ellauri014.html on line 1037: « Milord, me dit-il, en me donnant le saint nom d’ami, vous m’apprîtes à le porter. J’ai rempli la fonction dont vous m’avez chargé ; et vous voyant prêt à vous oublier, j’ai dû vous rappeler à vous-même. Vous n’avez pu rompre une chaîne que par une autre. Toutes deux étaient indignes de vous. S’il n’eût été question que d’un mariage inégal, je vous aurais dit : Songez que vous êtes pair d’Angleterre, et renoncez aux honneurs du monde, ou respectez l’opinion. Mais un mariage abject !… vous !… Choisissez mieux votre épouse. Ce n’est pas assez qu’elle soit vertueuse, elle doit être sans tache… La femme d’Edouard Bomston n’est pas facile à
ellauri043.html on line 4079: J’ai fui.
ellauri049.html on line 448: J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques, Mä olen nähnyt päivänlaskun mystisen,
ellauri049.html on line 453: J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Oon unexinut vihreän yön valkoisilla lumilla
ellauri049.html on line 458: J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Olen seurannut kuukausimäärin hyrskyjä
ellauri049.html on line 463: J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides Olen törmännyt, tiäzä, uskomattomiin Floridoihin
ellauri049.html on line 468: J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Oon nähnyt jättisoita käymistilassa, mertoja,
ellauri049.html on line 513: J’ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Olen nähnyt tähtien saaristoja! ja saaria,
ellauri051.html on line 3270: J’ai pensé à ces rois heureux Mä ajattelin näitä lottovoittajia
ellauri051.html on line 3282: J’ai hiverné dans mon passé Mä oon nukkunut talviunta menneisyydessä
ellauri051.html on line 3308: J’ai chanté ma joie bien-aimée Mä lauloin hyvin rakastetun iloni
ellauri109.html on line 421: "Ce matin à midi, cher et pauvre vieux, j’ai reçu ta bonne et longue lettre tant désirée. Elle m’a remué jusqu’aux entrailles. J’ai mouillé. Comme je pense à toi, va ! inestimable bougre ! Combien de fois par jour je t’évoque, et que je te regrette ! Si tu trouves que je te manque, tu me manques aussi [...]
ellauri109.html on line 451: Flaubert se donne pour mission urgente de la sauver des séductions du sirupeux : « leur poésie est une bavachure d’eau sucrée. Siirapinlitkutusta. J’aime l’ordure, comme dans Rabelais qui n’est point du tout un homme à gaudrioles.
ellauri117.html on line 49: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
ellauri131.html on line 1093: J’aime de vos longs yeux la lumière verdâtre, Mä rakastan sun pitkulaisten silmien
ellauri145.html on line 320: J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. Mulla on enemmän muistoja kuin tuhatvuotiaalla.
ellauri145.html on line 490: J’ai composé cette histoire ? simple, simple, simple, Kexin tämän jutun ? simppelin 3x
ellauri146.html on line 527: Mais enfin je suis las. J’ai l’âme si pesante, Mutta nyt mä olen kylästynyt, niin on sielu raskas,
ellauri146.html on line 540: J’ai donné mon secret, Dalila va le vendre. Mä annan salasanani, Delila myyköön sen.
ellauri162.html on line 148: L´évolution de son antisémitisme est toujours débattue. Bernanos rend hommage à Édouard Drumont, avec lequel il partage sa détestation de la bourgeoisie, mais aussi l´association des juifs à la finance, aux banques, au pouvoir de l’argent au détriment du peuple, un thème qui fait florès dans la France de cette époque et qui suscite des propos antisémites de l´écrivain. Bernanos, qui a fait la guerre de 1914-1918, fustige aussi un patriotisme perverti qui humilie l´ennemi allemand dans la défaite au lieu de le respecter, trahissant ainsi l´honneur de ceux qui ont combattu et hypothéquant l´avenir. Täähän kuulostaa suorastaan Ezra Poundilta. «Les juifs traînent nonchalamment sur les colonnes de chiffres et les cotes un regard de biche en amour » ou « ces bonshommes étranges qui parlent avec leurs mains comme des singes ». J’aimerais mieux être fouetté par le rabbin d’Alger que faire souffrir une femme ou un enfant juif ». Juutalaiset kiistelevat vieläkin oliko Ykä hyvis vaiko pahis.
ellauri164.html on line 80: J’ai avalé une fameuse gorgée de poison. — Trois fois béni soit le conseil qui m’est arrivé ! — Les entrailles me brûlent. La violence du venin tord mes membres, me rend difforme, me terrasse. Je meurs de soif, j’étouffe, je ne puis crier. C’est l’enfer, l’éternelle peine ! Voyez comme le feu se relève ! Je brûle comme il faut. Va, démon !
ellauri164.html on line 88: Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici : Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. — Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums faux, musiques puériles. — Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. — La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… — Horreur de ma bêtise.
ellauri164.html on line 90: Là-bas, ne sont-ce pas des âmes honnêtes, qui me veulent du bien… Venez… J’ai un oreiller sur la bouche, elles ne m’entendent pas, ce sont des fantômes. Puis, jamais personne ne pense à autrui. Qu’on n’approche pas. Je sens le roussi, c’est certain.
ellauri164.html on line 102: J’ai tous
ellauri164.html on line 108: — Et pensons à moi. Ceci me fait peu regretter le monde. J’ai de la chance de ne pas souffrir plus. Ma vie ne fut que folies douces, c’est regrettable.
ellauri172.html on line 608: La Rosalba était pudique comme elle était voluptueuse, et le plus extraordinaire, c’est qu’elle l’était en même temps. Quand elle disait ou faisait les choses les plus… osées, elle avait d’adorables manières de dire : « J’ai honte ! » que j’entends encore. Phénomène inouï ! Elle fût sortie d’une orgie de bacchantes, comme l’Innocence de son premier péché. Jusque dans la femme vaincue, pâmée, à demi morte, on retrouvait la vierge confuse, avec la grâce toujours fraîche de ses troubles et le charme auroral de ses rougeurs… (Vizi tää hemmo on aika sick. Mutta se on just kuten Huismanni totesi: pyllistely tuntuu vielä rotevammalta kun pyllyn takana kyttää kiivas Jehova piiska handussa. Niin varmaan junioriapinastakin joka pääsee salaa silverbäkin nartun vulvalle. Sisään vaan vaikkei seisokkaan!)
ellauri206.html on line 308: J’ai rêvé dans la Grotte où nage la sirène… I dreamt of the Cave where the mermaid swims…
ellauri210.html on line 1155:
J’aime le goût de ton sang épais/ Je le garde longtemps dans ma bouche sans dents”

xxx/ellauri116.html on line 434: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
xxx/ellauri139.html on line 941: J’ai bien maudit le jour qui m’a vu naître ; Mä olen kironnut päivää jona synnyin!
xxx/ellauri139.html on line 975: J’ai révélé mon cœur au Dieu de l’innocence; Paljastin syömmeni viattomuuden jumalalle,
xxx/ellauri139.html on line 1169: J’ai le coeur dur et l’âme vile, Mulla on kova sydän ja paha sielu,
xxx/ellauri139.html on line 1197: J’ai fait… se pendre mon cousin : Olen... hirtättänyt serkkuni:
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