ellauri012.html on line 624: Après ces instructions, qui doivent tenir la première place, je crois qu’il n’est pas inutile de laisser aux filles, selon leurs loisirs et la portée de leur esprit, la lecture des livres profanes qui n’ont rien de dangereux pour les passions : c’est même le moyen de les dégoûter des comédies et des romans. Donnez-leur donc les histoires grecques et romaines ; elles y verront des prodiges de courage et de désintéressement. Ne leur laissez pas ignorer l’histoire de France, qui à aussi ses beautés ; mêlez celles des pays voisins, et les relations des pays éloignés judicieusement écrites. Tout cela sert à agrandir l’esprit, et à élever l’âme à de grands sentiments, pourvu qu’on évite la vanité et l’affectation.
ellauri033.html on line 272: excepter l´amour même. Après quelques mois de cette parodie délirante,
ellauri033.html on line 399: capucinades. Après avoir convaincu la morale laïque des pires
ellauri036.html on line 393: Après trois jours de marche, attend un jour d'orage
ellauri049.html on line 843: Après tant d’orgueil, après tant d’étrange Näin määrättömän ylpeyden, näin oudon
ellauri055.html on line 1143: Né à Gand, Maurice Maeterlinck est l'aîné d'une famille de trois enfants, flamande, bourgeoise, catholique, conservatrice et francophone. Après des études au collège Sainte-Barbe (Sint-Barbara) de Gand, il suit des études en droit avant de pratiquer le métier d'avocat durant une courte période. Maeterlinck publie, dès 1885, des poèmes d’inspiration parnassienne dans La Jeune Belgique. Il part pour Paris où il rencontre plusieurs écrivains qui vont l'influencer, dont Stéphane Mallarmé et Villiers de l’Isle-Adam. Ce dernier lui fait découvrir les richesses de l'idéalisme allemand (Hegel, Schopenhauer). À la même époque, Maeterlinck découvre Ruysbroeck l'Admirable, un mystique flamand du XIVe siècle dont il traduit les écrits (Ornement des noces spirituelles). C'est ainsi qu'il se tourne vers les richesses intuitives du monde germanique en s'éloignant du rationalisme français. Dans cet esprit, il se consacre à Novalis et entre en contact avec le romantisme d'Iéna (Allemagne, 1787-1831, autour d'August et Friedrich Schlegel et de la revue l'Athenäum), précurseur en droite ligne du symbolisme. Les œuvres que publie Maeterlinck entre 1889 et 1896 sont imprégnées de cette influence germanique.
ellauri117.html on line 49: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
ellauri145.html on line 167: Après la démission de Bugeaud, en juin 1847, Borel est nommé inspecteur de la colonisation à Mostaganem, le 19 juillet. Le 2 septembre, il se marie à Alger avec Gabrielle Claye, dite Béatrix, fille de sa maîtresse Marie-Antoinette Claye et d´Augustin Claye (mort en 1827), âgée de 19 ans, avant de prendre son poste à Mostaganem le 7 septembre.
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 625: Paha Mesnilgrand heittää vittuilumielessä Le Capentierin pystiä appelsiininkuorella. Sous la Restauration, au retour des Bourbons, il est exilé comme régicide, en 1816 : il trouve refuge à l'île de Guernesey, mais en est chassé par les autorités britanniques et revient de façon clandestine dans la Manche, se cachant dans le canton des Pieux. Après trois années de recherches, il est de nouveau arrêté, le 6 novembre 1819, sur dénonciation. Condamné à la prison à perpétuité, il meurt dans la prison du Mont-Saint-Michel, où il chantait les louanges de la famille royale et répondait comme servant à la messe tous les matins. Sa dépouille est décapitée et enterrée dans le cimetière d'Ardevon. Päätöntä touhua.
ellauri172.html on line 710: « Je n’ai plus eu jamais des nouvelles de la Rosalba, dite la Pudica, — répondit Mesnilgrand. — Est-elle morte ? A-t-elle pu vivre encore ? Le chirurgien a-t-il pu aller jusqu’à elle ? Après la surprise d’Alcudia, qui nous fut si fatale, je le cherchai. Je ne le trouvai pas. Il avait disparu, comme tant d’autres, et n’avait pas rejoint les débris de notre régiment décimé.
ellauri172.html on line 759: Après avoir soumis le Groenland à son autorité en 1023, Knut lui envoie une ambassade pour lui réclamer la couronne vers 1024-1025, ce qu'il refuse en s'alliant au roi de Suède Anund Jacob, et il lui livre une bataille navale sans vainqueur en 1026 (bataille de l'Helgeå). Cette confrontation eut des conséquences graves pour Olaf, car Knut bloqua le détroit de l’Øresund entre la Scanie et le Danemark et Olaf ne put ramener sa flotte en Norvège. Il dut l'abandonner en Scanie et rentrer par voie de terre et cette perte l'affaiblit.
ellauri172.html on line 761: Knut, après un pèlerinage à Rome, débarque en Norvège en 1028 et se proclame roi à Nidaros. Olaf se réfugie alors en Suède avec quelques barons fidèles comme Finn Arnesson et ses frères Torberg et Arni et Rognvald Brusason. Après deux ans d'exil, en 1029, il tente un retour en Norvège mais est battu et tué à Stiklestad le 29 juillet 1030 à l'âge de 35 ans.
ellauri203.html on line 206: En attendant la construction de leur nouvelle résidence (baptisée « palais Marie »), Maximilien et son épouse s'installent au palais d'Hiver. Ils y restent jusqu'en 1845 et c'est là que naissent leurs quatre premiers enfants, Alexandra, Marie, Nicolas et Eugénie. Après cette date, le couple peut enfin prendre son indépendance et Maximilien transfère ses collections de tableaux, d'armes et de minéraux en Russie. Une bonne partie d'entre elles se trouvent aujourd'hui au musée de l'Ermitage ou dans d'autres institutions du pays.
ellauri210.html on line 871: Après avoir passé une soirée à Paris avec un vieil ami, Jacques Porel, le matin du 6 novembre 1929 Jacques Rigaut rentre à Châtenay-Malabry, où il se suicide d’une balle de revolver tirée en plein cœur.
ellauri210.html on line 1354: Je l’ai deshabillé pour voir ce que c’ètait au juste. Après sa petite culotte de dedans, j’en ai vu deux. Un comme moi, minuscule lui et encore autre pas pareil mais pareil que les petites filles qui font pipi sur le trottoir.
ellauri247.html on line 211: Alain-René Lesage ou Le Sage, né le 8 mai 1668 à Sarzeau1 et mort le 17 novembre 1747 à Boulogne-sur-Mer, est un romancier et dramaturge français. Bien qu’il soit aujourd’hui surtout connu pour son roman picaresque Histoire de Gil Blas de Santillane, Lesage est l’auteur d’une importante production théâtrale. Il a notamment contribué au développement et au renouvellement du « théâtre de la Foire » Après les marionnettes et les danseurs de corde, les acteurs forains en vinrent progressivement à jouer de véritables petites comédies, souvent écrites par des auteurs de renom et de talent. Toujours modeste, c’est par ses ouvrages seuls qu’il obtint sa réputation, et jamais il ne rechercha les dignités et les titres littéraires. Nietsche piti Gil Blasista enemmän kuin Shakespearesta. Varmaan se oli parempi kuin tuo nenäkäs skottitohtori.
ellauri266.html on line 456: Un manuscrit enfermé dans une bouteille est retrouvé dans l´espace par Jinn et Phyllis, un couple en voyage spatial. Ce manuscrit raconte l´histoire suivante : en l’an 2500, le savant professeur Antelle a organisé une expédition pour l’exploration de l’étoile supergéante Bételgeuse. Il a embarqué à bord de son vaisseau son disciple, le jeune physicien Arthur Levain, et le journaliste, narrateur de cette aventure, Ulysse Méroua 12 ainsi qu’un chimpanzé baptisé Hector et plusieurs plantes et animaux pour ses recherches scientifiques dans l’espace. Arrivés à proximité de l´étoile, ils distinguent quatre planètes gravitant autour d´elle. L’une d’entre elles ressemble étrangement à la Terre. Ils décident alors de l’explorer. À bord d’un « engin à fusée » qu´ils nomment chaloupe, les trois aventuriers survolent des villes, des routes, des champs avant d’atterrir dans une forêt1. Après avoir effectué des tests, ils quittent leur chaloupe et découvrent l’étonnante ressemblance de l’atmosphère de cette planète, qu’ils baptisent Soror, avec celle de la Terre. Ils enlèvent leurs scaphandres et assistent impuissants à la fuite d’Hector. Par curiosité, ils s’engagent dans la forêt et arrivent à un lac naturel dont l’eau limpide leur donne envie de se baigner. Mais à leur grande surprise, ils découvrent au bord du lac les traces de pas humains.
ellauri266.html on line 476: Après avoir été nommé directeur de l’Institut des recherches biologiques, Cornélius désigne Ulysse comme son collaborateur et l’amène sur un site archéologique daté de plus de dix mille ans. Cornélius espère y trouver des indices sur l’origine des singes et de leur civilisation car ils ne savent absolument rien au-delà de dix mille ans d´histoire, période depuis laquelle ils ont très peu évolué. Cornélius y découvre une poupée d´apparence humaine habillée et parlante, confirmant son pressentiment selon lequel les humains avaient régné en maîtres sur leur planète avant les singes.
ellauri349.html on line 490: Raymond Claude Ferdinand Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu aisé des deux côtés. Ses parents sont Gustave Émile Aron (1870-1934) et Suzanne Levy (1877-1940). Son grand-père maternel, Léon Levy, possédait une usine de textile dans le nord de la France. Sa famille paternelle venait de Lorraine où elle était établie depuis la fin du XVIIIe siècle. Son grand-père paternel, Isidore (dit Ferdinand) Aron, était grossiste en textile à Rambervillers, puis Nancy (Lorraine). Un de ses grand-oncles paternels, Paul Aron, était le père de Max Aron, médecin biologiste à la faculté de médecine de Strasbourg. Ferdinand, le grand-père paternel de Raymond, prédit à celui-ci à sa naissance une grande carrière. Gustave Aron refusa de prendre la suite de l'affaire familiale et fit de brillantes études de droit; il publia des travaux juridiques, mais n'étant reçu que deuxième à l'agrégation de droit alors qu'un seul poste était attribué, il abandonna la perspective d'enseigner à l'université et devint professeur de droit à l'École normale supérieure de l'enseignement technique. Il arrêta de travailler au début du XXe siècle, vécut dès lors de l'héritage familial et fit construire une maison à Versailles en 1913-1915 avec un court de tennis. La famille Aron retourna ensuite à Paris. Après la guerre, Gustave Aron investit en bourse, mais sa fortune fut perdue du fait de la crise économique de 1929 et il fut obligé de reprendre un emploi. Il mourut en 1934 d'une crise cardiaque. La mère de Raymond mourut en juin 1940 à Vannes.
ellauri349.html on line 492: Cette fortune familiale disparue avait permis aux trois enfants Aron de mener une vie aisée et de faire de bonnes études. Le frère aîné de Raymond, Adrien Aron (1902-1969), a étudié au lycée Hoche et poursuit par une classe de mathématiques supérieures et une licence en droit[7], mais il était plus attiré par une vie facile et devint un grand joueur de tennis et de bridge et mena une vie de « flambeur », à l'opposé de Raymond et au grand dam de leur père. Avant la naissance d'Adrien, la mère avait accouché d'un enfant mort-né. Après Raymond vint un troisième garçon, Robert Aron, qui obtint une licence en droit et en philosophie, publia une étude sur Descartes et Pascal[Laquelle ?] et après son service militaire entra dans l'administration de la Banque de Paris et des Pays-Bas (devenue en 1982 Paribas, qui fut ensuite rachetée en 2000 par la BNP pour former BNP Paribas), selon certains grâce à Raymond, qui jouait régulièrement au tennis avec son directeur.
xxx/ellauri057.html on line 937: En 1952, il est reçu à l’Académie royale de Belgique et il revient définitivement en Europe le 18 mars 1955. Après une période mouvementée sur la Côte d'Azur à côtoyer la jet set, il finit par s’installer en Suisse dans le château d'Echandens en 1957.
xxx/ellauri075.html on line 102: Après son service militaire (1890), il effectue un stage au sein d'un cabinet d'avocats de Moscou, tout en gérant l'entreprise paternelle sauvée de la faillite en 1891. Il commence une liaison clandestine avec une employée de confession orthodoxe, Aniouta Listopadova, qui lui donne un fils, Sergueï Listopadov, né en 1892, qu'il ne reconnaît pas.
xxx/ellauri116.html on line 434: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
xxx/ellauri126.html on line 466: Matthieu Ricard, né le 15 février 1946 à Aix-les-Bains (France)1, est un essayiste et photographe français. Après l'obtention d'un doctorat en génétique, il devient moine bouddhiste tibétain. Il réside principalement au monastère de Shéchèn au Népal. Traducteur depuis le tibétain vers le français et l'anglais, il est depuis 1989 l’interprète en français du dalaï-lama.
xxx/ellauri128.html on line 546: Après la guerre apparaissent les Pièces brillantes qui jouent sur la mise en abyme du théâtre au théâtre (La Répétition ou l´Amour puni en 1947, Colombe en 1951), puis les Pièces grinçantes, comédies satiriques comme Pauvre Bitos ou le Dîner de têtes (1956). Dans la même période, Jean Anouilh s´intéresse dans des Pièces costumées à des figures lumineuses qui se sacrifient au nom du devoir : envers la patrie comme Jeanne d´Arc dans L´Alouette (1953) ou envers Dieu comme Thomas Becket (Becket ou l´Honneur de Dieu en 1959). Le dramaturge a continué dans le même temps à servir le genre de la comédie dans de nombreuses pièces où il mêle farce et ironie (par exemple Les Poissons rouges ou Mon père ce héros en 1970) jusque dans les dernières années de sa vie.
xxx/ellauri128.html on line 600: Agnostique élevé dans le protestantisme, Jacques Maritain se convertit à la foi catholique en 1906 et cette religion a profondément imprégné sa philosophie. Après une phase anti-moderniste, où il était proche de l´Action française, sans y adhérer, il s´en éloigna et finit par accepter la démocratie et la laïcité (Humanisme intégral, 1936). Son œuvre fut liée de près à l´éclosion de la démocratie chrétienne, malgré les réserves de Maritain lui-même à propos de son organisation concrète.
xxx/ellauri129.html on line 619: Après avoir été fiancé avec Mlle Dietz-Monnin, petite-fille du sénateur Charles Dietz-Monnin, il rompt ses fiançailles et épouse, en 1910, Marie-Thérèse de Chevigné, veuve de Maurice Bischoffsheim (1875-1904), arrière-petite-fille par sa mère du marquis de Sade et mère de Marie-Laure de Noailles. Ils font aménager à partir de 1912 la villa Croisset à Grasse. À partir de 1934 et jusqu'à sa mort le 8 novembre 1937, il vécut avenue Gabriel à Paris. Élégant, brillant et mondain, il inspire à Marcel Proust la métamorphose de Bloch en Jacques du Rozier dans À la recherche du temps perdu. Tosi kova streeberi, joka antoi Marcelille kimmokkeen ruveta snobixi izekin.
xxx/ellauri137.html on line 249: Après s'être lavés au fond des mers profondes?
xxx/ellauri139.html on line 1022: Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château et mort le 16 novembre 1780 à Paris, est un poète lorrain francophone. Son père, maire de Fontenoy-le-Château, propriétaire de deux fermes, y exerce le métier de marchand de grains. Son éducation est confiée au curé du village, un jésuite qui, voyant en lui « un esprit apte à être éduqué », lui apprend le latin. Puis le jeune Nicolas part faire ses humanités au collège de l'Arc à Dole. Après 1770, il part pour Paris, avec en poche ses premiers vers, ainsi qu’une lettre, signée de Mme de La Verpillière, femme du prévôt des marchands de Lyon et mécène. Cette lettre recommande le jeune poète à D’Alembert. Il semble que D’Alembert, lui ayant promis une place de précepteur, n’honore pas cette espérance, et le reçoit d’ailleurs assez froidement. Gilbert s'en souviendra quand il composera sa satire du Dix-huitième siècle :
xxx/ellauri202.html on line 220: Mme Arman de Caillavet lui inspire Thaïs (1890) et Le Lys rouge (1894). Après une ultime dispute avec son épouse, qui ne supporte pas cette liaison, France quitte le domicile conjugal de la rue Chalgrin, un matin de juin 1892, et envoie une lettre de séparation à son épouse12. Le divorce est prononcé à ses torts et dépens, le 2 août 1893.
xxx/ellauri202.html on line 225: Il vit au milieu des livres, la cité des livres, mais se lance à la recherche, en Sicile et à Paris, du précieux manuscrit de La Légende dorée qu’il finit un jour par obtenir. Le hasard lui fait rencontrer la petite fille d’une femme qu’il a jadis aimée et, pour "protéger" l’enfant d’un autre tuteur abusif, il l’enlève. Après plusieurs années de bon usage par Sylvestre, la jeune fille épousera un élève de M. Bonnard. Tollanen pedofiilinen Goethen Mignon taas.
xxx/ellauri202.html on line 227: Après le Crime de Sylvestre Bonnard (1881), où il a voulu camper (esquisser) son propre personnage, A. France a successivement publié, dans un registre très varié, empreint de scepticisme et d'une ironie toute voltairienne, la Rôtisserie de la reine Pédauque (1893), si différente du Lys rouge (1894), double hommage à Mme de Caillavet et à l'Italie, du récit de fiction politique (l'Île des pingouins, 1908) ou de la fresque révolutionnaire (Les dieux ont soif, 1912).
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