ellauri049.html on line 519: Toute lune est atroce et tout soleil amer: on helmiäistä, kuu kauhea ja aurinko kitkerä:
ellauri115.html on line 964: Ilmeisesti tällasta harhauskoa oli paljon liikkellä varsinkin Genevessä. Ei Rusakko sitä ollut ize kexinyt. Geneve oli puollollaan hugenotteja ja muita hihhuleita. Se oli joku 1700-luvun Ankh-Morpork. Voltairekin oli sosinianistiepäilty, sillä oli joku sellainen ame atroce affair. Voltaire had described Calvin in a letter to Thiriot as having 'uneame atroce aussi bien qu'un esprit eclaire'. Sit oli joku affaire Calas, jossa 1 geneveläinen rotestanttikauppias tuomittiin poikansa kunniamurhasta kun poika halus väkkäröityä takas katolisex. Iskä oikeasti pantiin sileäxi telalla Toulousessa ja poltettiin varmemmaxi vakuudexi vielä kokossa. Voltairen piti puuttua tähänkin cause celebreen.
ellauri145.html on line 392: Vaincu, pleure, et l´Angoisse atroce, despotique, Toivo voitettuna itkee, ja kauhee ahdistus despoottina
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
xxx/ellauri139.html on line 1132: Je ne sais quelle grâce atroce, En tiedä miltä hirveältä sievältä,
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