ellauri033.html on line 1171: Vuosina 1897–1902 ilmestyneessä toisessa romaanitrilogiassaan Le Roman de l’énergie nationale (”Kansallisen energian romaani”) Barrès käsittelee muun muassa suhdettaan kotiseutuunsa Lothringeniin (Lorraine). Teosten sanoma kuvastaa hänen omaksumaansa nationalistista katsomusta: side synnyinseutuun ja menneisiin sukupolviin muovaa yksilöt, joten kotiseudun hylkääminen johtaa yksilöllisen identiteetin menettämiseen ja kärsimykseen. Barrèsin myöhemmät romaanit Au Service de l’Allemagne (1905) ja Metzin tyttö (Colette Baudoche, 1909) käsittelevät Saksaan liitetyn Elsass-Lothringenin ranskalaisten asukkaiden lojaliteettiristiriitoja. Näitä teoksia käytettiin Ranskassa sotapropagandana ensimmäisen maailmansodan aikana. Meidän yöjuna pysähtyi Metzissä kun oltiin interreilillä. Tyttöjä ei näkynyt. Paizi Helmiä.
ellauri106.html on line 52: It was not Bailey’s role as a biographer to pass judgment on his subject. He needed only try to understand him, and to make us understand him, too. “Why shouldn’t I be treated as seriously as Colette on this?” Roth had asked Miller, of the sex question. “She gave a blow job to this guy in the railway station. Who gives a fuck about that? . . . That doesn’t tell me anything. What did hand jobs mean to her?”
ellauri109.html on line 585: Why shouldn’t I be treated as seriously as Colette on this? She gave a blow job to this guy in the railway station. Who gives a fuck about that? . . . That doesn’t tell me anything. What did hand jobs mean to her? Why did she like that?”
ellauri150.html on line 253: Colette Stevens on Romain Rollandin hahmo nälkävuoden pituisessa sarjassa jossa loputtomasti seikkailee Romainin nenäkäs alter ego Juha-Risto.
ellauri150.html on line 255: Colette Stevens. HR Director. "Regardless of the working relationship, Colette always displays the same valuable characteristics - she is very bright, totally commercial, able to build strong and lasting relationships and is great fun to be around.
ellauri150.html on line 257: Colette Stevens is in one word- incredible! She went above and beyond during our home purchasing process, and well beyond! She was by our side every step of… the way, making sure that we knew exactly where we were in the process, along with what the next steps would be. She was constantly in communication with us and made us feel at ease.
ellauri150.html on line 259: Sori noi oli vääriä Colette Stevensejä. Tässä aito näyte kirjasta La Foire sur la place:
ellauri150.html on line 261: Parmi les jeunes filles du monde, — peu nombreuses d’ailleurs, — que Christophe avait pour élèves, était la fille d’un riche fabricant d’automobiles, Colette Stevens. Son père était Belge, naturalisé Français, fils d’un Anglo-Américain établi à Anvers et d’une Hollandaise. Sa mère était Italienne. C’était une famille bien parisienne. Pour Christophe, — pour bien d’autres, — Colette Stevens était le type de la jeune fille française.
ellauri150.html on line 271: Toutes ces singeries, ces parades de petit chien, cette ingénuité frelatée, ne plaisaient à Christophe en aucune façon. Il avait autre chose à faire qu’à se prêter aux manèges d’une petite fille rouée, ou même qu’à les considérer, d’un œil amusé. Il avait à gagner son pain, à sauver de la mort sa vie et ses pensées. Le seul intérêt pour lui de ces perruches de salon était de lui en fournir les moyens. En échange de leur argent, il leur donnait ses leçons, en conscience, le front plissé, l’esprit tendu vers la tâche, afin de ne se laisser distraire ni par l’ennui qu’elle lui causait, ni par les agaceries de ses élèves, quand elles étaient aussi coquettes que Colette Stevens. Il ne faisait guère plus d’attention à elle qu’à la petite cousine de Colette, une enfant de douze ans, silencieuse et timide, que les Stevens avaient prise chez eux, et à qui Christophe enseignait aussi le piano.
ellauri150.html on line 273: Mais Colette était trop fine pour ne pas sentir qu’avec Christophe toutes ses grâces étaient perdues, et trop souple pour ne pas s’adapter instantanément à ses façons d’être. Elle n’avait même pas besoin de s’appliquer pour cela. C’était un instinct de sa nature. Elle était femme. Elle était comme une onde sans forme. Toutes les âmes qu’elle rencontrait lui étaient comme des vases, dont, par curiosité, par besoin, sur-le-champ, elle épousait les formes. Pour être, il fallait toujours qu’elle fût un autre. Toute sa personnalité, c’était qu’elle ne le restait pas. Elle changeait de vases, souvent.
ellauri150.html on line 279: Dans le salon de l’hôtel aristocratique, décoré de tapisseries un peu pâles, avec, sur un chevalet, au milieu de la pièce, le portrait de la robuste madame Stevens par un peintre à la mode, qui l’avait représentée languissante, comme une fleur sans eau, les yeux mourants, le corps tordu en spirale, pour exprimer la rareté de son âme millionnaire, — dans le grand salon aux baies vitrées, donnant sur de vieux arbres, que la neige poudrait, Christophe trouvait Colette toujours assise devant son piano, ressassant indéfiniment les mêmes phrases, se caressant les oreilles de dissonances moelleuses.
ellauri150.html on line 311: — Mais voulez-vous vous taire ! dit Colette, moitié riante, moitié fâchée. Vous n’avez pas la moindre idée du respect.
ellauri150.html on line 335: — Vous êtes poli ! disait Colette, vexée, — ravie, au fond, d’être ainsi rudoyée.
ellauri150.html on line 337: Elle jouait son morceau, s’appliquant de son mieux ; et, comme elle était habile, elle y réussissait très passablement, parfois même assez bien. Christophe, qui n’était pas dupe, riait en lui-même de l’adresse « de cette sacrée mâtine (sekarotuinen narttu), qui jouait, comme si elle sentait ce qu’elle jouait, quoiqu’elle n’en sentît rien ». Il ne laissait pas d’en éprouver pour elle une sympathie amusée. (Narsismimarkkeri!) Colette, de son côté, saisissait tous les prétextes pour reprendre la conversation, qui l’intéressait beaucoup plus que la leçon de piano. Christophe avait beau s’en défendre, prétextant qu’il ne pouvait dire ce qu’il pensait, sans risquer de la blesser : elle arrivait toujours à le lui faire dire ; et plus c’était blessant, moins elle en était blessée : c’était un amusement pour elle. Mais comme la fine mouche sentait que Christophe n’aimait rien tant que la sincérité, elle lui tenait tête hardiment, et discutait mordicus (izepäisesti). Ils se quittaient très bons amis.
ellauri150.html on line 339: Vizi jopa oli self-satisfied misogynic morceau Romain Rollandilta. Se olikin just sellainen tyyppi. Colette maxaa sille samalla mitalla, vaikkei Risto sitä edes tajua:
ellauri150.html on line 343: Autour de Colette Steve grouillent d'écœurants petits snobs, riches pour la plupart, en tout cas oisifs et qui, tous, prétendent écrire. C'était une névre sous la Troisième République. C'était surtout une forme de paresse vaniteuse le travail intellectuel étant de tous le plus difficile contrôler et celui qui prête le plus au bluff. Ces gens parlent sans cesse de pensée, tout en ne ressemblant attacher d'importance qu'a l'agencement des mots, n'ont d'autre culte que le culte du moi, griment leur esprit, suivent deux ou trois modèles ou miment une idee. La force, la joie, la pitié, la solidarité, le socialisme, l'anarchisme, la foi, la liberté c'étaient des rôles pour eux. Ils avaient le talent de faire des plus chères pensées une affaire de littérature et ramener les plus heroiques elans de l'ame humaine au role d'articles du salon, de cravates a la mode.
ellauri181.html on line 102: Pili haluaa alistaa ja alistua, se haluaa osallistua ja kazella. Se on ehkä vähän perverssi, tai ei niin vähänkään. Bisexuaali Colettekin kolahtaa siihen kuin veizi voihin. Mut mixe kuzuu sen ällön ex-Helenin kylään Clairen kiusaxi? Koska se on niin vitun narsisti, mitä muutakaan. Täähän on kuin chick littiä, nyt Pilillä on TAAS Elisabet ja Birgitta josta valkata. Märkä uni maxapala kädessä. Pilin isä ei arvosta koiria jotka lisääntyvät ilman avioliittoa ja paskantavat maahan. Jutku. Pilin isä on aivan mahdoton sähläri. Olikohan Hermannikin. Pili jäi ikuisixi ajoixi oman laitapuolisuutensa itkijäxi. Se oli epäonnistunut narsisti. Kiltti Claire ei enää saa Pilin piliä värähtämään. Se kaipaa jotain tujumpaa. THE END.
ellauri192.html on line 283: THIS same bias extends to literary forms. We look in vain on the Nobel register for the experimental, formally subversive, controversial movements and texts that distinguish modernism. No Surrealist has been rewarded, no major Expressionist, no poet or playwright out of the seminal world of Dada or absurdism (Andre Breton, Hugo Ball, Gertrude Stein). The boat is not to be rocked. On august occasion, lyric eroticism and even sorrowful homosexuality are admitted to Parnassus. Radical sexual play in style, in ''amoral'' revaluation, are vetoed. The liberating sensualists, such as John Cowper Powys, supreme in English fiction after Hardy, are left out. Colette is nowhere to be found. Her heir in sensuous contrivance, Nabokov, was blackballed.
xxx/ellauri057.html on line 902: Pariisissa eletään mamuina boheemielämää. Tiukka täti Colette käskee nuorta Yrjöä kirjottamaan simppelimmin. Vielä simppelimmin. Vielä! Ennenkaikkea ei literatuuria! Ja vikkelämmin. Colette oli lepakko.
xxx/ellauri084.html on line 760: Colette-elokuva ei läpäissyt Bechdelin testiä, mitä voi pitää merkillisenä, kun muistaa että Colette oli lepakko. Mutta eikös vaan se sen ukkeli työnnetty mukaan kaikkiin niihinkin kohtauxiin. Eihän mieskazojia voi muuten pitää hereillä, ja nehän maxavat varmaan yli puolet leffan kustannuxista.
xxx/ellauri356.html on line 499:

Kristevasta tuli 1979 myös psykoanalyytikko hänen osallistuttuaan Jacques Lacanin seminaareihin. Tätä ajanjaksoa nimitetään Kristevan teoreettiseksi vaiheeksi. Kristeva on 1980-luvun jälkeen käsitellyt temaattisesti erilaisia aiheita, kuten uskon luonnetta ja naisneroja kuten Colette ja Arendt.
xxx/ellauri356.html on line 606: "Uudestisyntyminen ei koskaan ollut voimieni yli" (Colette)
xxx/ellauri356.html on line 610: Ja Colette: "Uudestisyntyminen ei ole koskaan ollut voimieni yläpuolella" Tässä veljeskunnassa täytyy olla nainen! Mä tai Colette. Colettekin oli lepakko.
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