ellauri033.html on line 1106: Villiers collabore au Figaro à partir d´avril, puis à Gil Blas en août 1884. À cette époque, il se lie avec Léon Bloy et Joris-Karl Huysmans, qui entretient avec lui une correspondance littéraire, et qui publie À rebours, où Villiers apparaît comme l´un des auteurs préférés du héros, des Esseintes.
ellauri060.html on line 973: Bloy Léon">Bloy: Histoires désobligeantes (1894)

  • ellauri161.html on line 828: D´après Raïssa Maritain, la conversion de Léon Bloy doit beaucoup à Ernest Hello ; on trouve de nettes traces de son influence dans le Journal d´un curé de campagne de Georges Bernanos et dans l´exégèse biblique de Paul Claudel ; Henri Michaux le reconnaît également comme l´une de ses sources.
    ellauri161.html on line 899: Blanc de Saint-Bonnet, Louis de Bonald, Karl Ludwig von Haller, Donoso Cortés, Comte, Rosmini, Barbey d'Aurevilly, Bloy, Maurras, Bernanos, Charles Baudelaire, Boutang, Schmitt, René Girard, René Guénon et toute la tradition contre-révolutionnaire et catholique traditionaliste.
    ellauri161.html on line 936: Joseph de Maistre eut également une postérité à la fois plus spirituelle et plus littéraire, via plusieurs auteurs qu'il influença considérablement : Honoré de Balzac, mais surtout Charles Baudelaire (par exemple dans ses poèmes Correspondances ou Réversibilité), Antoine Blanc de Saint-Bonnet, Jules Barbey d'Aurevilly et Ernest Hello, lesquels ont marqué ensuite toute la littérature catholique du XXe siècle - de Léon Bloy, Bernanos et Paul Claudel jusqu'à Marc-Edouard Nabe. Sans oublier Léon Tolstoï, notamment dans La Guerre et la Paix. Wauzi wauz, tässäpä jäbässä on paxulti pahaa vettä salaliittoteoristien myllyyn!
    ellauri161.html on line 976: Leon Bloyn mielestä Hello oli runoilija: Je ne vois guère d’analogue à cet écrivain désorbité que le solitaire Pascal. Ils sont, en effet, tous deux, surtout des poètes et l’étonnement du lecteur est infiniment plus déterminé par leur accent que par leurs pensées. »
    ellauri161.html on line 978: Kekäs sit oli tää Bloy? Nietzschewiixinen turvelo. Léon Bloy, né le 11 juillet 1846 à Périgueux et mort le 3 novembre 1917 à Bourg-la-Reine, est un romancier et essayiste français. Connu pour son roman Le Désespéré, largement inspiré de sa relation avec Anne-Marie Roulé, il est aussi un polémiste célèbre.
    ellauri161.html on line 980: Léon Henri Marie Bloy, né à Périgueux le 11 juillet 18463, est le fils de Jean-Baptiste Bloy, fonctionnaire aux Ponts et Chaussées et franc-maçon (ilmeisesti voltairelainen ateisti), et d´Anne-Marie Carreau, une ardente catholique et disciplinarienne, fille d´un soldat français qui rencontra une Espagnole pendant les guerres napoléoniennes, en 1814. Il est le deuxième d´une fratrie de sept garçons : Paul, Georges, Marc, Henri, Albert, Jules.
    ellauri161.html on line 982: Ses études au lycée de Périgueux sont médiocres : retiré de l´établissement en classe de quatrième, il continue sa formation sous la direction de son père, qui l´oriente vers l´architecture. Bloy commence à rédiger un journal intime, s´essaie à la littérature en composant une tragédie, Lucrèce, et s´éloigne de la religion. En 1864, son père lui trouve un emploi à Paris, il entre comme commis au bureau de l´architecte principal de la Compagnie ferroviaire d´Orléans. Médiocre employé, Bloy rêve de devenir peintre et s´inscrit à l´École des beaux-arts. Il écrit ses premiers articles, sans toutefois parvenir à les faire publier, et fréquente les milieux du socialisme révolutionnaire et de l´anticléricalisme.
    ellauri161.html on line 984: Siis varsin keskinkertainen kaveri. Sitten se tapaa ton Barbapapan, joka käännyttää sen takaisin äitikirkkoveneeseen. En décembre 1868, il fait la connaissance de Jules Barbey d´Aurevilly, qui habite en face de chez lui, rue Rousselet (Léon Bloy habite au numéro 24h). C´est l´occasion pour lui d´une profonde conversion intellectuelle, qui le ramène à la religion catholique, et le rapproche des courants traditionalistes. C´est Barbey qui le familiarise avec la pensée du philosophe Antoine Blanc de Saint-Bonnet, « une des majestés intellectuelles de ce siècle », dira Bloy plus tard. Par la suite, Ernest Hello eut également une très forte influence sur lui ; il semble même que ce soit lui qui l´ait incité à écrire.
    ellauri161.html on line 986: Bloy ottaa osaa bravuurina ranskalaisten häpeäsotaan 1870-71. Sitten aika toimetonta tunarointia, kunnes vanhemmat kuolevat, ja Bloy alkaa seukata ex-lutkan Anne Marie Roulén kaa, jonka se käännyttää, päinmakuultako selinmakuulle, ei selviä. Anna osoittautuu meedioxi, ja Bloy alkaa vakavammin sekoilla symbolien kaa. Lopulta Anna sekoaa ihan kokonaan ja joutuu pöpilään. Bloy alkaa kaveerata Huysmansin kaa ja tapailee Isle-Adamia. Se on kuin André Breton, joutuu aina kaverien kanssa hakauxiin. La mort de Barbey d´Aurevilly en avril 1889 puis celle de Villiers de l´Isle-Adam en août l´affectent profondément, tandis que son amitié avec Huysmans se fissure. Elle ne survivra pas à la publication de Là-Bas (1891), où Bloy se trouve caricaturé.
    ellauri161.html on line 990: Bloy was noted for personal attacks, but he saw them as the mercy or indignation of God. He acquired a reputation for bigotry because of his frequent outbursts of temper. Soon, Bloy could count such prestigious authors as Émile Zola, Guy de Maupassant, Ernest Renan, and Anatole France as his enemies. Bloy is quoted in the epigraph at the beginning of Graham Greene´s novel The End of the Affair, though Greene claimed that "this irate man lacked creative instinct." Bloy is also quoted at the beginning of John Irving´s A Prayer for Owen Meany, another turd. Some pope quoted him, yet another turd.
    ellauri161.html on line 992: Kuten muiltakin keskinkertaisuuxilta, Bloylta on jäänyt viljalti töräyxiä. Esim.
    ellauri161.html on line 1026: A reboursista nousi hirmuinen somekohu. Pahinta oli ettei Huisku pitänyt Virgilistä. No en minäkään. Ainut joka ymmärsi oli Barbapapa. Sama joka käännytti hullun naapurinsa Leon Bloyn.
    ellauri172.html on line 114: Jos. de Maistren, kivenkovan lahkolaisen, pitkäveteisen, onton, korskean ja pompöösin Huisman piilottaa hyllyn taaxe. Hyllyyn jää vain harhaileva, huikentelevainen, tärkeilevä ja monisäikeinen Hello. Sen ajatuxet hiutuvat niin ohkasixi että ne pitäis kuuppeloittaa jollain jumoavalla aineella.Taidokas psykologi ja hurskas niuhottaja yxissä kansissa. Sappivaivojen jäytämä saarnamies, kostonhimoinen ja pöyhkeä. Ihmeellisistä asioista voi puhua vain sopertaen. Kuten Ruisbrookista, josta on jo paasaus. Le Bloy ja Barney d'Aurevilly saapastelevat myös framille. Katolisten 2 sudenkuoppaa ovat mystiikka ja sadismi. Saxanpolkkaa tapernaakkelissa. Löytyisköhän Barneyn romsku Un pretre marié jostakin? Ai onhan tää wikisourcessa.
    ellauri206.html on line 252: IL fréquente le salon de Charles Buet, où il rencontre Jules Barbey d'Aurevilly, Joris-Karl Huysmans, François Coppée, Léon Bloy, Laurent Tailhade et autres cretins. Il rencontre Edmond de Goncourt, avec qui il restera lié jusqu'à la mort de ce dernier en 1896, et qui fut son principal protecteur. Edmond de Goncourt, dans la récente édition complète en 22 volumes du Journal des Goncourt, se montre curieux de toutes les questions sexuelles et particulièrement de l'homophilie. À partir de 1884, Edmond de Goncourt, jusque-là banalement réactionnaire, devient un antisémite enragé, Jésus l'a sauvé après 27 années d'homosexualité. Il se veut esthète et dandy en même temps qu'explorateur tapageux du vice et de la vulgarité, curieux assemblage qui verse souvent dans le pire mauvais goût, et qui lui vaut le mépris hautain de Robert de Montesquiou, dont Lorrain, pour sa part, fait volontiers sa tête de Turc pour sa prétention à l'élégance et à la chasteté. « Lorrain », écrit Léon Daudet dans ses Souvenirs, « avait une tête poupine et large à la fois de coiffeur vicieux, les cheveux partagés par une raie parfumée au patchouli, des yeux globuleux, ébahis et avides, de grosses lèvres qui jutaient, giclaient et coulaient pendant son discours. Son torse était bombé comme le bréchet de certains oiseaux charognards. Lui se nourrissait avidement de toutes les calomnies et immondices. »
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