ellauri043.html on line 4509:

C’est
ellauri049.html on line 716: C’est une mer, un Lac blême, maculé d’îles Se on meri, järvi kalpea, saarten täplittämä,
ellauri109.html on line 410: C’est en Égypte, durant le règne de Méhémet Ali Pacha, qu’une délégation française débarque en terre des pharaons dans l’intention de moderniser le pays du Nil. Parmi ses membres, y figurent Maxime Du Camp en tant que photographe, mais aussi Gustave Flaubert, qui n’a pas encore 30 ans et surtout qui n’est pas encore devenu un écrivain notoire. Sa mission au sein de la délégation reste peu claire. L’occasion pour Mohamed Taan, en prenant certaines libertés de romancier, de parler sans ambages de l’homosexualité de l’auteur de La tentation de saint Antoine…
ellauri109.html on line 413: C’est en référence à la chanson de Gavroche dans Les Misérables de Victor Hugo : « Je suis tombé par terre, c’est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau. » La faute est à Flaubert car c’est un homosexuel qui s’ignore.
ellauri109.html on line 414: « C’est la faute à Flaubert » du Dr Mohamed Taan (éditions St-Honoré, Paris - 324 pages) en librairie ou sur e-book.
ellauri109.html on line 427: C’est aux bains que cela se pratique. On retient le bain pour soi (cinq francs), y compris les masseurs, la pipe, le café, le linge et on enfile son gamin dans une des salles. Tu sauras du reste que tous les garçons de bain sont bardaches.
ellauri144.html on line 603: Expérience - Résultat - Interprétation - Conclusion. C’est d’ailleurs une démarche
ellauri145.html on line 325: C’est une pyramide, un immense caveau, Ne on pyramidi, luola suunnaton,
ellauri145.html on line 709: When Zola was interviewed for this series on March 31, one month after Là-bas had begun to appear, even he admitted that it was possible that Naturalism was drawing to a close: “C’est possible. Nous avons tenu un gros morceau du siècle, nous n’avons pas à nous plaindre; et nous représentons un moment assez splendide dans l’évolution des idées au dix-neuvième siècle pour ne pas craindre d’envisager l’avenir” (XII, 653).
ellauri146.html on line 440: C’est Dalila, l’esclave, et ses bras sont liés Se on Delila, orja, jonka käsivarret
ellauri146.html on line 497: « Un Maître lui fait peur. C’est le plaisir qu’elle aime, Ei se halua komentajaa, vaan viihdettä,
ellauri146.html on line 539: C’est trop ! Dieu, s’il le veut, peut balayer ma cendre. Se on jo vähän liikaa! Luoja luutikoon halutessaan tuhkani.
ellauri150.html on line 267: — Non ? C’est pas possible ?…
ellauri150.html on line 277: Elle faisait de la musique, comme la plupart des jeunes filles oisives d’à présent. Elle en faisait beaucoup et peu. C’est-à-dire qu’elle en était toujours occupée, et qu’elle n’en connaissait presque rien. Elle tripotait son piano, toute la journée, par désœuvrement, par pose, par volupté. Tantôt elle en faisait, comme du vélocipède. Tantôt elle pouvait jouer bien, très bien, avec goût, avec âme, — (on eût presque dit qu’elle en avait une : il suffisait, pour cela, qu’elle se mît à la place de quelqu’un qui en avait une). — Elle était capable d’aimer Massenet, Grieg, Thomé, avant de connaître Christophe. Mais elle était aussi capable de ne plus les aimer, depuis qu’elle connaissait Christophe. Et maintenant, elle jouait Bach et Beethoven très proprement, — (ce qui, à la vérité, n’est pas beaucoup dire) ; — mais le plus fort, c’était qu’elle les aimait. Au fond, ce n’était ni Beethoven, ni Thomé, ni Bach, ni Grieg, qu’elle aimait : c’étaient les notes, les sons, ses doigts qui couraient sur les touches, les vibrations des cordes qui lui grattaient les nerfs comme autant d’autres cordes, son épiderme chatouillé.
ellauri150.html on line 293: — J’entends… C’est toujours la même chose.
ellauri150.html on line 329: — Cela me dégoûte d’entendre parler de la musique, comme d’un libertinage… Oh ! ce n’est pas votre faute. C’est la faute de votre monde. Toute cette fade société qui vous entoure regarde l’art comme une sorte de débauche permise… Allons, assez là-dessus ! Jouez-moi votre sonate.
ellauri162.html on line 207: d’un Arlequin ou d’une Colombine. C’est un benêt qui se
ellauri164.html on line 80: J’ai avalé une fameuse gorgée de poison. — Trois fois béni soit le conseil qui m’est arrivé ! — Les entrailles me brûlent. La violence du venin tord mes membres, me rend difforme, me terrasse. Je meurs de soif, j’étouffe, je ne puis crier. C’est l’enfer, l’éternelle peine ! Voyez comme le feu se relève ! Je brûle comme il faut. Va, démon !
ellauri164.html on line 86: Et c’est encore la vie ! — Si la damnation est éternelle ! Un homme qui veut se mutiler est bien damné, n’est-ce pas ? Je me crois en enfer, donc j’y suis. C’est l’exécution du catéchisme. Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre. Pauvre innocent ! L’enfer ne peut attaquer les païens. — C’est la vie encore ! Plus tard, les délices de la damnation seront plus profondes. Un crime, vite, que je tombe au néant, de par la loi humaine.
ellauri164.html on line 88: Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici : Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. — Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums faux, musiques puériles. — Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. — La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… — Horreur de ma bêtise.
ellauri164.html on line 92: Les hallucinations sont innombrables. C’est bien ce que j’ai toujours eu : plus de foi en l’histoire, l’oubli des principes. Je m’en tairai : poëtes et visionnaires seraient jaloux. Je suis mille fois le plus riche, soyons avare comme la mer.
ellauri164.html on line 116: Je meurs de lassitude. C’est le tombeau, je m’en vais aux vers, horreur de l’horreur ! Satan, farceur, tu veux me dissoudre, avec tes charmes. Je réclame. Je réclame ! un coup de fourche, une goutte de feu.
ellauri164.html on line 120: C’est le feu qui se relève avec son damné.
ellauri172.html on line 318: Au point de vue physique, nous l’avons vu, c’est un besoin individuel que d’engendrer un autre individu, si bien que cet autre devient comme une condition de nous-même. La vie, comme le feu, ne se conserve qu’en se communiquant. Et cela est vrai de l’intelligence non moins que du corps ; il est aussi impossible de renfermer l’intelligence en soi que la flamme : elle est faite pour rayonner. Même force d’expansion dans la sensibilité : il faut que nous partagions notre joie, il faut que nous partagions notre douleur. C’est tout notre être qui est sociable : la vie ne connaît pas les classifications et les divisions absolues des logiciens et des métaphysiciens : elle ne peut pas être complètement égoïste, quand même elle le voudrait. Nous sommes ouverts de toutes parts, de toutes parts envahissants et envahis. Cela tient à la loi fondamentale que la biologie nous a fournie : La vie n’est pas seulement nutrition, elle est production et fécondité. Vivre, c’est dépenser aussi bien qu’acquérir.
ellauri172.html on line 680: « — Eh bien ! — fit-elle, — puisque tu ne devines pas, jette ta langue aux chiens, imbécile ! C’est le capitaine Mesnilgrand!
ellauri172.html on line 690: « — Eh bien ! puisque tu le veux, le voilà, le cœur de ton marmot, catin déhontée ! — dit le major. Et il lui battit la figure de ce cœur qu’il avait adoré, et le lui lança à la tête comme un projectile. L’abîme appelle l’abîme, dit-on. Le sacrilège créa le sacrilège. La Pudica, hors d’elle, fit ce qu’avait fait le major. Elle rejeta à sa tête le cœur de cet enfant, qu’elle aurait peut-être gardé s’il n’avait pas été de lui, l’homme exécré, à qui elle eût voulu rendre torture pour torture, ignominie pour ignominie ! C’est la première fois, certainement, que si hideuse chose se soit vue ! un père et une mère se souffletant tour à tour le visage, avec le cœur mort de leur enfant !
ellauri205.html on line 190: Les batailles ne se décident pas entre hommes qui calculent, combinent, prennent une résolution et l'exécutent, mais entre hommes dépouillés de ces facultés, transformés, tombés au rang soit de la matière inerte qui n'est que passivité, soit des forces aveugles qui ne sont qu'élan. C’est là le dernier secret de la guerre, et l’Iliade l'exprime par ses comparaisons, où les guerriers apparaissent comme les semblables soit de l'incendie, de l’inondation, du vent, des bêtes féroces, de n'importe quelle cause aveugle de désastre, soit des animaux peureux, des arbres, de l'eau, du sable, de tout ce qui est mû par la violence des forces extérieures.
ellauri210.html on line 800: C’est que dieu constipé depuis vingt siècles n’a plus de boueux 2 vuosituhatta ummessa olleella Jumalalla ei ole enää lokaista
ellauri210.html on line 804: C’est alors que leur sueur murmure Silloin niiden hiki solisee
ellauri210.html on line 1348: “C’est dans cette intensité que l’autre Louise, après avoir détaillé ma mise élégante, fixa mon ventre longuement, d’un regard effaré, vaincu, où je recevais comme un reproche”.
ellauri285.html on line 671: C’est au bout de trois semaines, après avoir sciemment parlé dans le vide de façon à ne livrer aucune information concrète, que Debray admet les évidences, à savoir la présence du Che, déjà reconnue par Bustos, les déserteurs et le guérillero Vasquez Viana, arrêté le 28 avril et victime d’un subterfuge. Même après la rupture politique de Debray avec le régime cubain, Manuel Piñeiro, le chef des services secrets cubains, reconnaît que ce dernier n’a fait que « confirmer la présence du Che en Bolivie », et qu’« il ne serait pas correct de ma part de rendre Debray responsable de la localisation de la guérilla, et encore moins de la mort du Che »
ellauri285.html on line 708: Les États-Unis auraient ainsi su échapper à cette crise du sacré, par leur civisme et leur patriotisme, même s´ils se sont mis au service de mauvaises causes. L’effigie du dollar des États-Unis en est un exemple : « In God We Trust, All Others Pay Cash ». C’est cette symbolique patriotique qui ferait la force des États-Unis. Debray prétend appliquer le théorème d´incomplétude de Gödel à l´ordre social pour « démontrer » sa théorie. Régis Debray a été vivement critiqué pour son utilisation du théorème d´incomplétude de Gödel, jugée au mieux infondée sinon fallacieuse par Alan Sokal et Jean Bricmont dans leur livre Impostures intellectuelles, et par Jacques Bouveresse dans Prodiges et vertiges de l´analogie.
ellauri339.html on line 300: C’est la lutte finale Tämä on viimeinen taistelu
xxx/ellauri123.html on line 795: C’est toi qui fais que plus ne me tourmente C’est toi qui fais que plus ne me tourmente Sä sen teet ettei mua enää tuskaannuta
xxx/ellauri139.html on line 930: Pauvre Gilbert, que tu devais souffrir ! C’est le refrain d’un Souvenir à l’hôpital par Hegesippe Moreau, dont certains accents rappellent volontiers les Adieux à la vie de Gilbert :
xxx/ellauri139.html on line 1030: En 1775 paraît sa première pièce majeure Le Dix-huitième siècle. C’est une satire en vers qui donne la caricature de son temps ; la philosophie y est le principe de la « chute des arts », de la « perte des mœurs ». Tout y est matière à charge : la bourgeoisie, la noblesse, le clergé libertin ; la littérature du moment y est passée au peigne fin. Des généralités sociales, on passe bientôt aux attaques ad hominem ; à la fin de la satire, du reste, le nom honni paraît enfin : Voltaire. Le Dix-huitième siècle est véritablement à sa parution, et pour reprendre le mot de Huysmans, « un météore dans le champ littéraire » de l’époque. Il n'est pas de bon ton, La critique se dechaine.
xxx/ellauri173.html on line 56: Lord Ewald tombe amoureux d'une actrice de théâtre, très belle mais à l'esprit trop quelconque à son goût. Afin de remplacer cette femme avec son cœur de jeune homme, l'ingénieur Thomas Alva Edison lui propose son androide. C’est lui qui le désigna sous de fantastiques surnoms ― tels que le « Magicien du siècle, le Sorcier de Menlo Park, le papa du Phonographe ». Löysäpukuinen ja isokenkäinen pellekexijä joka kaikkien vahingoxi teki käsimusaviihteestä tosi ison numeron. Sen hehkulamppu wolframlankoineen on nyt historiaa.
xxx/ellauri173.html on line 171: C’est dommage.
xxx/ellauri173.html on line 294: C’est toujours l’être humain qui exploite la différence entre l’homme et l’animal, qui l’inserre dans un programme scientifique, que ce soit d’éthologie ou de génétique, qui l’écrit et la commente, et qui réussit certes à faire à la fois de lui-même et de l’animal un objet d’étude, mais qui ne fait pas de l’animal le sujet actif d’une recherche scientifique, et encore moins la directrice d'un groupe recherche!
xxx/ellauri173.html on line 453: C’est, à l’horizon pas remué d’une ride,

xxx/ellauri176.html on line 184: Zola nous sort là un remake à la fois long et contemplatif, plein d’atermoiements amoureux et religieux et d’incessants namedropping de végétaux de toutes sortes (ce qui lui a été abondamment reproché à l’époque)(entre autres choses). C’est presque aussi chiant que l’original. Et en plus il a changé la fin. (QUOI??? Comment?)
xxx/ellauri202.html on line 202: Les Thibault est une suite romanesque de Roger Martin du Gard, composée de huit volumes d'inégale longueur dont la publication s'est étalée de 1922 à 1940. C’est tout particulièrement pour cette œuvre, et bien qu'il lui restât encore à en écrire l'Épilogue, que Roger Martin du Gard reçut, en novembre 1937, le prix Nobel de littérature.
xxx/ellauri376.html on line 506: C’est toi que j’invoque à mon aide,
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