ellauri033.html on line 291: besoins d´excentricité ne seraient, s´il faut l´en croire, que des élans
ellauri033.html on line 1108: Atteint d´un cancer des voies digestives lors de l´hiver 1888-1889, Villiers ne peut plus travailler, et Mallarmé doit ouvrir une « cotisation amicale » parmi ses amis pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille. Le 12 juillet 1889, il est transféré à la clinique des Frères Saint-Jean-de-Dieu, rue Oudinot, à Paris. Se sentant à l´article de la mort, il rédige, le 12 août, un testament où il reconnaît son fils Victor et épouse in extremis Marie Dantine, le 14 août, afin de légitimer son fils. À noter que, juste avant de mourir, il aurait eu ces derniers mots passés à la postérité : « Eh bien, je m´en souviendrai de cette planète ! »
ellauri036.html on line 860: La nature a besoin de leurs sales lignées,
ellauri036.html on line 939: N'ait besoin, pour dorer son chant mélancolique,
ellauri036.html on line 970: Tu n'auras pas besoin demain d'être endormie
ellauri109.html on line 385: En 1846, elle rencontre Gustave Flaubert, jeune inconnu dans l'atelier du peintre James Pradier. Il est âgé de 25 ans, elle de 30. Ils deviennent amants. La liaison ne dure pas. Elle quitte son mari en 1847. Pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa fille, elle écrit vite et répond à des commandes. Elle raconte dans ses mémentos comment elle doit se battre pour garder son indépendance et tenter d'être reconnue par ses confrères masculins
ellauri145.html on line 1103: Et me recueille, pour lâcher l’âcre besoin : Ja kokoan izeni, päästääxeni katkeran tarpeeni,
ellauri146.html on line 469: L’Homme a toujours besoin de caresse et d’amour, Miespä tarvii koko ajan haleja,
ellauri150.html on line 273: Mais Colette était trop fine pour ne pas sentir qu’avec Christophe toutes ses grâces étaient perdues, et trop souple pour ne pas s’adapter instantanément à ses façons d’être. Elle n’avait même pas besoin de s’appliquer pour cela. C’était un instinct de sa nature. Elle était femme. Elle était comme une onde sans forme. Toutes les âmes qu’elle rencontrait lui étaient comme des vases, dont, par curiosité, par besoin, sur-le-champ, elle épousait les formes. Pour être, il fallait toujours qu’elle fût un autre. Toute sa personnalité, c’était qu’elle ne le restait pas. Elle changeait de vases, souvent.
ellauri161.html on line 851:

Yleiset termit ja lausekkeet


ellauri162.html on line 207: besoin, comme celle de Gille, du contraste de la vivacité
ellauri172.html on line 316: Le caractère de la vie qui nous a permis d’unir en une certaine mesure, l’égoïsme et l’altruisme, — union qui est la pierre philosophale des moralistes, — c’est ce que nous avons appelé la fécondité morale. Il faut que la vie individuelle se répande pour autrui, en autrui, et, au besoin, se donne ; eh bien, cette expansion n’est pas contre sa nature : elle est au contraire selon sa nature ; bien plus, elle est la condition même de la vraie vie. L’école utilitaire a été forcée de s’arrêter, plus ou moins hésitante, devant cette antithèse perpétuelle du moi et du toi, du mien et du tien, de l’intérêtpersonnel et de notre intérêt général ; mais la nature vivaute ne s’arrête pas à cette division tranchée et logiquement inflexible : la vie individuelle est expansive pour autrui parce qu’elle est féconde, et elle est féconde par cela même qu’elle est la vie.
ellauri172.html on line 318: Au point de vue physique, nous l’avons vu, c’est un besoin individuel que d’engendrer un autre individu, si bien que cet autre devient comme une condition de nous-même. La vie, comme le feu, ne se conserve qu’en se communiquant. Et cela est vrai de l’intelligence non moins que du corps ; il est aussi impossible de renfermer l’intelligence en soi que la flamme : elle est faite pour rayonner. Même force d’expansion dans la sensibilité : il faut que nous partagions notre joie, il faut que nous partagions notre douleur. C’est tout notre être qui est sociable : la vie ne connaît pas les classifications et les divisions absolues des logiciens et des métaphysiciens : elle ne peut pas être complètement égoïste, quand même elle le voudrait. Nous sommes ouverts de toutes parts, de toutes parts envahissants et envahis. Cela tient à la loi fondamentale que la biologie nous a fournie : La vie n’est pas seulement nutrition, elle est production et fécondité. Vivre, c’est dépenser aussi bien qu’acquérir.
ellauri205.html on line 186: L'homme habité par ce double besoin de mort appartient, tant qu'il n'est pas devenu autre, à une race différente de la race des vivants.
ellauri365.html on line 84: hellyys painoi heitä, kuin vahvempi tarve Douce les oppressait, comme un besoin plus fort
ellauri420.html on line 567: Aviottoman syntymänsä ja köyhyyden takia mlle de Lespinasse oli laiminlyöty lapsi. Hän sai peruskoulutuksen nunnaluostarista mutta oli pääasiassa itseoppinut, minkä ansiosta hän pystyi myöhemmin pitämään pintansa Ranskan kärkiälykköjen joukossa. Tunnistettuaan veljentyttärensä kyvyt Madame du Deffand houkutteli hänet vuonna 1754 Pariisiin. Siis Mlle de Lespinasse muutti sokean tätinsä luo Pariisiin. Kymmenen vuotta myöhemmin Madame du Deffand alkoi kadehtia nuoremman naisen vaikutusvaltaa nuorempiin salongeissa kävijöihin. L’arrivée de Julie au milieu de ce beau monde fait sensation. Elle n’est, certes, pas remarquée pour sa beauté mais son comportement est plein de grâce. Elle a un irrésistible besoin de plaire à tous, sans discrimination. Le ton de sa voix est très doux et exquis. Elle a l’art d’écouter et d’applaudir aux bons mots des autres. Elle s’enthousiasme facilement mais avec retenue et cette attitude tranche sur les sentiments blasés d’une société trop polie. Cela redonne vie à la marquise naturellement sceptique et craignant par-dessus tout de s’ennuyer. Au fur et à mesure de l’aggravation de sa cécité elle a bien besoin d’une telle compagne pour se rattacher à la vie.
xxx/ellauri173.html on line 282: Jamais démonstration n’avait été si convaincante ! », écrit Y. Coppens, en ce sens que cette expérience, conçue pour montrer « s’il en était besoin » que le chimpanzé est intelligent.
xxx/ellauri423.html on line 67: Je n'ai plus besoin d'eux!
xxx/ellauri442.html on line 297: Ca allait pas si bien pour André Compte-Sponville (1952-). Au sortir d'une enfance «plutôt malheureuse» passée rue Ledion à Paris 14e, «dans une famille déchirée, avec un père très méprisant, une mère aimante mais dépressive», André Comte-Sponville s'est «découvert peu doué pour la vie, peu porté au bonheur, davantage doué pour l’angoisse, la mélancolie : raison pour laquelle [il a] besoin de philosopher. En 1995, son septième livre, Petit Traité des grandes vertus, est un succès, vendu en France à 300 000 exemplaires (hors poche) et traduit en vingt quatre langues. Désormais célèbre, il se trouve définitivement libéré des contraintes financières. Il est souvent invité sur les plateaux télévisés. En 2006, il en fait une activité commerciale. Membre du comité d'honneur de l'Association pour le droit de mourir sans dignité, qui déclare que « la liberté de choix est une valeur plus haute que la vie», il siège au Comité consultatif national d'éthique de mars 2008 à mars 2016.
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