ellauri016.html on line 45: El Coyote on kuvitteellisen seikkailusarjan sankari, joka muistuttaa hyvin paljon el Zorroa. El Coyoten oikea nimi on César de Echagüe ja el Zorron tapaan hän on rikas herrasmies ja hidalgo. Hän asustaa San Antonio -nimisellä tilalla Los Angelesin liepeillä. Sarjan tarinoissa eletään 1850-lukua eli aikaa jolloin Kalifornia oli juuri liitetty Yhdysvaltoihin. Päähenkilö El Coyote asettuu puolustamaan alakynteen jääviä kalifornialaisia alkuasukkaita idästä tulevia "jenkkejä" vastaan.
ellauri118.html on line 1162: Pieixoto´s name suggests Pope Pius IX, a Vatican pope (1854-1878), who, in his first year of office, issued the doctrine of the Immaculate Conception of the Blessed Virgin Mary. Peixoto is a Portuguese surname. It refers to fish. Notable people with the surname include: Alvarenga Peixoto (1743-1793), Brazilian poet, born in Rio de Janeiro; António Augusto de Rocha Peixoto (1866-1909), Portuguese naturalist, ethnologist and archaeologist; César Peixoto (born 1980), Portuguese footballer who plays for Sport Lisboa e Benfica in the Portuguese first division.
ellauri172.html on line 844: Le Curé de Tours, roman d'Honoré de Balzac, 1832, personnage de l'abbé François Birotteau qui est le frère aîné de César Birotteau. Dans le roman éponyme, il n'est encore que vicaire[8]. On le retrouve confesseur de Madame de Mortsauf dans Le Lys dans la vallée[9]. Dans Le Curé de Tours, il devient le souffre-douleur de Mademoiselle Gamard, sa logeuse et de son rival : l'abbé Troubert.
ellauri284.html on line 400: Eastwoodin tunnustuksia ovat neljä Oscaria, neljä Golden Globe -palkintoa, kolme César-palkintoa ja AFI Life Achievement Award -palkinto. Vuonna 2000 hän sai Italian Venetsian elokuvajuhlien Kultaisen leijonan palkinnon, joka kunnioitti hänen elinaikaisia ​​saavutuksiaan. Hänelle myönnettiin kaksi Ranskan korkeinta siviilitunnustusta, hän sai Ordre des Arts et des Lettresin komentajan vuonna 1994 ja Kunnialegionin vuonna 2007.
ellauri339.html on line 307: Ni Dieu, ni César, ni Tribun. Ei Jumala, ei Caesar eikä Tribune.
xxx/ellauri128.html on line 149: César François Adolphe d'Houdetot (Le Havre, 31 août 1799-Le Havre, 30 juillet 1869) est un écrivain français, auteur de nombreux ouvrages assommants sur la chasse. C'est tout. Sen hellut oli varmaan aina joholla.
xxx/ellauri128.html on line 195: Sie litt damals unter der Vorstellung, es habe „ein außerirdisch Wesen, als ich in die Welt getrieben wurde, beim Eingang diese Worte mit einem Dolch in’s Herz gestoßen [...]: ‚Ja, habe Empfindung, sieh die Welt, wie sie Wenige sehen, sei groß und edel, ein ewiges Denken kann ich dir auch nicht nehmen, Eins hat man aber vergessen: sei eine Jüdin!‘ und nun ist mein ganzes Leben eine einzige Verblutung [...]“. Zu den Jugendfreundinnen Rahels Varnhagens gehörten auch Nichtjuden wie die Tochter einer hugenottischen Einwandererfamilie Pauline Wiesel, geb. César, mit der sie eine lebenslange Freundschaft verbinden sollte, oder der schwedische Gesandte Karl Gustav Brinckmann, der in ihrer Abwesenheit ihren Schreibtisch benutzen durfte.
xxx/ellauri139.html on line 1128: Comme l'ennui des vieux Césars ! Kuin vanhojen keisareiden tylsymys!
xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
xxx/ellauri376.html on line 493: Fait tourner le cul à César.
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