ellauri036.html on line 583: Pauvreté! pauvreté! c'est toi la courtisane.
ellauri036.html on line 601: Pauvre fille! à quinze ans ses sens dormaient encore,
ellauri109.html on line 429: [...] Pauvre cher bougre, j’ai bien envie de t’embrasser. Je serai content quand je reverrai ta figure. [...] Adieu, je t’embrasse et suis plus que jamais "Maréchal de Richelieu, juste-au-corps bleu, Mousquetaire gris, régence et cardinal Dubois", sacrebleu !
ellauri162.html on line 715: Problème insoluble: rétablir le Pauvre dans son droit, sans l'établir dans la puissance. Et s'il arrivait, par impossible, qu'une dictature impitoyable, servie par une armée de fonctionnaires, d'experts, de statisticiens, s'appuyant eux mêmes sur des millions de mouchards et de gendarmes, réussissait à tenir en respect, sur tous les points du monde à la fois, les intelligences carnassières, les bêtes féroces et rusées, pour gain, race d'hommes qui vit de l'homme car sa perpétuelle convoitise de l'argent n'est sans doute que la forme hypocrite, ou peut-être inconsciente de l'horrible, de l'inavouable faim qui la dévore - le dégoût viendrait vite de l'aurea mediocritas ainsi érigée en règle universelle, et l'on verrait refleurir partout les pauvretés volontaires, ainsi qu'un nouveau printemps. Aucune société n'aura raison du Pauvre. Les uns vivent de la sottise d'autrui, de sa vanité, de ses vices. Le Pauvre, lui, vit de la charité. Quel mot sublime!
ellauri164.html on line 86: Et c’est encore la vie ! — Si la damnation est éternelle ! Un homme qui veut se mutiler est bien damné, n’est-ce pas ? Je me crois en enfer, donc j’y suis. C’est l’exécution du catéchisme. Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre. Pauvre innocent ! L’enfer ne peut attaquer les païens. — C’est la vie encore ! Plus tard, les délices de la damnation seront plus profondes. Un crime, vite, que je tombe au néant, de par la loi humaine.
ellauri164.html on line 106: Fiez-vous donc à moi, la foi soulage, guide, guérit. Tous, venez, — même les petits enfants, — que je vous console, qu’on répande pour vous son cœur, — le cœur merveilleux ! — Pauvres hommes, travailleurs ! Je ne demande pas de prières ; avec votre confiance seulement, je serai heureux.
xxx/ellauri128.html on line 552: Après la guerre apparaissent les Pièces brillantes qui jouent sur la mise en abyme du théâtre au théâtre (La Répétition ou l´Amour puni en 1947, Colombe en 1951), puis les Pièces grinçantes, comédies satiriques comme Pauvre Bitos ou le Dîner de têtes (1956). Dans la même période, Jean Anouilh s´intéresse dans des Pièces costumées à des figures lumineuses qui se sacrifient au nom du devoir : envers la patrie comme Jeanne d´Arc dans L´Alouette (1953) ou envers Dieu comme Thomas Becket (Becket ou l´Honneur de Dieu en 1959). Le dramaturge a continué dans le même temps à servir le genre de la comédie dans de nombreuses pièces où il mêle farce et ironie (par exemple Les Poissons rouges ou Mon père ce héros en 1970) jusque dans les dernières années de sa vie.
xxx/ellauri139.html on line 931: Pauvre Gilbert, que tu devais souffrir ! C’est le refrain d’un Souvenir à l’hôpital par Hegesippe Moreau, dont certains accents rappellent volontiers les Adieux à la vie de Gilbert :
xxx/ellauri139.html on line 940: Pauvre Gilbert, que tu devais souffrir ! Gilbert parka, ezun piti kaikki kärsiä!
xxx/ellauri139.html on line 949: Pauvre Gilbert, que tu devais souffrir ! Gilbert parka, ezun piti kaikki kärsiä!
10