ellauri033.html on line 317: l´abbé Gévresin, son directeur, « l´important est de n´aimer que
ellauri036.html on line 651: Vous devez vous aimer d'un infernal amour.
ellauri036.html on line 699: C'est vous, sombres caveaux, vous qui savez aimer!
ellauri036.html on line 827: Et pourquoi donc aimer ? Pourquoi ce mot terrible
ellauri036.html on line 848: Qui donc au moribond osait parler d'aimer?
ellauri036.html on line 893: Tu n'aimeras jamais, toi qui n'as point aimé.
ellauri036.html on line 933: Lui que je puis aimer, et n'ai point acheté;
ellauri049.html on line 326: Elle était donc couchée et se laissait aimer, No se siis oli pötköllään ja antoi naida,
ellauri144.html on line 637: homosexuelles à respecter et à aimer. Certaines Églises ont adopté des positions
ellauri146.html on line 496: « Elle se fait aimer sans aimer elle-même ; Se on vaan olevinaan, ei se rakasta,
ellauri150.html on line 277: Elle faisait de la musique, comme la plupart des jeunes filles oisives d’à présent. Elle en faisait beaucoup et peu. C’est-à-dire qu’elle en était toujours occupée, et qu’elle n’en connaissait presque rien. Elle tripotait son piano, toute la journée, par désœuvrement, par pose, par volupté. Tantôt elle en faisait, comme du vélocipède. Tantôt elle pouvait jouer bien, très bien, avec goût, avec âme, — (on eût presque dit qu’elle en avait une : il suffisait, pour cela, qu’elle se mît à la place de quelqu’un qui en avait une). — Elle était capable d’aimer Massenet, Grieg, Thomé, avant de connaître Christophe. Mais elle était aussi capable de ne plus les aimer, depuis qu’elle connaissait Christophe. Et maintenant, elle jouait Bach et Beethoven très proprement, — (ce qui, à la vérité, n’est pas beaucoup dire) ; — mais le plus fort, c’était qu’elle les aimait. Au fond, ce n’était ni Beethoven, ni Thomé, ni Bach, ni Grieg, qu’elle aimait : c’étaient les notes, les sons, ses doigts qui couraient sur les touches, les vibrations des cordes qui lui grattaient les nerfs comme autant d’autres cordes, son épiderme chatouillé.
ellauri150.html on line 315: — Vous êtes un impertinent… Et puis d’abord, quand cela serait, est-ce que ce n’est pas la vraie façon d’aimer la musique ?
ellauri150.html on line 420: Dans ce méme hebdomadaire, le Petit Guide des étrangers, le 20 septembre 1913, admire et prétend que les étrangers ne peuvent qu'aimer l,'allure simple et sportive des jeunes Françaises et le Français dont le veston sanglé, le visage rasé, le cheveu plat, dégagé, le chapeau bien enfoncé témoignent d'un goût pour l'hygiene et l'action.
ellauri162.html on line 148: L´évolution de son antisémitisme est toujours débattue. Bernanos rend hommage à Édouard Drumont, avec lequel il partage sa détestation de la bourgeoisie, mais aussi l´association des juifs à la finance, aux banques, au pouvoir de l’argent au détriment du peuple, un thème qui fait florès dans la France de cette époque et qui suscite des propos antisémites de l´écrivain. Bernanos, qui a fait la guerre de 1914-1918, fustige aussi un patriotisme perverti qui humilie l´ennemi allemand dans la défaite au lieu de le respecter, trahissant ainsi l´honneur de ceux qui ont combattu et hypothéquant l´avenir. Täähän kuulostaa suorastaan Ezra Poundilta. «Les juifs traînent nonchalamment sur les colonnes de chiffres et les cotes un regard de biche en amour » ou « ces bonshommes étranges qui parlent avec leurs mains comme des singes ». J’aimerais mieux être fouetté par le rabbin d’Alger que faire souffrir une femme ou un enfant juif ». Juutalaiset kiistelevat vieläkin oliko Ykä hyvis vaiko pahis.
ellauri162.html on line 215: ne l’aimerais point s’il faisait le jocrisse.
ellauri222.html on line 694: Bernard Le Bouyer de Fontenelle, né le 11 février 1657 à Rouen et mort le 9 janvier 1757 à Paris, est un écrivain, dramaturge et scientifique français. Fontenelle oli armoton keskikertaisuus joka yritettyään kaikenlaista päätyi populääritieteen kautta Ranskan akatemiaan. Eli kuukautta vaille satavuotiaaxi, laiskiainen. Il ne connut pas l’amitié vraie, et put s’appliquer ces mots d’une de ses églogues : « Il me manqua d’aimer. » Claudine de Tencin, lui disait en montrant sa poitrine : « Ce n’est pas un cœur que vous avez là ; c’est de la cervelle, comme dans la tête."
ellauri365.html on line 85: rakastaa, sanoa hyväilevällä äänellä D’aimer, de dire, avec une voix qui caresse,
xxx/ellauri176.html on line 290: J'aimerais Halusisin
xxx/ellauri177.html on line 261: C'était l'amour avant le sexe, l'instinct d'aimer qui plante des petits hommes de 25 ans sous les robes blanches des bambines de 16 ans.
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