ellauri102.html on line 429: La tuerie de l'École polytechnique est une tuerie antiféministe en milieu scolaire qui a eu lieu le 6 décembre 1989 à l'École polytechnique de Montréal, au Québec (Canada). Marc Lépine (né Gamil Gharbi), âgé de vingt-cinq ans, ouvre le feu sur vingt-huit personnes, tuant quatorze femmes et blessant treize autres personnes (9 femmes et 4 hommes)[1], avant de se suicider. Ce féminicide de masse est perpétré en moins de vingt minutes à l'aide d'une carabine obtenue légalement. Il s'agit de la tuerie en milieu scolaire la plus meurtrière de l'histoire du Canada.
ellauri102.html on line 439: Il ouvre ensuite le feu sur les étudiantes de gauche à droite, en tuant six et en blessant trois, dont Nathalie Provost. Avant de quitter la salle, il écrit le mot « shit » deux fois sur le projet d'un étudiant.
ellauri150.html on line 337: Elle jouait son morceau, s’appliquant de son mieux ; et, comme elle était habile, elle y réussissait très passablement, parfois même assez bien. Christophe, qui n’était pas dupe, riait en lui-même de l’adresse « de cette sacrée mâtine (sekarotuinen narttu), qui jouait, comme si elle sentait ce qu’elle jouait, quoiqu’elle n’en sentît rien ». Il ne laissait pas d’en éprouver pour elle une sympathie amusée. (Narsismimarkkeri!) Colette, de son côté, saisissait tous les prétextes pour reprendre la conversation, qui l’intéressait beaucoup plus que la leçon de piano. Christophe avait beau s’en défendre, prétextant qu’il ne pouvait dire ce qu’il pensait, sans risquer de la blesser : elle arrivait toujours à le lui faire dire ; et plus c’était blessant, moins elle en était blessée : c’était un amusement pour elle. Mais comme la fine mouche sentait que Christophe n’aimait rien tant que la sincérité, elle lui tenait tête hardiment, et discutait mordicus (izepäisesti). Ils se quittaient très bons amis.
ellauri365.html on line 135: Yhtäkkiä, satuttaa silmiä raa'alla heijastuksellaan, Soudain, blessant les yeux par son reflet brutal,
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