ellauri008.html on line 1512: - Oui, nous en avons beaucoup!
ellauri018.html on line 452: Oui, nous en avons beaucoup!
ellauri033.html on line 235: de la fixité. Rien qu´en la lisant nous avons peur d´en rompre
ellauri036.html on line 206: Alfred oli masis ja viinamäen miehiä, mutta jatkoi kirjoittamista. Se sai kunnialegioonan mitalin ja valittiin Ranskan akatemiaan 1852 (jolloin syntyivät Bourget ja rautakauppias). Se löytyy Pierre-Lachaisesta. Nyt sitä taas pidetään hyvänä kynämiehenä. Poliittisesti suht vasemmalla, mut kannatti Reininmaan ottamista Saxalta (kuten Napsu oli tehnyt). Nikolaus Becker lauloi Rheinliedissä:"Sie sollen ihn nicht haben, den freien, deutschen Rhein". Musset kirjoitti vastineen:"Nous l'avons eu, votre Rhin allemand". Tää ennakoi 1871 rökitystä, jota Bourget muiden patrioottisten ranskalaisten kanssa jäi hautomaan. 1. maailmansota oli muun muassa sen revanssi. Viipuri on ikivanha venäläinen kaupunki. Musset kuoli sydänvikaan. Sen pää pompsahteli pulssin tahdissa. De Mussetin merkixi sitä sanottaneen vieläkin.
ellauri036.html on line 292: Nous attendons autant, nous avons plus perdu.
ellauri109.html on line 425: Quelquefois, on nie un petit peu, tout le monde alors vous engueule et cela finit par s’avouer. Voyageant pour notre instruction et chargés d’une mission par le gouvernement, nous avons regardé comme de notre devoir de nous livrer à ce mode d’éjaculation. L’occasion ne s’en est pas encore présentée, nous la cherchons pourtant.
ellauri145.html on line 709: When Zola was interviewed for this series on March 31, one month after Là-bas had begun to appear, even he admitted that it was possible that Naturalism was drawing to a close: “C’est possible. Nous avons tenu un gros morceau du siècle, nous n’avons pas à nous plaindre; et nous représentons un moment assez splendide dans l’évolution des idées au dix-neuvième siècle pour ne pas craindre d’envisager l’avenir” (XII, 653).
ellauri145.html on line 877: Nous l´avons, Madame, en dormant, Me ollaan se nukkuessamme, Madame,
ellauri172.html on line 316: Le caractère de la vie qui nous a permis d’unir en une certaine mesure, l’égoïsme et l’altruisme, — union qui est la pierre philosophale des moralistes, — c’est ce que nous avons appelé la fécondité morale. Il faut que la vie individuelle se répande pour autrui, en autrui, et, au besoin, se donne ; eh bien, cette expansion n’est pas contre sa nature : elle est au contraire selon sa nature ; bien plus, elle est la condition même de la vraie vie. L’école utilitaire a été forcée de s’arrêter, plus ou moins hésitante, devant cette antithèse perpétuelle du moi et du toi, du mien et du tien, de l’intérêtpersonnel et de notre intérêt général ; mais la nature vivaute ne s’arrête pas à cette division tranchée et logiquement inflexible : la vie individuelle est expansive pour autrui parce qu’elle est féconde, et elle est féconde par cela même qu’elle est la vie.
ellauri172.html on line 318: Au point de vue physique, nous l’avons vu, c’est un besoin individuel que d’engendrer un autre individu, si bien que cet autre devient comme une condition de nous-même. La vie, comme le feu, ne se conserve qu’en se communiquant. Et cela est vrai de l’intelligence non moins que du corps ; il est aussi impossible de renfermer l’intelligence en soi que la flamme : elle est faite pour rayonner. Même force d’expansion dans la sensibilité : il faut que nous partagions notre joie, il faut que nous partagions notre douleur. C’est tout notre être qui est sociable : la vie ne connaît pas les classifications et les divisions absolues des logiciens et des métaphysiciens : elle ne peut pas être complètement égoïste, quand même elle le voudrait. Nous sommes ouverts de toutes parts, de toutes parts envahissants et envahis. Cela tient à la loi fondamentale que la biologie nous a fournie : La vie n’est pas seulement nutrition, elle est production et fécondité. Vivre, c’est dépenser aussi bien qu’acquérir.
ellauri172.html on line 324: Le second équivalent, nous l’avons trouvé dans la théorie des idées-forces soutenue par un philosophe contemporain : l’idée même de l’action supérieure, comme celle de toute action, est une force tendant à la réaliser. L’idée est même déjà la réalisation commencée de l’action supérieure ; l’obligation n’est, à ce point de vue, que le sentiment de la profonde identité qui existe entre la pensée et l’action ; c’est par cela même le sentiment de l’unité de l’être, de l’unité de la vie. Celui qui ne conforme pas son action à sa plus haute pensée est en lutte avec lui-même, divisé intérieurement. Sur ce point encore l’hédonisme est dépassé ; il ne s’agit pas de calculer des plaisirs, de faire de la comptabilité et de la finalité : il s’agit d’être et de vivre, de se sentir être, de se sentir vivre, d’agir comme on est et comme on vit, de ne pas être une sorte de mensonge en action, mais une vérité en action.
ellauri172.html on line 328: Pro tertio: Le bonheur purement égoïste de certains épicuriens est une chimère, une abstraction, une impossibilité : les vrais plaisirs humains sont tous plus ou moins sociaux. L’égoïsme pur, avons-nous dit, au lieu d’être une réelle affirmation de soi, est une mutilation de soi.
ellauri172.html on line 619: Par Dieu ! nous avons tous, Messieurs, connu de ces hommes assez fanatisés d’une femme pour croire en elle, quand tout l’accuse, et qui, au lieu de se venger quand la certitude absolue d’une trahison pénètre dans leur âme, préfèrent s’enfoncer dans leur bonheur lâche, et en tirer, comme une couverture par-dessus leur tête, l’ignominie !
ellauri210.html on line 813: Nous avons fait l’hostie il nous a faits crapauds Olemme ottaneet öylätin se teki meistä rupikonnia
ellauri285.html on line 684: "La médiologie s´intéresse à tous les moyens, à tous les véhicules par lesquels nous avons accès, à l´histoire, au sens. Ça n´a rien à voir avec les médias de masse dont je ne connais rien."
ellauri324.html on line 159: Vous devez sans doute avoir une mauvaise définition de Dieu. Non, Dieu n'est pas une espèce de Père Noël en barbe blanche assis sur le bord d'un nuage contemplant son oeuvre: l'Univers. Non, Dieu est l'Univers visible et invisible, crée et incrée. Il est UN et omniscient issu du Néant. Dieu, si on voulait une image serait le seul trou noir super massif possible. Cette réalité, si on l'envisage, est la source même de la religion et cela induit nécessairement que nous n'avons aucun libre arbitre. Nous sommes, que nous le voulions ou non, au fond du trou de Dieu.
xxx/ellauri137.html on line 225: Nous avons dit souvent d'impérissables choses
xxx/ellauri177.html on line 262: -- Voilà, c'est fini, dit Albine en se levant. Nous avons dormi.
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