xxx/ellauri128.html on line 535: Il fut l´élève du philosophe Alain, à qui il sera redevable de son orientation esthétique. À Paris, en 1924, il fait la connaissance de Simone de Caillavet, petite-fille de Madame Arman de Caillavet, née Léontine Lippmann, égérie et maîtresse d´Anatole France, et fille de Gaston Arman de Caillavet, auteur de pièces à succès; elle deviendra sa seconde épouse.
xxx/ellauri202.html on line 218: En 1888, il engage une liaison avec Léontine Arman de Caillavet, qui tient un célèbre salon littéraire de la Troisième République, de qui il dira "sans elle, je ne ferais pas de livres" (journal de l'abbé Mugnier). Cette liaison durera jusqu’à la mort de celle-ci, en 1910, peu après une tentative de suicide à cause d'une autre liaison de France avec une actrice connue pendant un voyage en Amérique du Sud.
xxx/ellauri202.html on line 220: Mme Arman de Caillavet lui inspire Thaïs (1890) et Le Lys rouge (1894). Après une ultime dispute avec son épouse, qui ne supporte pas cette liaison, France quitte le domicile conjugal de la rue Chalgrin, un matin de juin 1892, et envoie une lettre de séparation à son épouse12. Le divorce est prononcé à ses torts et dépens, le 2 août 1893.
xxx/ellauri202.html on line 227: Après le Crime de Sylvestre Bonnard (1881), où il a voulu camper (esquisser) son propre personnage, A. France a successivement publié, dans un registre très varié, empreint de scepticisme et d'une ironie toute voltairienne, la Rôtisserie de la reine Pédauque (1893), si différente du Lys rouge (1894), double hommage à Mme de Caillavet et à l'Italie, du récit de fiction politique (l'Île des pingouins, 1908) ou de la fresque révolutionnaire (Les dieux ont soif, 1912).
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