ellauri033.html on line 1171: Vuosina 1897–1902 ilmestyneessä toisessa romaanitrilogiassaan Le Roman de l’énergie nationale (”Kansallisen energian romaani”) Barrès käsittelee muun muassa suhdettaan kotiseutuunsa Lothringeniin (Lorraine). Teosten sanoma kuvastaa hänen omaksumaansa nationalistista katsomusta: side synnyinseutuun ja menneisiin sukupolviin muovaa yksilöt, joten kotiseudun hylkääminen johtaa yksilöllisen identiteetin menettämiseen ja kärsimykseen. Barrèsin myöhemmät romaanit Au Service de l’Allemagne (1905) ja Metzin tyttö (Colette Baudoche, 1909) käsittelevät Saksaan liitetyn Elsass-Lothringenin ranskalaisten asukkaiden lojaliteettiristiriitoja. Näitä teoksia käytettiin Ranskassa sotapropagandana ensimmäisen maailmansodan aikana. Meidän yöjuna pysähtyi Metzissä kun oltiin interreilillä. Tyttöjä ei näkynyt. Paizi Helmiä.
ellauri106.html on line 52: It was not Bailey’s role as a biographer to pass judgment on his subject. He needed only try to understand him, and to make us understand him, too. “Why shouldn’t I be treated as seriously as Colette on this?” Roth had asked Miller, of the sex question. “She gave a blow job to this guy in the railway station. Who gives a fuck about that? . . . That doesn’t tell me anything. What did hand jobs mean to her?”
ellauri109.html on line 374: Flaubert (21-80) arvosteli rakastajatartaan (hyi mikä setämiessana) Louise Coletia os. Révoil (1810-76) kun se oli kirjoittanut pilkkarunon vihaisesti ehkä edellisestä kirjailijahoidostaan Mussetista (1810-57). An artist must not get mad they must get even. Tai joholle.
ellauri109.html on line 375: Colet oli Gustave Flaubertin, Alfred de Musset’n ja Abel Villemainin rakastajatar. (Taas! Eikös ne olleet pikemminkin sen rakastajia? Eivät tosin mitään rakastettavia.) Miehensä kuoleman jälkeen Colet elätti itsensä ja tyttärensä kirjailijana.
ellauri109.html on line 379: Though married to Hippolyte Colet, Louise had a steamy eight-year affair, in two stages, with Gustave Flaubert. The relationship turned sour, however, and they broke up. Louise was allegedly so angered by her breakup with Flaubert, she wrote a novel, Lui, in an effort to target Flaubert. However, Colet's book has failed to have the lasting significance of Madame Bovary.
ellauri109.html on line 383: Flaubert's dozens of long letters to her, in 1846–1847, then especially between 1851 and 1855, are one of the many joys of his correspondence. Many of them are a precious source of information on the progress of the writing of Madame Bovary. In many others, Flaubert gives lengthy appreciations and critical comments on the poems that Louise Colet sent to him for his judgment before offering them for publication. The most interesting of these comments show the vast differences between her and him on the matter of style and literary expression, she being a gushing Romanticist, he deeply convinced that the writer must abstain from gush and self-indulgence.
ellauri109.html on line 387: En 1840, le journaliste Alphonse Karr attribue la paternité de l'enfant qu'elle porte à son amant Victor Cousin dans un article intitulé Une piqûre de Cousin. Furieuse, Louise Colet l'agresse avec un couteau de cuisine qu'elle lui plante dans le dos. Alphonse Karr s'en tire avec une égratignure, et renonce à porter plainte au grand soulagement de Victor Cousin. Il se contente de mettre le couteau dont elle avait voulu le frapper sur une étagère avec cette inscription «Donné par Madame Louise Colet (Dans le dos)». Louise Colet est inhumée dans le vieux cimetière de Verneuil-sur-Avre, où résidait sa fille. En 2016, sa tombe est à l'abandon.
ellauri109.html on line 389: Bien que jouissant d'une célébrité personnelle et d'un succès littéraire certains à son époque, l’œuvre de Louise Colet a connu un certain déclin au cours du XXe siècle, absente de la plupart des manuels d'histoire littéraire. Sa rupture difficile avec Gustave Flaubert à partir de 1856 pourrait y être pour quelque chose, celui-ci ayant dès lors dénigré fermement l’œuvre de son ancienne maîtresse, que d'autres comme Victor Hugo acclamaient.
ellauri109.html on line 391: No niinpä tietysti. Old boys network pelas taas kuin junan vessa. Vitun mursuwiixi kusipää. Se Madame Bovary prujaus oli varmaan vesipäisen Flaubertin Coletista distilloima paha nainen -kertomus.
ellauri109.html on line 403: Louise Colet oli hieman Kata Kärkkäisen näköinen ja yhtä fixu. Ei ihme että runoilijat oli siihen lääpällään. Louisesta en tiedä, mutta Kata olis kyllä tykännyt siitä(kin). Madame Rostas on Louise pienenä. Se lupaa kertoa Mussetista ja kirjeystävästään Luista joka oli mursuviixinen kuulu poeetta. Madamen pihalla kasvaa (tuskin sattumalta) juudaxenpuu.
ellauri109.html on line 416: À partir de 1870, Flaubert est confronté à de nombreux malheurs : sa mère meurt ainsi que Louise Colet et George Sand. Il est également confronté à des problèmes financiers et à des échecs littéraires. Il se met à écrire un roman satirique, « Bouvard et Pécuchet » qui sera publié inachevé en 1881.
ellauri109.html on line 436: Lui est un roman plutôt autobiographique écrit par Louise Colet (1810-1879), un écrivain parisien. Il s'agit de décrire sa relation avec Alfred de Musset, qui la poursuivit de ses assiduités, tout pendant qu'elle conservait une relation distante et épistolaire avec Gustave Flaubert. C'est l'occasion aussi de revenir sur les amours tourmentées de Sand et de Musset, en particulier les épisodes à Fontainebleau et en Italie, déjà largement évoqués dans trois autres romans, La Confession d'un enfant du siècle de Musset, Elle et Lui de Sand, et Lui et elle de Paul de Musset, le frère de l'écrivain.
ellauri109.html on line 439: Cette réaction négative de Flaubert a Colet se retrouve des années avant la rupture définitive.
ellauri109.html on line 441: Une première rupture avec Louise Colet en apporte la preuve. Dans sa lettre datée du dimanche 7 mars 1847, Flaubert ose enfin clamer à quel point il est allergique32 aux valeurs qu’elle véhicule, valeurs qui baignent et macèrent dans le discours ambiant du romantisme humanitaire33 : « tes idées de moralité, de patrie, de dévouement, tes goûts en littérature, tout cela était antipathique à mes idées, à mes goûts. »34 Ce qui vient immédiatement après est l’affirmation d’une esthétique, sur le mode de l’antithèse : « amoureux exclusif de la ligne pure, du galbe saillant, de la couleur criante, de la note sonore, je retrouvais toujours chez toi je ne sais quel ton noyé de sentiment qui atténuait tout, et altérait jusqu'à ton esprit ». Voilà les griefs d’un amant qui ne sépare pas l’art de la vie. Le lexique sentimental se trouve accaparé par le commentaire stylistique : « amoureux exclusif », écrit Flaubert, non pas d’une femme, comme Louise, elle, le voudrait, mais du tracé ferme, il lui reproche son « ton noyé de sentiment » qu’il interprète comme une déperdition de force et de précision. De même, les muscles relâchés, les lignes floues et les déliaisons trahissent le corps du texte féminin.
ellauri109.html on line 455: Ainsi, dans une lettre datée du mardi 6 juillet 1852, il revient sur le récit qu’elle lui a fait de sa promenade au clair de lune avec Musset (on sait que Musset est un spécialiste des bal(l)ades au clair de lune). Flaubert écrit donc longuement sur Musset en réaction à l’épisode que lui rapporte Louise Colet, assez naïve ou ennuyée pour lui faire ce genre de compte rendu détaillé, à moins qu’elle n’ait trouvé là un moyen commode de le provoquer : elle lui raconte la rencontre de nuit, la scène où Musset, ivre de dépit, la jette d’un fiacre en marche.
ellauri109.html on line 461: Il me déplaît pour avoir mis en axiomes et pratique « la Poésie du cœur » (double farce à l'usage des impuissants et des charlatans). En voilà un qui a été peu critique ! Il me paraît avoir eu sur l'humanité le coup d'œil d'un coiffeur sentimental ! Toujours « mon pauvre cœur », toujours les larmes ! — je crois du reste que la mère Colet l'a reproduit assez fidèlement ? et il est facile maintenant de le bien connaître. As-tu remarqué ses affectations de noblesse ? Ses éternels bals aux ambassades ? Comme c'est beau cet homme qui porte sa douleur dans le monde ! — telle qu'un bijou rare, pour l'ébahissement de ces Messieurs et ces Dames !
ellauri109.html on line 585: Why shouldn’t I be treated as seriously as Colette on this? She gave a blow job to this guy in the railway station. Who gives a fuck about that? . . . That doesn’t tell me anything. What did hand jobs mean to her? Why did she like that?”
ellauri150.html on line 253: Colette Stevens on Romain Rollandin hahmo nälkävuoden pituisessa sarjassa jossa loputtomasti seikkailee Romainin nenäkäs alter ego Juha-Risto.
ellauri150.html on line 255: Colette Stevens. HR Director. "Regardless of the working relationship, Colette always displays the same valuable characteristics - she is very bright, totally commercial, able to build strong and lasting relationships and is great fun to be around.
ellauri150.html on line 257: Colette Stevens is in one word- incredible! She went above and beyond during our home purchasing process, and well beyond! She was by our side every step of… the way, making sure that we knew exactly where we were in the process, along with what the next steps would be. She was constantly in communication with us and made us feel at ease.
ellauri150.html on line 259: Sori noi oli vääriä Colette Stevensejä. Tässä aito näyte kirjasta La Foire sur la place:
ellauri150.html on line 261: Parmi les jeunes filles du monde, — peu nombreuses d’ailleurs, — que Christophe avait pour élèves, était la fille d’un riche fabricant d’automobiles, Colette Stevens. Son père était Belge, naturalisé Français, fils d’un Anglo-Américain établi à Anvers et d’une Hollandaise. Sa mère était Italienne. C’était une famille bien parisienne. Pour Christophe, — pour bien d’autres, — Colette Stevens était le type de la jeune fille française.
ellauri150.html on line 271: Toutes ces singeries, ces parades de petit chien, cette ingénuité frelatée, ne plaisaient à Christophe en aucune façon. Il avait autre chose à faire qu’à se prêter aux manèges d’une petite fille rouée, ou même qu’à les considérer, d’un œil amusé. Il avait à gagner son pain, à sauver de la mort sa vie et ses pensées. Le seul intérêt pour lui de ces perruches de salon était de lui en fournir les moyens. En échange de leur argent, il leur donnait ses leçons, en conscience, le front plissé, l’esprit tendu vers la tâche, afin de ne se laisser distraire ni par l’ennui qu’elle lui causait, ni par les agaceries de ses élèves, quand elles étaient aussi coquettes que Colette Stevens. Il ne faisait guère plus d’attention à elle qu’à la petite cousine de Colette, une enfant de douze ans, silencieuse et timide, que les Stevens avaient prise chez eux, et à qui Christophe enseignait aussi le piano.
ellauri150.html on line 273: Mais Colette était trop fine pour ne pas sentir qu’avec Christophe toutes ses grâces étaient perdues, et trop souple pour ne pas s’adapter instantanément à ses façons d’être. Elle n’avait même pas besoin de s’appliquer pour cela. C’était un instinct de sa nature. Elle était femme. Elle était comme une onde sans forme. Toutes les âmes qu’elle rencontrait lui étaient comme des vases, dont, par curiosité, par besoin, sur-le-champ, elle épousait les formes. Pour être, il fallait toujours qu’elle fût un autre. Toute sa personnalité, c’était qu’elle ne le restait pas. Elle changeait de vases, souvent.
ellauri150.html on line 279: Dans le salon de l’hôtel aristocratique, décoré de tapisseries un peu pâles, avec, sur un chevalet, au milieu de la pièce, le portrait de la robuste madame Stevens par un peintre à la mode, qui l’avait représentée languissante, comme une fleur sans eau, les yeux mourants, le corps tordu en spirale, pour exprimer la rareté de son âme millionnaire, — dans le grand salon aux baies vitrées, donnant sur de vieux arbres, que la neige poudrait, Christophe trouvait Colette toujours assise devant son piano, ressassant indéfiniment les mêmes phrases, se caressant les oreilles de dissonances moelleuses.
ellauri150.html on line 311: — Mais voulez-vous vous taire ! dit Colette, moitié riante, moitié fâchée. Vous n’avez pas la moindre idée du respect.
ellauri150.html on line 335: — Vous êtes poli ! disait Colette, vexée, — ravie, au fond, d’être ainsi rudoyée.
ellauri150.html on line 337: Elle jouait son morceau, s’appliquant de son mieux ; et, comme elle était habile, elle y réussissait très passablement, parfois même assez bien. Christophe, qui n’était pas dupe, riait en lui-même de l’adresse « de cette sacrée mâtine (sekarotuinen narttu), qui jouait, comme si elle sentait ce qu’elle jouait, quoiqu’elle n’en sentît rien ». Il ne laissait pas d’en éprouver pour elle une sympathie amusée. (Narsismimarkkeri!) Colette, de son côté, saisissait tous les prétextes pour reprendre la conversation, qui l’intéressait beaucoup plus que la leçon de piano. Christophe avait beau s’en défendre, prétextant qu’il ne pouvait dire ce qu’il pensait, sans risquer de la blesser : elle arrivait toujours à le lui faire dire ; et plus c’était blessant, moins elle en était blessée : c’était un amusement pour elle. Mais comme la fine mouche sentait que Christophe n’aimait rien tant que la sincérité, elle lui tenait tête hardiment, et discutait mordicus (izepäisesti). Ils se quittaient très bons amis.
ellauri150.html on line 339: Vizi jopa oli self-satisfied misogynic morceau Romain Rollandilta. Se olikin just sellainen tyyppi. Colette maxaa sille samalla mitalla, vaikkei Risto sitä edes tajua:
ellauri150.html on line 343: Autour de Colette Steve grouillent d'écœurants petits snobs, riches pour la plupart, en tout cas oisifs et qui, tous, prétendent écrire. C'était une névre sous la Troisième République. C'était surtout une forme de paresse vaniteuse le travail intellectuel étant de tous le plus difficile contrôler et celui qui prête le plus au bluff. Ces gens parlent sans cesse de pensée, tout en ne ressemblant attacher d'importance qu'a l'agencement des mots, n'ont d'autre culte que le culte du moi, griment leur esprit, suivent deux ou trois modèles ou miment une idee. La force, la joie, la pitié, la solidarité, le socialisme, l'anarchisme, la foi, la liberté c'étaient des rôles pour eux. Ils avaient le talent de faire des plus chères pensées une affaire de littérature et ramener les plus heroiques elans de l'ame humaine au role d'articles du salon, de cravates a la mode.
ellauri181.html on line 102: Pili haluaa alistaa ja alistua, se haluaa osallistua ja kazella. Se on ehkä vähän perverssi, tai ei niin vähänkään. Bisexuaali Colettekin kolahtaa siihen kuin veizi voihin. Mut mixe kuzuu sen ällön ex-Helenin kylään Clairen kiusaxi? Koska se on niin vitun narsisti, mitä muutakaan. Täähän on kuin chick littiä, nyt Pilillä on TAAS Elisabet ja Birgitta josta valkata. Märkä uni maxapala kädessä. Pilin isä ei arvosta koiria jotka lisääntyvät ilman avioliittoa ja paskantavat maahan. Jutku. Pilin isä on aivan mahdoton sähläri. Olikohan Hermannikin. Pili jäi ikuisixi ajoixi oman laitapuolisuutensa itkijäxi. Se oli epäonnistunut narsisti. Kiltti Claire ei enää saa Pilin piliä värähtämään. Se kaipaa jotain tujumpaa. THE END.
ellauri192.html on line 283: THIS same bias extends to literary forms. We look in vain on the Nobel register for the experimental, formally subversive, controversial movements and texts that distinguish modernism. No Surrealist has been rewarded, no major Expressionist, no poet or playwright out of the seminal world of Dada or absurdism (Andre Breton, Hugo Ball, Gertrude Stein). The boat is not to be rocked. On august occasion, lyric eroticism and even sorrowful homosexuality are admitted to Parnassus. Radical sexual play in style, in ''amoral'' revaluation, are vetoed. The liberating sensualists, such as John Cowper Powys, supreme in English fiction after Hardy, are left out. Colette is nowhere to be found. Her heir in sensuous contrivance, Nabokov, was blackballed.
xxx/ellauri057.html on line 902: Pariisissa eletään mamuina boheemielämää. Tiukka täti Colette käskee nuorta Yrjöä kirjottamaan simppelimmin. Vielä simppelimmin. Vielä! Ennenkaikkea ei literatuuria! Ja vikkelämmin. Colette oli lepakko.
xxx/ellauri084.html on line 760: Colette-elokuva ei läpäissyt Bechdelin testiä, mitä voi pitää merkillisenä, kun muistaa että Colette oli lepakko. Mutta eikös vaan se sen ukkeli työnnetty mukaan kaikkiin niihinkin kohtauxiin. Eihän mieskazojia voi muuten pitää hereillä, ja nehän maxavat varmaan yli puolet leffan kustannuxista.
xxx/ellauri356.html on line 499:

Kristevasta tuli 1979 myös psykoanalyytikko hänen osallistuttuaan Jacques Lacanin seminaareihin. Tätä ajanjaksoa nimitetään Kristevan teoreettiseksi vaiheeksi. Kristeva on 1980-luvun jälkeen käsitellyt temaattisesti erilaisia aiheita, kuten uskon luonnetta ja naisneroja kuten Colette ja Arendt.
xxx/ellauri356.html on line 606: "Uudestisyntyminen ei koskaan ollut voimieni yli" (Colette)
xxx/ellauri356.html on line 610: Ja Colette: "Uudestisyntyminen ei ole koskaan ollut voimieni yläpuolella" Tässä veljeskunnassa täytyy olla nainen! Mä tai Colette. Colettekin oli lepakko.
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