ellauri014.html on line 1037: « Milord, me dit-il, en me donnant le saint nom d’ami, vous m’apprîtes à le porter. J’ai rempli la fonction dont vous m’avez chargé ; et vous voyant prêt à vous oublier, j’ai dû vous rappeler à vous-même. Vous n’avez pu rompre une chaîne que par une autre. Toutes deux étaient indignes de vous. S’il n’eût été question que d’un mariage inégal, je vous aurais dit : Songez que vous êtes pair d’Angleterre, et renoncez aux honneurs du monde, ou respectez l’opinion. Mais un mariage abject !… vous !… Choisissez mieux votre épouse. Ce n’est pas assez qu’elle soit vertueuse, elle doit être sans tache… La femme d’Edouard Bomston n’est pas facile à
ellauri033.html on line 388: par le remède qu´ils préconisent? Toute foi lui apparaît comme
ellauri049.html on line 519: Toute lune est atroce et tout soleil amer: on helmiäistä, kuu kauhea ja aurinko kitkerä:
ellauri053.html on line 120: Toute notre civilisation est aphrodisiaque. La société ouverte est celle qui embrasserait en principe l’humanité entière.
ellauri074.html on line 352: Au Zoo. - Toutes ces bêtes ont une tenue décente, hormis les singes. On sent que l'homme n'est pas loin.
ellauri150.html on line 271: Toutes ces singeries, ces parades de petit chien, cette ingénuité frelatée, ne plaisaient à Christophe en aucune façon. Il avait autre chose à faire qu’à se prêter aux manèges d’une petite fille rouée, ou même qu’à les considérer, d’un œil amusé. Il avait à gagner son pain, à sauver de la mort sa vie et ses pensées. Le seul intérêt pour lui de ces perruches de salon était de lui en fournir les moyens. En échange de leur argent, il leur donnait ses leçons, en conscience, le front plissé, l’esprit tendu vers la tâche, afin de ne se laisser distraire ni par l’ennui qu’elle lui causait, ni par les agaceries de ses élèves, quand elles étaient aussi coquettes que Colette Stevens. Il ne faisait guère plus d’attention à elle qu’à la petite cousine de Colette, une enfant de douze ans, silencieuse et timide, que les Stevens avaient prise chez eux, et à qui Christophe enseignait aussi le piano.
ellauri150.html on line 273: Mais Colette était trop fine pour ne pas sentir qu’avec Christophe toutes ses grâces étaient perdues, et trop souple pour ne pas s’adapter instantanément à ses façons d’être. Elle n’avait même pas besoin de s’appliquer pour cela. C’était un instinct de sa nature. Elle était femme. Elle était comme une onde sans forme. Toutes les âmes qu’elle rencontrait lui étaient comme des vases, dont, par curiosité, par besoin, sur-le-champ, elle épousait les formes. Pour être, il fallait toujours qu’elle fût un autre. Toute sa personnalité, c’était qu’elle ne le restait pas. Elle changeait de vases, souvent.
ellauri150.html on line 329: — Cela me dégoûte d’entendre parler de la musique, comme d’un libertinage… Oh ! ce n’est pas votre faute. C’est la faute de votre monde. Toute cette fade société qui vous entoure regarde l’art comme une sorte de débauche permise… Allons, assez là-dessus ! Jouez-moi votre sonate.
ellauri151.html on line 239: Toutes choses sont dites déjà; mais comme personne n'écoute, il faut toujours recommencer. (The Treatise of the Narcissus)
ellauri161.html on line 919: Dans une intervention au souverain Sénat de Savoie, le sénateur de Maistre plaide pour que le peuple marche à grands pas vers l'égalité civile[9]. Toutefois, il déplore les excès populaires et les désordres qui bouleversent la vie du pays voisin. Certains biographes, dont Robert Triomphe[note 7], lui reprocheront ce qu'ils considèrent comme une volte-face.
ellauri161.html on line 931: Toute religion doit pour de Maistre être sociale ; or, le protestantisme n'étant pas social à ses yeux, voire anti-souverain par nature, il n'est pas une religion. La religion doit apporter des croyances communes, et apporter la cohésion de l'organisme politique. Elle doit protéger le pouvoir autant que le pouvoir doit la protéger. Il n'est donc pas question de séparer l'Église de l'État, bien au contraire. C'est pourquoi Joseph de Maistre prônera un régime de type théocratique, dans lequel la religion tient un rôle fortement structurant, devant apprendre aux sujets le respect aveugle pour l'autorité et « l'abnégation de tout raisonnement individuel."
ellauri210.html on line 359: « Je ne comprendrai jamais comment Victor Hugo a pu, quarante ans durant, faire son métier. Toute la littérature, c’est : ta, ta, ta, ta, ta, ta. L’Art, l’Art, ce que je m’en fiche de l’Art ! » — « Oscar Wilde est vivant ! »,
ellauri210.html on line 400: « Je ne comprendrai jamais comment Victor Hugo a pu, quarante ans durant, faire son métier. Toute la littérature, c’est : ta, ta, ta, ta, ta, ta. L’Art, l’Art, ce que je m’en fiche de l’Art ! » — « Oscar Wilde est vivant ! »,
ellauri210.html on line 992: À l'été 1932, la troupe est invitée à Moscou d'où Jacques Prévert ne revient pas militant communiste. Toute sa vie, Jacques Prévert témoigne d'un engagement politique sincère. Surréaliste inclassable, certains observateurs n'hésitent pourtant pas à l'apparenter au courant libertaire : anarchiste de cœur, Prévert se dit « rêveur » ou « artisan » plutôt que « poète ».
ellauri398.html on line 388: Toutes les infrastructures religieuses permettent à leurs membres de faire n'importe quoi "au nom du dieu suprême". Comme abrutir la masse populaire, commettre des actes abominables sur les enfants, enrichir le Vatican et les chefs religieux, commettre d'autres exactions crapuleuses protégés par les politiques de droite et d'extrême-droite.
ellauri419.html on line 55: Toutes les COP sont des salauds ! La COP29 tente de cacher, derrière un écoblanchiment hypocrite, le bilan de l’écocide, du génocide et des atrocités commises par l’Azerbaïdjan contre le peuple arménien, qui ne sont pas seulement un chapitre terrible de l’histoire, mais un écho de la façon dont la guerre et l’exploitation des ressources naturelles et des personnes s’entremêlent et exacerbent la crise climatique et sociale à laquelle nous sommes confrontés. L’omission du génocide du peuple palestinien lors de la COP28 à Dubaï en est un exemple.
ellauri419.html on line 166: Toute sa vie, Cioran jette ses récriminations envers Dieu à travers le christianisme, pour lui la cause d’un monde raté. Mais il est plus que ce pessimiste athée qui éteint la veilleuse du monde, véritable mystique à rebours, Dieu est son obsession définitive et guide la direction de son oeuvre... Et si, à l'origine du mal, se trouvait non pas des hommes mauvais, ni un diable mal intentionné, mais un mauvais démiurge, un créateur qui n'aurait pas bien fait son boulot, et qui aurait, tout simplement, raté son travail, raté le monde dans lequel nous vivons ? C'est l'hypothèse du philosophe Emil Cioran, qui va même jusqu'à parler d'un Dieu taré qui se moquerait de nous...
xxx/ellauri128.html on line 582: Jean Rostand, né le 30 octobre 1894 à Paris (17e arrondissement) et mort le 4 septembre 1977 à Ville-d´Avray (Hauts-de-Seine), était un écrivain, moraliste, biologiste, historien des sciences et académicien français. Très intéressé par les origines de la vie, il étudie la biologie des batraciens (grenouilles, crapauds, tritons et autres), la parthénogenèse, l´action du froid sur les œufs, et promeut de multiples recherches sur l´hérédité. Avec conviction et enthousiasme, il s´efforce de vulgariser la biologie auprès d´un large public (il reçoit en 1959 le prix Kalinga de vulgarisation scientifique) et d´alerter l´opinion sur la gravité et des problèmes humains qu´elle pose. Considérant la biologie comme devant être porteuse d´une morale, il met en garde contre les dangers qui menacent les humains lorsqu´ils jouent aux apprentis sorciers, comme les tenants de l´eugénisme. Toutefois, Rostand soutient une forme d´« eugénisme 'positif' », approuvant certains écrits d´Alexis Carrel et la stérilisation des personnes atteintes de certaines formes graves de maladies mentales, ce qui fut rapproché, après la guerre, de la loi nazie de 1933, et lui fut reproché dans un contexte où l´eugénisme est une idéologie encore répandue avec des auteurs comme Julian Huxley, premier directeur de l´UNESCO (1946-1948).
xxx/ellauri139.html on line 1184: Toute prison est trop petite. Vankilat on liian pieniä.
xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
xxx/ellauri176.html on line 314: Toutefois expliquez : oh ! non, naïve enfant, Silti selittäkää: Ehei, naivi lapsi,
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