ellauri055.html on line 50: Jean Bouchet un poète français, né à Poitiers le 31 janvier 1476, mort en 1557. Son œuvre est assimilée à celle des grands rhétoriqueurs.
ellauri100.html on line 1303: Väitöskirjan jälkeen Egyptiin tyttökouluun opettamaan tyttösille liettuaxi äännettyä ranskaa. Sieltä Ankaraan ja Konstantinoopeliin, josta maakuntakierros päättyi Poitiersiin. 1965 se sai professuurin EHESS:istä Pariisista, ja siellä se istui neljännesvuosisadan ja vaihtoi postimerkkejä muiden semiootikkojen kaa. Se kuoli 1992 ja haudattiin Konowiin.
xxx/ellauri057.html on line 917: Pendant toute la guerre, entre 1940 et 1945, Simenon continue à vivre en Vendée et en Charente-Maritime, mais cette période, assez mal connue, est sujette à de multiples soupcons. Représentant de l'État belge auprès des Belges réfugiés, il refuse d'aider ceux d'entre eux qui sont juifs. Non seulement son frère fut volontaire auprès de la Waffen-SS Wallonie, mais de plus, selon certaines personnes, lors de cette période cruciale de sa vie et de son œuvre, l'écrivain aurait été un collaborateur, ou doucement dit, un peu "lâche". Il n'est pas revenu en Belgique, afin d'échapper au service militaire), un peu rusé et opportuniste, sans aucun sens de l'histoire avec un grand H. Il a commis d'« énormes imprudences » en écrivant dans des journaux contrôlés par les Allemands, mais Simenon ne dénonce pas, ne s'engage pas, ne fait pas de politique, seulement de la fiction. En fait, les accords qu'il a passés avec la firme cinématographique allemande Continental lui valent quelques tracas à la Libération. En 1944, une dépêche de l'AFP, retrouvée à Poitiers, mentionne sa dénonciation pour « intelligence avec l'ennemi » par « certains villageois vendéens exaspérés par la conduite égoïste de cet écrivain affichant l'opulence de son train de vie, à l'époque des tickets d'alimentation. »
xxx/ellauri128.html on line 112: Andreas Capellanus, appelé en français par une traduction de son nom André le Chapelain, a écrit au XIIe siècle un traité intitulé ordinairement De Amore, et souvent traduit, de façon quelque peu fautive, Traité de l'Amour courtois, bien que son ton réaliste, voire cynique indique que, dans une certaine mesure, il se veut un antidote à l'amour courtois. On ne sait rien de la vie d'André le Chapelain, mais on suppose qu'il faisait partie de la cour de Marie de France, et qu'il était probablement d'origine française. On a soutenu que De Amore codifie la vie sociale et sexuelle de la cour d'Aliénor à Poitiers, entre 1170 et 1174, mais il a été manifestement écrit au moins dix ans plus tard et, semble-t-il, à Troyes. Il traite de plusieurs thèmes spécifiques qui faisaient l'objet d'un débat poétique entre troubadours et trobairitz à la fin du XIIe siècle.
xxx/ellauri130.html on line 564: Delphin-Antoine-Edmond Thiaudière, né le 17 mars 1837 à Gençay, où il est mort le 9 novembre 1930, est un homme de lettres français, à la fois poète, romancier, philosophe et « maximiste ». Issu d’une famille de médecins depuis quatre générations, Edmond Thiaudière, opte pour une carrière d’homme de lettres après s’être détourné de ses études de droit brillamment menées à Poitiers. Il s’essaie au roman, aux nouvelles, à la poésie, au théâtre, écrit des essais politiques et autres pamphlets, mais il se distingue surtout par son œuvre philosophique, parsemant sur quarante années une douzaine de recueils aux titres sibyllins, avec le sous-titre générique Notes d’un Pessimiste. Son premier recueil de pensées, La Proie du Néant, qu’il publie en 1886, contient en préambule une longue dédicace adressée à Léa et Mosès, ses deux chiens fidèles.
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