ellauri049.html on line 476: Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! putoo vääntyneistä puista hajusta mustina!
ellauri049.html on line 873: Composé d’or, de pierre et d’arbres sombres, Tehty kullasta, kivistä ja varjopuista,
ellauri049.html on line 903: Mais dans leur nuit toute lourde de marbres, Mutta niiden marmorin painamassa yössä
ellauri049.html on line 904: Un peuple vague aux racines des arbres puunjuurten epätarkkarajainen puuhiskansa
ellauri074.html on line 344: Des arbres massacrés. Des maisons surgissent. Des gueules, des gueules partout. L'homme s'étend. L'homme est le cancer de la terre. (En parlant de l'homme) - Un singe occupé.
ellauri097.html on line 276: Ce qu 'ily a en moi d'impulsif, de rêveur, de charnel aussi, j'ai tendance à croire que je le dois à l'Irlande; à elle aussi tout ce qui fait que je réussis un jour pour échouer l'autre, tout ce qui m'a poussé à écrire mes livres, enfin le meilleur et le pire de moi-même. Je reconnais l'apport écossais dans mes crises religieuses, dans un amour profond et invariable de l'Ecriture... A travers moi l'humanité passe comme sur une grand-route. Je suis une parcelle de l'Univers. L'Univers est heureux en moi. Je suis le ciel, le soleil, les arbres, la Seine et les maisons qui la bordent...
ellauri150.html on line 279: Dans le salon de l’hôtel aristocratique, décoré de tapisseries un peu pâles, avec, sur un chevalet, au milieu de la pièce, le portrait de la robuste madame Stevens par un peintre à la mode, qui l’avait représentée languissante, comme une fleur sans eau, les yeux mourants, le corps tordu en spirale, pour exprimer la rareté de son âme millionnaire, — dans le grand salon aux baies vitrées, donnant sur de vieux arbres, que la neige poudrait, Christophe trouvait Colette toujours assise devant son piano, ressassant indéfiniment les mêmes phrases, se caressant les oreilles de dissonances moelleuses.
ellauri205.html on line 190: Les batailles ne se décident pas entre hommes qui calculent, combinent, prennent une résolution et l'exécutent, mais entre hommes dépouillés de ces facultés, transformés, tombés au rang soit de la matière inerte qui n'est que passivité, soit des forces aveugles qui ne sont qu'élan. C’est là le dernier secret de la guerre, et l’Iliade l'exprime par ses comparaisons, où les guerriers apparaissent comme les semblables soit de l'incendie, de l’inondation, du vent, des bêtes féroces, de n'importe quelle cause aveugle de désastre, soit des animaux peureux, des arbres, de l'eau, du sable, de tout ce qui est mû par la violence des forces extérieures.
ellauri420.html on line 396: Sous les arbres sacrés, comme font les poètes, pyhien puiden alla, niin kuin runoilijat tekevät,
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