ellauri033.html on line 137:

On se rappelle qu´après la mort de Leconte de Lisle, Verlaine fut
ellauri036.html on line 377: Qu'on appelle la vie, en y parlant tout haut.
ellauri036.html on line 853: Qui donc lui parle bas, l'encourage et l'appelle ?
ellauri049.html on line 425: Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, pokien keikuttavilla ikimainingeilla,
ellauri074.html on line 388: Ce qu'on appelle «pessimisme» n'est rien d'autre que «l'art de vivre», l'art de goûter la saveur amère de tout ce qui est.
ellauri145.html on line 60: L´humeur sombre de Breton s´exprime pleinement dans ce que Mark Polizzotti appelle le « passage le plus sinistre du manifeste » et qui est selon lui le reflet d´une grande « amertume personnelle », une phrase souvent citée et reprochée à Breton, notamment par Albert Camus : « L´acte surréaliste le plus simple consiste, révolvers aux poings, à descendre dans la rue et à tirer au hasard, tant qu´on peut, dans la foule.» Täähän trendaa nykyäänkin, kun sillä pääsee 6 sekunnixi klikkimeediaan. Polizzotto Salvo Montalbano miehineen puuttuu asiaan.
ellauri145.html on line 287: La section initiale des Fleurs du mal s'appelle, comme dit précédemment, Spleen et Idéal. Elle inclut quatre poèmes célèbres, regroupés sous le titre Spleen, qui expriment une tristesse morbide, mais non moins volontaire dans son auto-flagellation liée à:
ellauri145.html on line 928: M´appelle juif... Moi, juif ? Pourquoi ? Sanoo mua juutalaisexi. Mäkö?
ellauri161.html on line 851:

Yleiset termit ja lausekkeet


ellauri172.html on line 156: — Ah ! maintenant, je me rappelle !… dit-il. Qu’ai-je donc ? — Mais tu es morte ! Rooger änkyttää. Herra hän haisee jo. Sitä ei Roogerin olisi pitänyt sanoa, taika raukesi. Un faible soupir d’adieu et merci, distinct, lointain, parvint jusqu’à l’âme de Roger. Oh ! murmura-t-il, c’est donc fini ! — Seuraava kokous on sit nahkurin orsilla. Tarina osoitti millainen mahti tahto kaikkinensa on. Kuten sanottua, bullshittiä. Tää vähän ennakoi Blavatskyn ja muiden meedioiden trendausta.
ellauri172.html on line 635: Quand cet enfant mourut, car il mourut quelques mois après sa naissance, le major eut un chagrin très exalté, un chagrin à folies, et on n’en rit pas dans le régiment. Pour la première fois, l’antipathie dont il était l’objet se tut. On le plaignit beaucoup plus que la mère qui, si elle pleura sa géniture, n’en continua pas moins d’être la Rosalba que nous connaissions tous, cette singulière catin arrosée de pudeur par le Diable, qui avait, malgré ses mœurs, conservé la faculté, qui tenait du prodige, de rougir jusqu’à l’épine dorsale deux cents fois par jour ! Sa beauté ne diminua pas. Elle résistait à toutes les avaries. Et, cependant, la vie qu’elle menait devait faire très vite d’elle ce qu’on appelle entre cavaliers une vieille chabraque, si cette vie de perdition avait duré. »
ellauri172.html on line 690: « — Eh bien ! puisque tu le veux, le voilà, le cœur de ton marmot, catin déhontée ! — dit le major. Et il lui battit la figure de ce cœur qu’il avait adoré, et le lui lança à la tête comme un projectile. L’abîme appelle l’abîme, dit-on. Le sacrilège créa le sacrilège. La Pudica, hors d’elle, fit ce qu’avait fait le major. Elle rejeta à sa tête le cœur de cet enfant, qu’elle aurait peut-être gardé s’il n’avait pas été de lui, l’homme exécré, à qui elle eût voulu rendre torture pour torture, ignominie pour ignominie ! C’est la première fois, certainement, que si hideuse chose se soit vue ! un père et une mère se souffletant tour à tour le visage, avec le cœur mort de leur enfant !
ellauri206.html on line 267: Gérard de Nerval (oik.Gérard Labrunie; 22. toukokuuta 1808 Pariisi, Ranska - 26. tammikuuta 1855 Pariisi, Ranska) oli ranskalainen kirjailija ja toimittaja. Nerval kuului Théophile Gautier'n ystäviin, ja hän liikkui 1830-luvulta alkaen romantikkojen piirissä. Nerval esitteli saksankielistä kirjallisuutta Ranskassa, muun muassa esikuvaansa E. T. A. Hoffmannia sekä J. W. von Goetheä. Ei ihmekään että heput ignoreerasi. Théophile Gautier rappellera dans La Presse du 30 janvier 1853 les mots de Goethe écrits au jeune traducteur : "je ne me suis jamais si bien compris qu'en vous lisant". Nervalin haudalla seisoo Obelix.
ellauri247.html on line 207: L’Histoire de Gil Blas de Santillane est un roman d'inspiration picaresque de l'écrivain français Alain-René Lesage, paru entre 1715 et 1735. Lesage joue avec les références antiques et picaresques qu'il détourne. Et l'inspiration antique marque l’œuvre jusque dans le découpage en douze livres, qui rappelle les douze chants de l'Énéide.
ellauri285.html on line 689: Il appelle cette nécessité de définir le groupe par une entité qui lui est extérieure l´incomplétude, et nomme cette entité le « sacré du collectif », qui est la représentation de ce que le groupe estime être le « meilleur ». C´est cette croyance qui assure la confiance réciproque entre les membres du groupe, et garantit selon R. Debray l´ordre social.
ellauri349.html on line 509: Un an avant la mort de Sartre, Aron l'appelle « mon petit camarade ».
xxx/ellauri137.html on line 218: Tu te rappelleras la beauté des caresses,
xxx/ellauri139.html on line 931: Pauvre Gilbert, que tu devais souffrir ! C’est le refrain d’un Souvenir à l’hôpital par Hegesippe Moreau, dont certains accents rappellent volontiers les Adieux à la vie de Gilbert :
xxx/ellauri154.html on line 145: Denis décapité aurait ensuite marché vers le nord pendant six kilomètres, sa tête sous le bras, traversant Montmartre jusqu'à un lieu qui s'appelle aujourd'hui Saint-Denis. À la fin de son trajet, il donna sa tête à une femme pieuse originaire de la noblesse romaine et nommée Catulla, puis s'écroula. On l'ensevelit à cet endroit précis et on y édifia une basilisque en son honneur.
xxx/ellauri170.html on line 718: Le baiser florentin (ou colombin) est celui qu’en termes précis, on appelle baiser lingual parce qu’il se donne sur la bouche en introduisant le bout de la langue. — (Maurice Piron, Guillaume Apollinaire : La chanson du mal-aimé, 1987)
xxx/ellauri174.html on line 328: Mancanillier, mancanillier, s. m. Arbre à poison, Toxicodendron, de l'Amérique Méridionale. Raynal, dans son Hist. Philos, l'appelle Mancanillier, de l'Espa- gnol Mancanilla. il est gros comme un noyer, ses feuilles ressemblent à celles du pommier, et son fruit aux pommes d'apis. Ceux qui dorment à l'ombre de cet arbre perfide, sont exposés à ne plus se réveiller. Les troupeaux le fuient ; et l'homme qui n'est pas averti va se reposer sous son ombrage et mange de ses fruits. Il faut donc que les animaux aient l'odorat plus fin, que celui de l'homme.
xxx/ellauri234.html on line 404: Vim licet appelles: grata est vis ista puellis: Voimalla paina sä päälle, siitä ne tykkää,
22