ellauri008.html on line 1512: - Oui, nous en avons beaucoup!
ellauri009.html on line 359: sai siitä kiinalaisilta beaucoup d'dargent.

ellauri014.html on line 1206: « Voyez donc, continuait-elle, à quelle félicité je suis parvenue. J’en avais beaucoup ; j’en attendais davantage. La prospérité de ma famille, une bonne éducation pour mes enfants, tout ce qui m’était cher rassemblé autour de moi ou prêt à l’être. Le présent, l’avenir, me flattaient également ; la jouissance et l’espoir se réunissaient pour me rendre heureuse. Mon bonheur monté par degrés était au comble ; il ne pouvait plus que déchoir ; il était venu sans être attendu, il se fût enfui quand je l’aurais cru durable. Qu’eût fait le sort pour me soutenir à ce point ? Un état permanent est-il fait pour l’homme ?
ellauri018.html on line 452: Oui, nous en avons beaucoup!
ellauri028.html on line 380: One night I had a "beaucoup" jack,
ellauri033.html on line 257: l´inoculer à notre littérature. Dans leur manière insolite, capricieuse, tortillée, dans leur écriture bizarre et saugrenue, il y a effectivement beaucoup de japonais, et même un peu de chinois.


ellauri052.html on line 878: Muu maailma on kaikki "those terrorists". Treatening our legitimate vital interests everywhere. The last time I troubled to read the newspaper I noted that an oil company, after paying a ransom of $10M, was still unable to obtain the release of one of its executives from his Argentine kidnappers. C'est beaucoup d'argent pour un Americain. The flabbiness of the U.S.A. is disheartening. We are setting the world a miserable example by allowing ourselves to be bullied.
ellauri052.html on line 991: Muu maailma on kaikki "those terrorists". Treatening our legitimate vital interests everywhere. The last time I troubled to read the newspaper I noted that an oil company, after paying a ransom of $10M, was still unable to obtain the release of one of its executives from his Argentine kidnappers. C'est beaucoup d'argent pour un Americain. The flabbiness of the U.S.A. is disheartening. We are setting the world a miserable example by allowing ourselves to be bullied.
ellauri074.html on line 333: En permettant l'homme, la nature a commis beaucoup plus qu'une erreur de calcul: un attentat contre elle-même.
ellauri109.html on line 423: [...] Je doute que les femmes vaillent les hommes ; la laideur de ceux-ci ajoute beaucoup comme Art. [...] Puisque nous causons de bardaches, voici ce que j’en sais. Ici, c’est très bien porté. On avoue sa sodomie et on en parle à table d’hôte.
ellauri150.html on line 275: Christophe l’attirait, pour beaucoup de raisons, dont la première était qu’il n’était pas attiré par elle. Il l’attirait encore, parce qu’il était différent de tous les jeunes gens qu’elle connaissait : elle n’avait jamais essayé encore d’une potiche de cette forme et de ces aspérités. Il l’attirait enfin, parce qu’experte, de race, à évaluer du premier coup d’œil le prix exact des potiches et des gens, elle se rendait parfaitement compte qu’à défaut d’élégance, Christophe avait une solidité, qu’aucun de ses bibelots parisiens ne pouvait lui offrir.
ellauri150.html on line 277: Elle faisait de la musique, comme la plupart des jeunes filles oisives d’à présent. Elle en faisait beaucoup et peu. C’est-à-dire qu’elle en était toujours occupée, et qu’elle n’en connaissait presque rien. Elle tripotait son piano, toute la journée, par désœuvrement, par pose, par volupté. Tantôt elle en faisait, comme du vélocipède. Tantôt elle pouvait jouer bien, très bien, avec goût, avec âme, — (on eût presque dit qu’elle en avait une : il suffisait, pour cela, qu’elle se mît à la place de quelqu’un qui en avait une). — Elle était capable d’aimer Massenet, Grieg, Thomé, avant de connaître Christophe. Mais elle était aussi capable de ne plus les aimer, depuis qu’elle connaissait Christophe. Et maintenant, elle jouait Bach et Beethoven très proprement, — (ce qui, à la vérité, n’est pas beaucoup dire) ; — mais le plus fort, c’était qu’elle les aimait. Au fond, ce n’était ni Beethoven, ni Thomé, ni Bach, ni Grieg, qu’elle aimait : c’étaient les notes, les sons, ses doigts qui couraient sur les touches, les vibrations des cordes qui lui grattaient les nerfs comme autant d’autres cordes, son épiderme chatouillé.
ellauri150.html on line 337: Elle jouait son morceau, s’appliquant de son mieux ; et, comme elle était habile, elle y réussissait très passablement, parfois même assez bien. Christophe, qui n’était pas dupe, riait en lui-même de l’adresse « de cette sacrée mâtine (sekarotuinen narttu), qui jouait, comme si elle sentait ce qu’elle jouait, quoiqu’elle n’en sentît rien ». Il ne laissait pas d’en éprouver pour elle une sympathie amusée. (Narsismimarkkeri!) Colette, de son côté, saisissait tous les prétextes pour reprendre la conversation, qui l’intéressait beaucoup plus que la leçon de piano. Christophe avait beau s’en défendre, prétextant qu’il ne pouvait dire ce qu’il pensait, sans risquer de la blesser : elle arrivait toujours à le lui faire dire ; et plus c’était blessant, moins elle en était blessée : c’était un amusement pour elle. Mais comme la fine mouche sentait que Christophe n’aimait rien tant que la sincérité, elle lui tenait tête hardiment, et discutait mordicus (izepäisesti). Ils se quittaient très bons amis.
ellauri161.html on line 828: D´après Raïssa Maritain, la conversion de Léon Bloy doit beaucoup à Ernest Hello ; on trouve de nettes traces de son influence dans le Journal d´un curé de campagne de Georges Bernanos et dans l´exégèse biblique de Paul Claudel ; Henri Michaux le reconnaît également comme l´une de ses sources.
ellauri162.html on line 226: Artaux Pas si Mauvais naquit en 1942 dans un camion, en plein emigration face aux forces soviétiques, durant la Guerre de Continuation ; sa famille, fuyant les combats, est chassée par l´armee sovietique vers la Norvège, puis la Suède et la Laponie finlandaise. Pas si Mauvais qui signifie en finnois « prison de pierre » est un nom inventé par son père né Gullstén (Pierre d´or) pour « finniser », comme beaucoup de Finlandais, un patronyme à consonance suédoise (à l´instar des personnes inspirées par le mouvement fennomane).
ellauri162.html on line 240: muistoissamme hän on varmasti monella meistä ain. Dans nos souvenirs, je suis sûr qu'il est en beaucoup d'entre nous.
ellauri162.html on line 244: Arto Paasilinna sai paljon tunnustusta jo elinaikanaan, Arto Paasilinna a reçu beaucoup de reconnaissance déjà de son vivant,
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 590: Nous on a ete de "mauvais sujets", mais, il y avait des choses, — pas beaucoup ! mais enfin il y en avait bien une ou deux, dont, si démons que nous fussions, nous n’aurions pas été capables, comme par exemples donner du cul. Mais, lui (prétendait-on), il était capable de tout. Ils l’accusaient de servilité avec les chefs et de basse ambition. Ils allèrent même jusqu’à le soupçonner d’espionnage. Il était aussi à la fois heureux au jeu et heureux en femmes ; ce qui n’est pas l’usage non plus. Rumat miehet ovat yhtä mustasukkaisia könsikkäille kuin rumat naiset.
ellauri172.html on line 635: Quand cet enfant mourut, car il mourut quelques mois après sa naissance, le major eut un chagrin très exalté, un chagrin à folies, et on n’en rit pas dans le régiment. Pour la première fois, l’antipathie dont il était l’objet se tut. On le plaignit beaucoup plus que la mère qui, si elle pleura sa géniture, n’en continua pas moins d’être la Rosalba que nous connaissions tous, cette singulière catin arrosée de pudeur par le Diable, qui avait, malgré ses mœurs, conservé la faculté, qui tenait du prodige, de rougir jusqu’à l’épine dorsale deux cents fois par jour ! Sa beauté ne diminua pas. Elle résistait à toutes les avaries. Et, cependant, la vie qu’elle menait devait faire très vite d’elle ce qu’on appelle entre cavaliers une vieille chabraque, si cette vie de perdition avait duré. »
ellauri210.html on line 608: Le grand ennemi de l'art, c'est le bon goût. Le goût est une source de plaisir, l'art n'est pas une source de plaisir, c'est une source qui n'a pas de couleur, pas de goût. L'art est une chose beaucoup plus profonde que le goût d'une époque. Je me suis forcé à me contredire pour éviter de me conformer à mon propre goût. Je suis dégoutant, et ca me goute.
ellauri211.html on line 202: Le grand ennemi de l´art, c´est le bon goût. Le goût est une source de plaisir, l´art n´est pas une source de plaisir, c´est une source qui n´a pas de couleur, pas de goût. L´art est une chose beaucoup plus profonde que le goût d´une époque. Je me suis forcé à me contredire pour éviter de me conformer à mon propre goût. Je suis dégoutant, et ca me goute.
xxx/ellauri084.html on line 781: Par ailleurs, Simone Veil, qui siégeait alors au conseil d'administration de l'ORTF, a critiqué la pertinence du documentaire qui, selon elle, ne reflète pas les réalités de cette époque. S'exprimant en 1992 sur France 3, elle a rappelé sa position en indiquant que Le Chagrin et la Pitié « a été très injuste pour les résistants et les Français qui ont sauvé beaucoup d'enfants juifs - beaucoup plus que dans d'autres pays - des voisins qui ont pris un enfant qu'ils ne connaissaient pas, mais aussi les églises ». Elle estime choquant que la ville résistante de Clermont-Ferrand soit présentée comme une ville de collaborateurs.
xxx/ellauri128.html on line 135: C’était, dit Jean-Jacques Rousseau, « un homme droit et adroit ». « Il faisait profession, écrit La Harpe, d’une franchise brusque qui ne déplaisait point […] Soit habitude, soit dessein, il gardait ce ton même dans la louange et l’on peut juger qu’elle n’y perdait pas. Il avait d’ailleurs un fonds de droiture qui le rendait incapable de plier son opinion ni sa liberté à aucun intérêt ni aucune politique ; et cependant ce ne fut point un obstacle à son avancement, parce qu’il n’offensa jamais l’amour-propre des gens de lettres, et qu’il sut intéresser en sa faveur celui des gens en place. » Duclos avait beaucoup d’esprit et une grande liberté de parole ; on cite de lui nombre de mots heureux.
xxx/ellauri129.html on line 626: En français. Couches semi-reliées. Les côtés marbrés. 131 pages. Ce titre est assez rare. Ils n'ont pas beaucoup de saletés. Les papiers de fin sont verts. Le couvercle arrière est bien fixé.
xxx/ellauri139.html on line 1081: Assassin romantique (beaucoup de femmes assistent au procès), il avoue tout avec cynisme et désinvolture et implique ses deux complices Avril et François, considérant qu'ils l'ont dénoncé et que tous les trois méritent la mort. Son avocat commis d'office, Maitre Brochant de Villiers, plaide la folie, en vain.
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