ellauri033.html on line 915: Tout dise : Ils ont aimé !
ellauri036.html on line 427: Sous les baisers ardents de ses fleurs bien-aimées,
ellauri036.html on line 677: Regarde! — ils n'aiment pas, ils n'ont jamais aimé.
ellauri036.html on line 893: Tu n'aimeras jamais, toi qui n'as point aimé.
ellauri036.html on line 1002: Et, pendant un moment, tous deux avaient aimé.
ellauri051.html on line 3217: La Chanson du mal-aimé Pahoin rakastetun valitus
ellauri051.html on line 3241: Si tu ne fus pas bien aimée jos sä et ollut hyvin rakastettu
ellauri051.html on line 3308: J’ai chanté ma joie bien-aimée Mä lauloin hyvin rakastetun iloni
ellauri118.html on line 840: How close and lasting was this friendship is seen on almost every page of Mme. de Sévigné's correspondence. Indeed, so often does the name of Mme. de La Fayette occur in Mme. de Sévigné's letters to her daughter, that the latter may well have been jealous of her mother's friend. The companionship of Mme. de Sévigné was, after the death of La Rochefoucauld, the chief comfort of Mme. de La Fayette in her ill-health and seclusion; and it was from the sick-chamber of her friend that Mme. de Sévigné's letters would seem to have been written in those latter years. In 1693, soon after the death of Mme. de La Fayette, Mme. de Sévigné writes as follows of her dead friend: "Je me trouvois trop heureuse d'être aimée d'elle depuis un temps très-considérable; jamais nous n'avions eu le moindre nuage dans notre amitié.
ellauri118.html on line 844: The relation was equally sincere on the part of Mme. de La Fayette, though she was by nature more self-contained and reserved. But this reserve gives way to the strength of her feelings when in 1691, tormented by ill-health and knowing that her end is not far off, she writes to Mme. de Sévigné: "Croyez, ma très-chère, que vous êtes la personne du monde que j'ai le plus véritablement aimée."
ellauri118.html on line 877: Il dit aussi que, quand on n´est point aimé, on souffre encore davantage de voir sa maîtresse dans une assemblée; que plus elle est admirée du public, plus on se trouve malheureux de n´en être point aimé; que l´on craint toujours que sa beauté ne fasse naître quelque amour plus heureux que le sien; enfin, il trouve qu´il n´y a point de souffrance pareille à celle de voir sa maîtresse au bal, si ce n´est de savoir qu´elle y est, et de n´y être pas.
ellauri172.html on line 150: Un Comte quelconque nomme Alcool vit couché dans un cercueil sa dame de volupté, sa pâlissante épousée, Véra, son désespoir. La nuit dernière, sa bien-aimée s’était évanouie en des joies si profondes que son cœur avait défailli. Cependant leur nature était des plus étranges, en vérité ! Certaines idées, celles de l’âme, par exemple, de l’Infini, de Dieu même, étaient comme voilées à leur entendement. La foi d’un grand nombre de vivants aux choses surnaturelles n’était pour eux qu’un sujet de vagues étonnements. Au lieu de cela, les deux amants s’ensevelirent dans l’océan des joies languides et perverses. Veera oli Madonnan näköinen, tottakai. Veera oli kulkija luonnoltaan. Jätkät sätkät parrunpätkät, jasen tervahöyryn nimi, oli PRINSESSA ARMAADA! Continuons.
ellauri172.html on line 627: Non, si je la quittai, ce fut pour une raison de dégoût moral, de fierté pour moi, de mépris pour elle, pour elle qui, au plus fort des caresses les plus insensées, ne me faisait pas croire qu’elle m’aimât… Quand je lui demandais : M’aimes-tu ? ce mot qu’il est impossible de ne pas dire, même à travers toutes les preuves qu’on vous donne que vous êtes aimé, elle répondait : « Non ! » ou secouait énigmatiquement la tête. Elle se roulait dans ses pudeurs et dans ses hontes, et elle restait là-dessous, au milieu de tous les désordres de sens soulevés, impénétrable comme le sphinx. Seulement, le sphinx était froid, et elle ne l’était pas… Mikä Katariina Suuri sekin oli olevinaan!
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri172.html on line 676: « — Tu ne le sauras pas ! — dit-elle, en le narguant. Et elle le cingla de ce tu ne le sauras pas ! mille fois répété, mille fois infligé à ses oreilles ; et quand elle fut lasse de le dire, — le croiriez-vous ? — elle le lui chanta comme une fanfare ! Puis, quand elle l’eut assez fouetté avec ce mot, assez fait tourner comme une toupie sous le fouet de ce mot, assez roulé avec ce mot dans les spirales de l’anxiété et de l’incertitude, cet homme, hors de lui, et qui n’était plus entre ses mains qu’une marionnette qu’elle allait casser ; quand, cynique à force de haine, elle lui eut dit, en les nommant par tous leurs noms, les amants qu’elle avait eus, et qu’elle eut fait le tour du corps d’officiers tout entier : « Je les ai eus tous, — cria-t-elle, — mais ils ne m’ont pas eue, eux ! Et cet enfant que tu es assez bête pour croire le tien, a été fait par le seul homme que j’aie jamais aimé ! que j’aie jamais idolâtré ! Et tu ne l’as pas deviné ! Et tu ne le devines pas encore ? »
ellauri172.html on line 678: « Elle mentait. Elle n’avait jamais aimé un homme. Mais elle sentait bien que le coup de poignard pour le major était dans ce mensonge, et elle l’en dagua, elle l’en larda, elle l’en hacha, et quand elle en eut assez d’être le bourreau de ce supplice, elle lui enfonça pour en finir, comme on enfonce un couteau jusqu’au manche, son dernier aveu dans le cœur:
ellauri172.html on line 737: Comme ceux des aimés que la Vie exila. Kuten kaikilla elämän karkoittamilla kullilla.
xxx/ellauri139.html on line 1146: Manfred est un drame en vers de George Gordon Byron, dit Lord Byron, publié en 1817. Bourrelé de remords après avoir tué celle qu'il aimait, Manfred vit seul comme un maudit au cœur des Alpes. Il invoque les esprits de l'univers, et ceux-ci lui offrent tout, excepté la seule chose qu'il désire, l'oubli. Il essaie alors, mais en vain, de se jeter du haut d'un pic élevé. Il visite ensuite la demeure d'Ahriam, mais refuse de se soumettre aux esprits du mal, leur enjoignant d'évoquer les morts. Enfin lui apparaît Astarté, la femme qu'il a aimée puis tuée par son étreinte (« My embrace was fatal... I loved her and destroy'd her »). Répondant à son invocation, Astarté lui annonce sa mort pour le lendemain. Au moment prédit apparaissent des démons pour s'emparer de lui, mais Manfred leur dénie tout pouvoir sur sa personne. Pourtant, à peine sont-ils apparus qu'il meurt. La situation de Manfred deviendra l'un des poncifs favoris composant le portrait de l'homme fatal du romantisme. Cette pièce s'inspire, pense-t-on[Qui ?], dans son plan, du Faust de Goethe et selon certains, contiendrait une allusion du poète à sa demi-sœur Augusta Leigh. Sitäkin se dodennäköisesti bylsähti.
xxx/ellauri170.html on line 953: Le baiser florentin (ou colombin) est celui qu’en termes précis, on appelle baiser lingual parce qu’il se donne sur la bouche en introduisant le bout de la langue. — (Maurice Piron, Guillaume Apollinaire : La chanson du mal-aimé, 1987)
xxx/ellauri202.html on line 225: Il vit au milieu des livres, la cité des livres, mais se lance à la recherche, en Sicile et à Paris, du précieux manuscrit de La Légende dorée qu’il finit un jour par obtenir. Le hasard lui fait rencontrer la petite fille d’une femme qu’il a jadis aimée et, pour "protéger" l’enfant d’un autre tuteur abusif, il l’enlève. Après plusieurs années de bon usage par Sylvestre, la jeune fille épousera un élève de M. Bonnard. Tollanen pedofiilinen Goethen Mignon taas.
xxx/ellauri235.html on line 428: Heinäkuussa 1768 Graysta tehtiin modernin historian professori Cambridgessa, vaikka hän ei koskaan luennoinut tai julkaissut aiheesta. Hänen viime vuosien merkittävin henkilökohtainen tapahtuma oli lyhyt, intensiivinen ystävyys nuoren sveitsiläisen opiskelijan Karl Victor von Bonstettenin kanssa. Ystävyyttä ilmeisesti monimutkaisi Grayn fyysinen halu, vaikka heidän välillään ei uskota olevan seksuaalista suhdetta. Heinäkuussa 1771 Gray sairastui syödessään Pembroke Collegessa; viikkoa myöhemmin, heinäkuun 30. päivänä, hän kuoli. Hänen matkamuistoissaan(1832) Bonstetten pohdiskeli runoilijaa: "Je crois que Gray n'avait jamais aimé, c'était le mot de l'énigme, il en était résulté une misère de coeur qui faisait kontraste avec son mielikuvitus, kiihkeä, et profond au lieu de faire le bonheur de sa vie, n'en était que le tourment" (Mielestäni avain mysteeriin on se, että Gray ei koskaan rakastanut; tuloksena oli sydämen köyhyys, joka oli ristiriidassa hänen kiihkeän ja syvällisen mielikuvituksensa kanssa, mikä sen sijaan hänen elämänsä onnen käsittäminen oli vain sen piina).
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