ellauri053.html on line 112: Robert de Montesquiou, deo duce et ferro comite, cascognelainen bon vivant ja dandy, oli Proustin paroni Charlusin mallina. Sen joka pystypani persuuxiin jotain roturieria jossain takapihalla. Roopen suosijan kreivitär Greffoulhen kynttilä sammui vasta 1952.
ellauri145.html on line 715: Toinen pieni harmin aihe on se, että johdannossa ja selityksissä ei tuoda esille des Esseintesin historiallista esikuvaa, kreivi Robert de Montesquiou-Fenzensacia (1855-1921), joka on toiminut esikuvana myös Marcel Proustin Kadonnutta aikaa etsimässä -teossarjan paroni du Charlusille. Eli n:nnen kerran: des Esseintes on se sama homo dändi Montesquiou, joka Charlusina Proustin kirjassa bylsi liiveissä jotain palvelijaa porttikongissa pyllyvakoon, Proustin tirkistellessä hikisenä muna kädessä.
ellauri206.html on line 252: IL fréquente le salon de Charles Buet, où il rencontre Jules Barbey d'Aurevilly, Joris-Karl Huysmans, François Coppée, Léon Bloy, Laurent Tailhade et autres cretins. Il rencontre Edmond de Goncourt, avec qui il restera lié jusqu'à la mort de ce dernier en 1896, et qui fut son principal protecteur. Edmond de Goncourt, dans la récente édition complète en 22 volumes du Journal des Goncourt, se montre curieux de toutes les questions sexuelles et particulièrement de l'homophilie. À partir de 1884, Edmond de Goncourt, jusque-là banalement réactionnaire, devient un antisémite enragé, Jésus l'a sauvé après 27 années d'homosexualité. Il se veut esthète et dandy en même temps qu'explorateur tapageux du vice et de la vulgarité, curieux assemblage qui verse souvent dans le pire mauvais goût, et qui lui vaut le mépris hautain de Robert de Montesquiou, dont Lorrain, pour sa part, fait volontiers sa tête de Turc pour sa prétention à l'élégance et à la chasteté. « Lorrain », écrit Léon Daudet dans ses Souvenirs, « avait une tête poupine et large à la fois de coiffeur vicieux, les cheveux partagés par une raie parfumée au patchouli, des yeux globuleux, ébahis et avides, de grosses lèvres qui jutaient, giclaient et coulaient pendant son discours. Son torse était bombé comme le bréchet de certains oiseaux charognards. Lui se nourrissait avidement de toutes les calomnies et immondices. »
xxx/ellauri157.html on line 119: Marcel Proust ja paroni Charlus (oik. kreivi Montesquiou)
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