ellauri047.html on line 363: Aus iedem Zweig,
ellauri049.html on line 652: Mon doute, amas de nuit ancienne, s'achève So mancher zarte Zweig, der wahrer Wald geblieben, Epäilyxeni, taannoisen yön läjä päättyy,
ellauri055.html on line 32: Romain Rolland panee parastaan (Stefan Zweigiä?)
ellauri055.html on line 74: Zweig oli kova Rolland fan. Eikaine vaan homostellu keskenään? Sitä oli paljon liikkeellä jetset piireissä. Bertie ja Conrad. Proust ja Bourget. Epäilyttäviä tapauxia pisteessä on läjittäin. Zweig nyt takuulla oli vähintään bi. Se ja sen vaimo teki seppukut brasseissa. What did Zweig have that brought him the fanatical devotion of millions of readers, the admiration of Hermann Hesse, the invitation to give the eulogy at the funeral of Sigmund Freud? Sas se. Freud teki suusyöpäisenä seppukun Lontoossa 1939. Ei ois kannattanut vetää tupakkaa. Henkilääkäri otti sen hengiltä morfiinipiikillä kuin vanhan koiran. Koiran iässä se oli 12-vuotias.
ellauri055.html on line 76: In 1921, his close friend, the Austrian writer Stefan Zweig, published his biography (in English Romain Rolland: The Man and His Works). Zweig profoundly admired Rolland, whom he once described as "the moral consciousness of Europe" during the years of turmoil and War in Europe. Zweig wrote at length about his friendship with Rolland in his own autobiography (in English The World of Yesterday).
ellauri055.html on line 78: Les deux hommes ont quinze ans de différence. Stefan Zweig s'intéresse aux lettres européennes et il a déjà traduit quelques œuvres d'auteurs anglais, français et belges. La découverte en 1907 des premiers volumes de Jean-Christophe sera décisive dans sa rencontre avec l'auteur. Il est séduit par la portée universelle de l’œuvre de Romain Rolland et plus encore par l’homme auquel il rend visite, pour la première fois en février 1911, dans son appartement du 162, boulevard du Montparnasse. Les deux hommes partagent un amour pour la musique, une même foi en l'humanité et le sentiment d'appartenir à une civilisation, une culture commune, dont Romain Rolland esquisse les contours dans « la chevauchée européenne de Jean-Christophe ». Les deux écrivains entretiendront une correspondance suivie et intense entre 1910 et 1940 : 945 lettres ont été retrouvées (509 de Stefan Zweig dont une centaine en allemand, et 436 pour Romain Rolland). Cette correspondance est d'une importance capitale pour l'histoire des intellectuels du début du XXe siècle.
ellauri055.html on line 80: Le 22 décembre 1912, à l'occasion de la publication du dernier volume de Jean-Christophe, Stefan Zweig publie une lettre ouverte dans le Berliner Tageblatt, lettre dans laquelle il rendait hommage à l'action de Romain Rolland pour son œuvre de rapprochement entre les jeunesses de France et d'Allemagne (« Jean-Christophe est un événement éthique plus encore que littéraire »).
ellauri055.html on line 84: Déstabilisé par l'élan mystique qui traverse alors la société autrichienne, Stefan Zweig affiche au début de la guerre un patriotisme en phase avec l'Allemagne. L’opiniâtreté de Romain Rolland dans sa lutte contre la guerre et l'amitié que se portent mutuellement les deux hommes permettra à Stefan Zweig de surmonter cette épreuve. L'admiration que l'écrivain autrichien voue désormais à celui qu’il considère comme son maître s'exprimera dans la biographie qu'il lui consacre en 1921, qualifiant Romain Rolland de « Conscience de l'Europe ».
ellauri055.html on line 86: Mais cette grande amitié va peu à peu buter sur des divergences à propos de la situation internationale. En 1933, Romain Rolland écrit sur Stefan Zweig :
ellauri055.html on line 90: Zweig de son côté, éprouve les mêmes sentiments. En 1935, il écrit à sa femme Friderike :
ellauri055.html on line 94: Adolf Hitler accède au pouvoir en janvier 1933. Pressentant la tragédie qui s'annonce, Stefan Zweig quitte l'Autriche en février 1934. Il se suicide en 1942 au Brésil. Romain Rolland meurt à Vézelay le 30 décembre 1944.
ellauri072.html on line 118: | Zweig Stefan | 60 | |
ellauri097.html on line 360: Ich bin ein schönes Zweigeschlecht Mä olen kaunis kaxineuvoinen
ellauri109.html on line 207: Stefan Zweig:
ellauri162.html on line 155: La honte que lui inspire la faiblesse des hommes politiques français face à l´Allemagne de Hitler le conduit à s´exiler en Amérique du Sud. Il y reçoit entre autres l´écrivain autrichien Stefan Zweig, peu avant le suicide de ce dernier.
ellauri272.html on line 416: M.L. Rosenthal felt that although Ammons shares Wallace Stevens’s desire to intellectualize rather than simply describe, he falls short of Stevens’s success. Paul Zweig agrees that “unlike T.S. Eliot or Stevens, Ammons does not write well about ideas.” When the narrator finds the dead mole under the leaves, he says, “mercy: I’d just had / lunch: squooshy ice cream: I nearly / unhad it.” Vendler commented, “There has been nothing like this in American poetry before Ammons—nothing with this liquidity of folk voice.”
xxx/ellauri157.html on line 567: Martin Buber war von 1924 bis 1933 – zunächst als Lehrbeauftragter, später als Honorarprofessor für jüdische Religionslehre und Ethik – an der Universität Frankfurt am Main tätig. Er legte die Professur 1933 nach der Machtübernahme Hitlers nieder, um einer Aberkennung zuvorzukommen. Danach wirkte er am Aufbau der Mittelstelle für jüdische Erwachsenenbildung bei der Reichsvertretung der Deutschen Juden mit, bis diese ihre Arbeit einstellen musste. Noch vor dem Novemberpogrom 1938 emigrierte Buber nach Israel. Zeitlebens stand Martin Buber in Kontakt mit Persönlichkeiten aus allen Bereichen des geistigen Lebens, darunter auch zahlreichen Literatinnen und Literaten wie Margarete Susman, Hermann Hesse, Arnold Zweig, Thomas Mann oder Franz Kafka. Dabei scheute er auch vor kontroversen Auseinandersetzungen nicht zurück.
17