ellauri012.html on line 624: Après ces instructions, qui doivent tenir la première place, je crois qu’il n’est pas inutile de laisser aux filles, selon leurs loisirs et la portée de leur esprit, la lecture des livres profanes qui n’ont rien de dangereux pour les passions : c’est même le moyen de les dégoûter des comédies et des romans. Donnez-leur donc les histoires grecques et romaines ; elles y verront des prodiges de courage et de désintéressement. Ne leur laissez pas ignorer l’histoire de France, qui à aussi ses beautés ; mêlez celles des pays voisins, et les relations des pays éloignés judicieusement écrites. Tout cela sert à agrandir l’esprit, et à élever l’âme à de grands sentiments, pourvu qu’on évite la vanité et l’affectation.
ellauri014.html on line 729: Tout homme est utile a l'humanité par cela seul qu'il existe.
ellauri014.html on line 1037: « Milord, me dit-il, en me donnant le saint nom d’ami, vous m’apprîtes à le porter. J’ai rempli la fonction dont vous m’avez chargé ; et vous voyant prêt à vous oublier, j’ai dû vous rappeler à vous-même. Vous n’avez pu rompre une chaîne que par une autre. Toutes deux étaient indignes de vous. S’il n’eût été question que d’un mariage inégal, je vous aurais dit : Songez que vous êtes pair d’Angleterre, et renoncez aux honneurs du monde, ou respectez l’opinion. Mais un mariage abject !… vous !… Choisissez mieux votre épouse. Ce n’est pas assez qu’elle soit vertueuse, elle doit être sans tache… La femme d’Edouard Bomston n’est pas facile à
ellauri033.html on line 388: par le remède qu´ils préconisent? Toute foi lui apparaît comme
ellauri033.html on line 857: Tout à coup des accents inconnus à la terre
ellauri033.html on line 915: Tout dise : Ils ont aimé !
ellauri036.html on line 310: Tout ici, comme alors, est mort avec le temps,
ellauri036.html on line 492: Tout repose, tout dort; — cette femme est ta mère.
ellauri036.html on line 542: Tout trahir et tout perdre était ta destinée;
ellauri036.html on line 564: Tout est si près de Dieu, que tout est pardonné, —
ellauri036.html on line 762: Tout est bien balayé sur vos chemins de fer,
ellauri036.html on line 763: Tout est grand, tout est beau, mais on meurt dans votre
ellauri036.html on line 959: Tout plein de tertres verts et de vieux ossements.
ellauri036.html on line 979: Tout le monde le sait, il faut que je me tue.
ellauri049.html on line 519: Toute lune est atroce et tout soleil amer: on helmiäistä, kuu kauhea ja aurinko kitkerä:
ellauri049.html on line 568: Tout suffocant Olen tukahtua, Tukehduttavaa
ellauri049.html on line 830: Tout entouré de mon regard marin ; merellisen kazomuxeni ympäröimänä;
ellauri049.html on line 887: Tout est brûlé, défait, reçu dans l’air kaikki on palanutta, rikki, haihtunut
ellauri049.html on line 919: Tout va sous terre et rentre dans le jeu ! Kaikki menee maan alle ja peliin uudestaan!
ellauri049.html on line 925: Allez ! Tout fuit ! Ma présence est poreuse, Menkää! Kaikki menee! Mun läsnäolo on huokonen,
ellauri053.html on line 120: Toute notre civilisation est aphrodisiaque. La société ouverte est celle qui embrasserait en principe l’humanité entière.
ellauri074.html on line 339: Au Zoo. - Toutes ces bêtes ont une tenue décente, hormis les singes. On sent que l'homme n'est pas loin.
ellauri074.html on line 383: L'ironie est la mort de la métaphysique. Tout pessimiste est un humoriste.
ellauri131.html on line 1078: Tout l’hiver va rentrer dans mon être : colère, Talvi kaikkineen tunkeutuu mun sisälle:
ellauri145.html on line 476: Tout en haut du grand mur nu ? nu, nu, nu. Ylös isoon seinään ? paljaaseen 3x
ellauri145.html on line 937: Tout juif est-il en Israël ? Onko juutalaiset kaikki Israelissa?
ellauri150.html on line 271: Toutes ces singeries, ces parades de petit chien, cette ingénuité frelatée, ne plaisaient à Christophe en aucune façon. Il avait autre chose à faire qu’à se prêter aux manèges d’une petite fille rouée, ou même qu’à les considérer, d’un œil amusé. Il avait à gagner son pain, à sauver de la mort sa vie et ses pensées. Le seul intérêt pour lui de ces perruches de salon était de lui en fournir les moyens. En échange de leur argent, il leur donnait ses leçons, en conscience, le front plissé, l’esprit tendu vers la tâche, afin de ne se laisser distraire ni par l’ennui qu’elle lui causait, ni par les agaceries de ses élèves, quand elles étaient aussi coquettes que Colette Stevens. Il ne faisait guère plus d’attention à elle qu’à la petite cousine de Colette, une enfant de douze ans, silencieuse et timide, que les Stevens avaient prise chez eux, et à qui Christophe enseignait aussi le piano.
ellauri150.html on line 273: Mais Colette était trop fine pour ne pas sentir qu’avec Christophe toutes ses grâces étaient perdues, et trop souple pour ne pas s’adapter instantanément à ses façons d’être. Elle n’avait même pas besoin de s’appliquer pour cela. C’était un instinct de sa nature. Elle était femme. Elle était comme une onde sans forme. Toutes les âmes qu’elle rencontrait lui étaient comme des vases, dont, par curiosité, par besoin, sur-le-champ, elle épousait les formes. Pour être, il fallait toujours qu’elle fût un autre. Toute sa personnalité, c’était qu’elle ne le restait pas. Elle changeait de vases, souvent.
ellauri150.html on line 329: — Cela me dégoûte d’entendre parler de la musique, comme d’un libertinage… Oh ! ce n’est pas votre faute. C’est la faute de votre monde. Toute cette fade société qui vous entoure regarde l’art comme une sorte de débauche permise… Allons, assez là-dessus ! Jouez-moi votre sonate.
ellauri150.html on line 430: Le vicomte intervient et provoque Cyrano, qui réplique par une brillante tirade à l’honneur de son propre nez. Tout en rimant, il sort son épée et bat en duel le vicomte, que ses amis évacuent blessé, tandis que l'assemblée acclame le vainqueur. Le calme revient. Cyrano est secrètement amoureux de sa cousine Roxane mais son physique disgracieux du fait de la taille de son nez l’empêche de se déclarer.
ellauri151.html on line 238: Toutes choses sont dites déjà; mais comme personne n'écoute, il faut toujours recommencer. (The Treatise of the Narcissus)
ellauri161.html on line 919: Dans une intervention au souverain Sénat de Savoie, le sénateur de Maistre plaide pour que le peuple marche à grands pas vers l'égalité civile[9]. Toutefois, il déplore les excès populaires et les désordres qui bouleversent la vie du pays voisin. Certains biographes, dont Robert Triomphe[note 7], lui reprocheront ce qu'ils considèrent comme une volte-face.
ellauri161.html on line 931: Toute religion doit pour de Maistre être sociale ; or, le protestantisme n'étant pas social à ses yeux, voire anti-souverain par nature, il n'est pas une religion. La religion doit apporter des croyances communes, et apporter la cohésion de l'organisme politique. Elle doit protéger le pouvoir autant que le pouvoir doit la protéger. Il n'est donc pas question de séparer l'Église de l'État, bien au contraire. C'est pourquoi Joseph de Maistre prônera un régime de type théocratique, dans lequel la religion tient un rôle fortement structurant, devant apprendre aux sujets le respect aveugle pour l'autorité et « l'abnégation de tout raisonnement individuel."
ellauri172.html on line 708: Tout à coup, un boute-selle furieux sonna, appelant aux armes. C’était l’ennemi qui nous surprenait et qui avait égorgé au couteau, silencieusement, nos sentinelles. Il fallait sauter à cheval. Je jetai un dernier regard sur ce corps superbe et mutilé, immobilement pâle pour la première fois sous les yeux d’un homme. Mais, avant de partir, je ramassai ce pauvre cœur, qui gisait à terre dans la poussière, et avec lequel ils auraient voulu se poignarder et se déchiqueter, et je l’emportai, ce cœur d’un enfant qu’elle avait dit le mien, dans ma ceinture de hussard. »
ellauri192.html on line 129: “Tout vivant n’a qu’un but: persévérer à vivre; / … Esclave de ce but qu’il n’eut point à choisir, / Il voue entiérement sa force à le poursuivre”
ellauri210.html on line 359: « Je ne comprendrai jamais comment Victor Hugo a pu, quarante ans durant, faire son métier. Toute la littérature, c’est : ta, ta, ta, ta, ta, ta. L’Art, l’Art, ce que je m’en fiche de l’Art ! » — « Oscar Wilde est vivant ! »,
ellauri210.html on line 400: « Je ne comprendrai jamais comment Victor Hugo a pu, quarante ans durant, faire son métier. Toute la littérature, c’est : ta, ta, ta, ta, ta, ta. L’Art, l’Art, ce que je m’en fiche de l’Art ! » — « Oscar Wilde est vivant ! »,
ellauri210.html on line 610: On peut être artiste sans être rien de particulier. Tout ce que j'ai fait d'important pourrait tenir dans une petite valise. Pas le pissoir (je n'avais fait ca), mais l'etiquette.
ellauri210.html on line 992: À l'été 1932, la troupe est invitée à Moscou d'où Jacques Prévert ne revient pas militant communiste. Toute sa vie, Jacques Prévert témoigne d'un engagement politique sincère. Surréaliste inclassable, certains observateurs n'hésitent pourtant pas à l'apparenter au courant libertaire : anarchiste de cœur, Prévert se dit « rêveur » ou « artisan » plutôt que « poète ».
ellauri210.html on line 1028: Tout doucement, sans faire de bruit. Paljon hän voi omistaa Hellästi, ääntä pitämättä,
ellauri210.html on line 1035: Tout doucement, sans faire de bruit. Ne mennessään vei "tuulonen" Hellästi, ääntä pitämättä,
ellauri210.html on line 1395: Kaikki joihin kosken Tout ce que je touche devient
ellauri211.html on line 203: On peut être artiste sans être rien de particulier. Tout ce que j´ai fait d´important pourrait tenir dans une petite valise. Pas le pissoir (je n´avais pas fait ca), mais l´etiquette là-dessus.
ellauri317.html on line 316: Tout le mond savait que l´intérêt délibéré pour la femme de Pouchkine n´était qu´un écran derrière lequel le Français cachait des détails secrets de sa vie personnelle. Le terrain fertile pour de telles rumeurs était la relation entre d´Anthès et l’émissaire du roi hollandais, le baron Louis Heeckeren, qui avait adopté le jeune homme après son arrivée dans l´Empire russe. Quoi qu’il en soit, d´Anthès avait trop fortement harcelé Natalia et dépassé toutes les limites.
ellauri324.html on line 163: Toutes les infrastructures religieuses permettent à leurs membres de faire n'importe quoi "au nom du dieu suprême". Comme abrutir la masse populaire, commettre des actes abominables sur les enfants, enrichir le Vatican et les chefs religieux, commettre d'autres exactions crapuleuses protégés par les politiques de droite et d'extrême-droite.
ellauri324.html on line 166: Tout le monde est libre de croire en Dieu par rapport à ce qu'il voit ou dans les conditions dans lesquelles où il vit. Pour moi, Dieu existe et guide ma vie et celle de ma famille. Il y a tant de choses, dont je n'énumère pas, qui m'ont convaincues que Dieu en Jesus Christ est toujours là pour moi et pour tous ceux qui y croient. Je ne suis pas sur terre par hasard comme les microbes et autres organismes issus de la dégradation de notre environnement.
ellauri365.html on line 68: Täynnä lehtien ja heinän tuoksua, Tout chargé des senteurs des feuilles et du foin,
xxx/ellauri128.html on line 576: Jean Rostand, né le 30 octobre 1894 à Paris (17e arrondissement) et mort le 4 septembre 1977 à Ville-d´Avray (Hauts-de-Seine), était un écrivain, moraliste, biologiste, historien des sciences et académicien français. Très intéressé par les origines de la vie, il étudie la biologie des batraciens (grenouilles, crapauds, tritons et autres), la parthénogenèse, l´action du froid sur les œufs, et promeut de multiples recherches sur l´hérédité. Avec conviction et enthousiasme, il s´efforce de vulgariser la biologie auprès d´un large public (il reçoit en 1959 le prix Kalinga de vulgarisation scientifique) et d´alerter l´opinion sur la gravité et des problèmes humains qu´elle pose. Considérant la biologie comme devant être porteuse d´une morale, il met en garde contre les dangers qui menacent les humains lorsqu´ils jouent aux apprentis sorciers, comme les tenants de l´eugénisme. Toutefois, Rostand soutient une forme d´« eugénisme 'positif' », approuvant certains écrits d´Alexis Carrel et la stérilisation des personnes atteintes de certaines formes graves de maladies mentales, ce qui fut rapproché, après la guerre, de la loi nazie de 1933, et lui fut reproché dans un contexte où l´eugénisme est une idéologie encore répandue avec des auteurs comme Julian Huxley, premier directeur de l´UNESCO (1946-1948).
xxx/ellauri139.html on line 986: Tout trompe ta simplicité: Sun simppeliys pettää kaikki:
xxx/ellauri139.html on line 1030: En 1775 paraît sa première pièce majeure Le Dix-huitième siècle. C’est une satire en vers qui donne la caricature de son temps ; la philosophie y est le principe de la « chute des arts », de la « perte des mœurs ». Tout y est matière à charge : la bourgeoisie, la noblesse, le clergé libertin ; la littérature du moment y est passée au peigne fin. Des généralités sociales, on passe bientôt aux attaques ad hominem ; à la fin de la satire, du reste, le nom honni paraît enfin : Voltaire. Le Dix-huitième siècle est véritablement à sa parution, et pour reprendre le mot de Huysmans, « un météore dans le champ littéraire » de l’époque. Il n'est pas de bon ton, La critique se dechaine.
xxx/ellauri139.html on line 1183: Toute prison est trop petite. Vankilat on liian pieniä.
xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
xxx/ellauri173.html on line 188: Quant aux mystiques, je puis leur soumettre une réflexion naïve, paradoxale, superficielle, s’ils veulent, mais singulière : ― N’est-il pas attristant de penser que si Dieu, le Très-Haut, le bon Dieu, dis-je, enfin le Tout-Puissant, (lequel, de notoriété publique, est apparu à tant de gens, qui l’ont affirmé, depuis les vieux siècles, ― nul ne saurait le contester sans hérésie ― et dont tant de mauvais peintres et de sculpteurs médiocres s’évertuent à vulgariser de chic les prétendus traits) ― oui, penser que s’Il daignait nous laisser prendre la moindre, la plus humble photographie de Lui, voire me permettre, à moi, Thomas Alva Edison, ingénieur américain, sa créature, de clicher une simple épreuve videographique de Sa vraie Nez et Voix (car le tonnerre a bien mué, depuis Franklin), dès le lendemain il n’y aurait plus un seul athée sur la terre !
xxx/ellauri176.html on line 314: Toutefois expliquez : oh ! non, naïve enfant, Silti selittäkää: Ehei, naivi lapsi,
xxx/ellauri376.html on line 634: Tout se répare et se succède,
xxx/ellauri376.html on line 648: Tout nous annonce que l’on fout :
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