ellauri033.html on line 98: incapable d´aucune discipline, il arriva deux choses bien
ellauri033.html on line 201: aucun intérêt.


ellauri033.html on line 215: chaque homme. Or, la vision des Goncourt ne ressemble à aucune autre : tout objet, en passant à tràvers leur « moi », s´y réfracte fiévreusement.
ellauri033.html on line 356: présente aucun danger. » — Rien n´y faisait; vous les désobligiez en
ellauri037.html on line 521: Paremmalla syyllä kuin kauniixi vois naisia sanoa epäesteettisexi sukupuolexi. Niillä ei ole tajua eikä vastaanottokykyä kaunotaiteille, kuten musiikille, runoille tai kuvataiteille, kazovat vaan kun lehmä uutta veräjää, tai apinoivat miellyttämishalussaan jos ne niitä on harrastavinaan. Janne-Jaakko (Rusakko) sen jo sanoi: les femmes, en général, n’aiment aucun art, ne se connoissent à aucun, et n’ont aucun génie (lettre à d’Alembert, note x x). (Setämiehet haistaa kyllä toisensa ihan hännän alushajusta kuin koirat.) Jokainen joka kazoo huivin taa, huomaa kyllä sen. Ei tarvize kuin kazoa mihin naaraat keskittyy konsäärissä, uupperassa tai tiiatterissa (miekkoset keskittyy tietysti selvittämään juuri tän). Esim kazo niiden lapsellista hälinää, kun ne (miesten) suurenmoisten mestariteosten kauneimpien kohtien aikanakin jatkaa lätinää. Jos krekut ei tosiaan päästäneet naisenpuolikkaita kazomoon, ne teki siinä oikein; ainakin pystyi niiden teattereissa sentään jotain kuulemaan. (Jääkiekko- ja futismazeissakin liikuttaa miesyleisön rikkumaton hiljaisuus.)
ellauri049.html on line 740: Qu’aucun vent furieux ne courbe ni ne rompt, jota ei mikään tuuli taivuta tai taita,
ellauri074.html on line 337: Il n'y a aucune raison de ne pas être triste. La tristesse est liée à la nature, de telle sorte qu'elle précède l'homme.
ellauri074.html on line 393: Ne se suicident que les optimistes, les optimistes qui ne peuvent plus l'être. Les autres, n'ayant aucune raison de vivre, pourquoi en auraient-ils de mourir?
ellauri074.html on line 512: Il n'y a aucune raison de ne pas être triste. La tristesse est liée à la nature, de telle sorte qu'elle précède l'homme.
ellauri096.html on line 710: La reconnaissance de Frantz Fanon en France fut tardive. Fort-de-France possède désormais une avenue à son nom bien que la proposition qu´en avait faite son maire Aimé Césaire, en 1965, eût été rejetée pendant des années. Il faut attendre 1982 pour que s´organise, sous l´impulsion de Marcel Manville, un mémorial international (colloque) en son honneur en Martinique. Peu à peu, plusieurs hommages lui sont rendus dans son île natale. Le lycée de La Trinité est baptisé en son honneur, la ville de Rivière-Pilote lui consacre une avenue et une bibliothèque. En France métropolitaine toutefois, s´il existe de nombreuses rues portant ce nom, David Macey signale n´avoir trouvé aucune avenue Frantz Fanon. En Algérie, dès 1963, une avenue Frantz Fanon est inaugurée à Alger. La reconnaissance dépasse désormais ces deux pays et la mémoire de Frantz Fanon est honorée dans de nombreux pays (Italie, Nigeria, États-Unis) où des centres de recherche ont été baptisés à sa mémoire.
ellauri145.html on line 79: Malgré les difficultés de la reconstruction de la France et le début de la guerre froide, Breton entend poursuivre sans aucune inflexion les activités du surréalisme. Et les polémiques reprennent et se succèdent : contre Tristan Tzara se présentant comme le nouveau chef de file du surréalisme, contre Jean-Paul Sartre qui considérait les surréalistes comme des petits-bourgeois, contre des universitaires, en démontant la supercherie d’un soi-disant inédit d’Arthur Rimbaud, contre Albert Camus et les chapitres que celui-ci consacre à Lautréamont et au surréalisme dans L’Homme révolté. Kuka täällä hajuttaa, Milli-Molli rupsuttaa.
ellauri145.html on line 214: Un an plus tard, sa mère se remarie avec le chef de bataillon Jacques Aupick. C´est à l´adolescence que le futur poète s´opposera à ce beau-père interposé entre sa mère et lui. « Lorsqu´il arrive à Lyon, Charles a dix ans et demi… À l´égard de son beau-père aucune hostilité n´est alors perceptible. ».
ellauri145.html on line 837: Il n´est resté de trace, aucune, Siitä, tai miesten käsitöistä
ellauri150.html on line 271: Toutes ces singeries, ces parades de petit chien, cette ingénuité frelatée, ne plaisaient à Christophe en aucune façon. Il avait autre chose à faire qu’à se prêter aux manèges d’une petite fille rouée, ou même qu’à les considérer, d’un œil amusé. Il avait à gagner son pain, à sauver de la mort sa vie et ses pensées. Le seul intérêt pour lui de ces perruches de salon était de lui en fournir les moyens. En échange de leur argent, il leur donnait ses leçons, en conscience, le front plissé, l’esprit tendu vers la tâche, afin de ne se laisser distraire ni par l’ennui qu’elle lui causait, ni par les agaceries de ses élèves, quand elles étaient aussi coquettes que Colette Stevens. Il ne faisait guère plus d’attention à elle qu’à la petite cousine de Colette, une enfant de douze ans, silencieuse et timide, que les Stevens avaient prise chez eux, et à qui Christophe enseignait aussi le piano.
ellauri150.html on line 275: Christophe l’attirait, pour beaucoup de raisons, dont la première était qu’il n’était pas attiré par elle. Il l’attirait encore, parce qu’il était différent de tous les jeunes gens qu’elle connaissait : elle n’avait jamais essayé encore d’une potiche de cette forme et de ces aspérités. Il l’attirait enfin, parce qu’experte, de race, à évaluer du premier coup d’œil le prix exact des potiches et des gens, elle se rendait parfaitement compte qu’à défaut d’élégance, Christophe avait une solidité, qu’aucun de ses bibelots parisiens ne pouvait lui offrir.
ellauri161.html on line 855: Sivu 343 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux...‎
ellauri164.html on line 112: Décidément, nous sommes hors du monde. Plus aucun son. Mon tact a disparu. Ah ! mon château, ma Saxe, mon bois de saules. Les soirs, les matins, les nuits, les jours… Suis-je las !
ellauri205.html on line 176: C'est cette notion grecque peut-être qui subsiste, sous le nom de kharma [sic], dans les pays d'Orient imprégnés de bouddhisme; mais l'Occident l'a perdue et n’a plus même dans aucune de ses langues de mot pour l’exprimer; les idées de limite, de mesure, d'équilibre, qui devraient déterminer la conduite de la vie, n'ont plus qu'un emploi servile dans la technique. Nous ne sommes géomètres que devant la matière ! Les Grecs furent d'abord géomètres dans l'apprentissage de la vertu.
ellauri205.html on line 182: Il faut, pour respecter la vie en autrui quand on a dû se mutiler soi-même de toute aspiration à vivre, un effort de générosité à briser le cœur. On ne peut supposer aucun des guerriers d'Homère capable d’un tel effort.
ellauri205.html on line 208: Rien de précieux, destiné ou non à périr, n'est méprisé, la misère de tous est exposée sans dissimulation ni dédain, aucun homme n'est placé au-dessus ou au-dessous de la condition commune à tous les hommes, tout ce qui est détruit est regretté. Vainqueurs et vaincus sont également proches, sont au même titre les semblables du poète et de l'auditeur. S'il y a une différence, c'est que le malheur des ennemis est peut-être ressenti plus douloureusement.
ellauri205.html on line 217: Les Romains méprisaient les étrangers, les ennemis, les vaincus, leurs sujets, leurs esclaves; aussi n’ont-ils eu ni épopées ni tragédies. Ils remplaçaient les tragédies par les jeux de gladiateurs. Les Hébreux voyaient dans le malheur le signe du péché et par suite un motif légitime de mépris; ils regardaient leurs ennemis vaincus comme étant en horreur à Dieu même et condamnés à expier des crimes, ce qui rendait la cruauté permise et même indispensable. Aussi, aucun texte de l'Ancien Testament ne rend-il un son comparable à celui de l'épopée grecque, sinon peut-être certaines parties du poème de Job.
ellauri210.html on line 92: Le 28 mai 1906, Jarry écrit à Rachilde : « (Le Père Ubu) n’a aucune tare ni au foie, ni au cœur, ni aux reins, pas même dans les urines ! Il est épuisé, simplement, et sa chaudière ne va pas éclater mais s’éteindre. Il va s’arrêter tout doucement, comme un moteur fourbu. » Épuisé, malade, harcelé par ses créanciers, Jarry fait des allers et retours Paris-Laval, ou il meurt.
ellauri285.html on line 671: C’est au bout de trois semaines, après avoir sciemment parlé dans le vide de façon à ne livrer aucune information concrète, que Debray admet les évidences, à savoir la présence du Che, déjà reconnue par Bustos, les déserteurs et le guérillero Vasquez Viana, arrêté le 28 avril et victime d’un subterfuge. Même après la rupture politique de Debray avec le régime cubain, Manuel Piñeiro, le chef des services secrets cubains, reconnaît que ce dernier n’a fait que « confirmer la présence du Che en Bolivie », et qu’« il ne serait pas correct de ma part de rendre Debray responsable de la localisation de la guérilla, et encore moins de la mort du Che »
ellauri324.html on line 159: Vous devez sans doute avoir une mauvaise définition de Dieu. Non, Dieu n'est pas une espèce de Père Noël en barbe blanche assis sur le bord d'un nuage contemplant son oeuvre: l'Univers. Non, Dieu est l'Univers visible et invisible, crée et incrée. Il est UN et omniscient issu du Néant. Dieu, si on voulait une image serait le seul trou noir super massif possible. Cette réalité, si on l'envisage, est la source même de la religion et cela induit nécessairement que nous n'avons aucun libre arbitre. Nous sommes, que nous le voulions ou non, au fond du trou de Dieu.
ellauri327.html on line 48: aucun_pasaran_ils_ne_passeront_pas-r19b3bc00ba64460da930c12543b7f17d_wvk_8byvr_540.jpg" height="200px" />
xxx/ellauri056.html on line 331: Les grands ne connaissent pas le peuple, et n'ont aucune envie de le connaitre.
xxx/ellauri057.html on line 917: Pendant toute la guerre, entre 1940 et 1945, Simenon continue à vivre en Vendée et en Charente-Maritime, mais cette période, assez mal connue, est sujette à de multiples soupcons. Représentant de l'État belge auprès des Belges réfugiés, il refuse d'aider ceux d'entre eux qui sont juifs. Non seulement son frère fut volontaire auprès de la Waffen-SS Wallonie, mais de plus, selon certaines personnes, lors de cette période cruciale de sa vie et de son œuvre, l'écrivain aurait été un collaborateur, ou doucement dit, un peu "lâche". Il n'est pas revenu en Belgique, afin d'échapper au service militaire), un peu rusé et opportuniste, sans aucun sens de l'histoire avec un grand H. Il a commis d'« énormes imprudences » en écrivant dans des journaux contrôlés par les Allemands, mais Simenon ne dénonce pas, ne s'engage pas, ne fait pas de politique, seulement de la fiction. En fait, les accords qu'il a passés avec la firme cinématographique allemande Continental lui valent quelques tracas à la Libération. En 1944, une dépêche de l'AFP, retrouvée à Poitiers, mentionne sa dénonciation pour « intelligence avec l'ennemi » par « certains villageois vendéens exaspérés par la conduite égoïste de cet écrivain affichant l'opulence de son train de vie, à l'époque des tickets d'alimentation. »
xxx/ellauri128.html on line 135: C’était, dit Jean-Jacques Rousseau, « un homme droit et adroit ». « Il faisait profession, écrit La Harpe, d’une franchise brusque qui ne déplaisait point […] Soit habitude, soit dessein, il gardait ce ton même dans la louange et l’on peut juger qu’elle n’y perdait pas. Il avait d’ailleurs un fonds de droiture qui le rendait incapable de plier son opinion ni sa liberté à aucun intérêt ni aucune politique ; et cependant ce ne fut point un obstacle à son avancement, parce qu’il n’offensa jamais l’amour-propre des gens de lettres, et qu’il sut intéresser en sa faveur celui des gens en place. » Duclos avait beaucoup d’esprit et une grande liberté de parole ; on cite de lui nombre de mots heureux.
xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
xxx/ellauri176.html on line 170: Et le merveilleux Paradou du roman, ce paradis panthéiste, cet hymne à la nature, à l'amour – ces paysages décrits par Zola perdent toute vibration, toute poésie. On croit voir défiler les pages du catalogue Vilmorin où s'ébattent Serge et une Albine issue du Petit Echo de la Mode. Le film projeté ne montre pas la séquence du grenier, la découvert des toilettes féminines – les nombreux changements de robe d'Albine sont, dès lors, gratuits, irritants. Comme tous les autres acteurs, Gillian Hills (Albine) est mal dirigée, elle n'a aucune grâce, aucun naturel. Francis Huster (Serge), lui, a du charisme mais son dur combat, sa douceur sont hélas surtout perceptibles par le fard qui rantôt ranime, tantôt creuse un visage que des zooms inutiles amènent en gros plan. Et pour avoir voulu donner aux paysages de la Sainte-Baume, du Lubéron, du Parc Floral d'Orléans une certaine unité, on aboutit à des tonalités froides, éteintes. Seules les intérieurs (l'église, la chambre de Serge, la salle à manger de la cure) gardent leurs contrastes, leurs valeurs. Les personnages n'existent guère, aucune vibration n'émane d'eux, ni de la nature cruelle ou triomphante, de ce Paradou, terre-mère bruissante de vie, féconde.
xxx/ellauri186.html on line 350: Nous le voyons tout à coup paraître sur la digue, entouré de son état-major et suivi de ses guides, il descend de cheval, tire son sabre, prend un drapeau et s'élance sur le pont au milieu d'une pluie de feu. Les soldats le voient et aucun d'eux ne l’imite.»
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