20 décembre 1803) sous le Consulat, à Lyon, 62 rue Pas Étroit (actuelle rue du Bât-d'Argent), Pierre François Lacenaire est le quatrième enfant et le deuxième fils de Jean-Baptiste Lacenaire, bourgeois et négociant lyonnais, et de Marguerite Gaillard, qui connaît treize grossesses entre 1799 et 1809. Kyllä meni kesken kovasti, jopa riitti Jean-Baptistella yritystä siementää. Non désiré de ses parents, il souffre de se voir préférer son frère aîné Jean-Louis, né le 19 frimaire an VIII (10 décembre 1799), il a notamment un sentiment d'abandon de sa mère et sera spolié de son héritage par son père.
xxx/ellauri139.html on line 1157: Le philosophe Michel Foucault considérait que la notoriété de Lacenaire chez les Parisiens marquait la naissance d'un nouveau genre de bandit adulé, le criminel romantique bourgeois. Le roman La Voix Secrète de Michael Mention retrace les dernières semaines de sa vie.
xxx/ellauri154.html on line 99: While there were many contemporary critics of her comportment, many people accepted her behaviour until they became shocked with the subversive tone of her novels. Those who found her writing admirable were not bothered by her ambiguous or rebellious public behaviour. Victor Hugo commented "George Sand cannot determine whether she is male or female. I entertain a high regard for all my colleagues, but it is not my place to decide whether she is my sister or my brother. I bet s/he doesn´t know her/himself." She engaged in an intimate romantic relationship with actress Marie Dorval. She was buried in sand behind the chapel at Nohant. In 1880 her children sold the rights to her literary estate for 125,000 Francs[28] (equivalent to 36 kg worth of gold, or 1.3 million dollars in 2015 USD). Quite a handsome net worth for a lady. Sand often performed her theatrical works in her small private theatre at the Nohant estate. Sand was all for the bourgeois revolution but no communist. Victor Hugo, in the eulogy he gave at her funeral, said "the lyre was within her, so no wonder nothing else could fit in."
xxx/ellauri173.html on line 382: Une Déesse bourgeoise! Vittu tällä mezästäjä-keräilijöiden saaren kreivillä on kovat luulot izestään. Se on moukempi kuin nippu kauppiaita.
xxx/ellauri176.html on line 878: While Tyndall was inside Jordan hastily married his fiancee Miss Dior. Tyndall got sore and founded his own, even greater Britain movement. Make Britain Great Again. Bugger. Jordan's first wife was French socialite Françoise Dior, the niece of fashion designer Christian Dior. She, too, was a Nazi and helped fund various right-wing causes after the war. Dior had an incestuous relationship with her own daughter Christiane, before playing an active role in her child's suicide. Soon Dior found Jordan bourgeois and divorced him. Jordan's second partner Joanna Saffrany was probably a --- Hungarian!
xxx/ellauri179.html on line 390: “The bourgeois appreciates?” Papa laughed big and drank his grappa and picked up the walking stick. The two Americans sat drinking their grappas at the bar. One had taped up glasses and the other had messy grey-flaked hair. The one with the glasses listened closely. The other just drank.
xxx/ellauri179.html on line 650: Another theme of Kake and Bill's banter concerns the latter's status as an expatriate. He has fled America, with its prudish Anti-Saloon League and bourgeois President Coolidge (who famously said "The business of America is business"). Finally, note the gruff tenderness shared by Kake and Bill in these scenes. One of Hemingway's pleasures in life as in art was what we now call "male bonding," and in this case the bonding is poignant, as in some ways it replaces the love that Kake cannot fully express with female companions. Haha, so you must mean dick, that's the only thing Bill has and they don't.
xxx/ellauri187.html on line 105: Rilke lived on the brink of poverty for much of his life, dependent on the good graces of aristocratic and haute-bourgeois patrons in the twilight of the Hapsburg Empire. His shaky situation, much as he complained of it, suited his temperament as well as did the black clothes he liked to parade in during his dandyish younger days in Prague. Like the great German mystics, Rilke was a confirmed solitary. Thus he sought to form emotional bonds with people more ardently than do those who take their desire to be with others for granted. Wandering from person to person and from place to place like a pilgrim, he found that patrons offered him, among more practical things, a potential shrine of emotional fulfillment.
xxx/ellauri202.html on line 206: À travers les destinées de deux familles bourgeoises, les Thibault et les Fontanin, est évoquée la France de la Belle Époque qui va sombrer dans le premier conflit mondial. L'ensemble du cycle est surtout centré sur les deux fils du riche notable catholique Oscar Thibault, deux frères que tout oppose : Antoine, l'aîné, médecin sûr de lui, esprit rationnel et plutôt conformiste, et son cadet de neuf ans, Jacques, idéaliste et tourmenté, en révolte contre les valeurs de la société bourgeoise puis militant socialiste.
xxx/ellauri202.html on line 208: « Je voudrais surtout ressusciter l'atmosphère du temps. L'agitation pacifiste internationale, autour de Jacques ; la vie bourgeoise, autour d'Antoine », écrit l'auteur à son collegue homophile et ami André Gide en 1933: dès lors « on passe de la fresque sociale à la fresque historique».
xxx/ellauri232.html on line 79: Right-wing parties are on the rise across Europe, and Sweden is no exception. The far-right and populist Sverigedemokraterna (the Sweden Democrats) now have representatives in the cabinet, and the bourgeois parties are coming close behind.
xxx/ellauri250.html on line 437: It’s a tale of the endearing Russian bear, which rings discordantly when that bear has its claws out for its neighbors. Russians can't be nice! It is all russki propaganda! It depicts a woman’s quick forgiveness of a sexual predator with whom she’s forced to associate. (What the fuck, some sexual predator indeed, won't even give to her when she asks.) It’s about the fecklessness of the intellectual class and the blank emptiness of the Western (and Westernized) bourgeoisie—the screenplay deliberately leaves F.F. blank, even unto her name. Ljoha isn’t quite as blank, because in his unguarded drunkenness, he blurts out a few of his prejudices and acts out his impulses.
xxx/ellauri255.html on line 115: He even accused the bourgeoisie of somehow sabotaging food supplies. Actually, though, the bourgeoisie had virtually no control over food supplies at all, they were all stashed away by the kulaks.
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