ellauri014.html on line 1157: O grand Etre ! Etre éternel, suprême intelligence, source de vie et de félicité, créateur, conservateur, père de l’homme et roi de la nature, Dieu très puissant, très bon, dont je ne doutai jamais un moment, et sous les yeux duquel j’aimai toujours à vivre ! je le sais, je m’en réjouis, je vais paraître devant ton trône.
ellauri032.html on line 173: que je n’en sois pas séparé éternellement.
ellauri032.html on line 175: Cette est la vie éternelle, qu’ils te connaissent seul vrai Dieu et celui que tu as envoyé J.-C.
ellauri033.html on line 838: Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
ellauri033.html on line 1022: Il lègue à ce qu’il aime une éternelle vie, se testamenttaa rakkaalle iki-iäkkyyden
ellauri033.html on line 1049: Dans l’éternel oubli tombe ce qu’il moissonne : Päättymätön amnesia syö sen niittämät:
ellauri033.html on line 1064: Un silence éternel succède à ses amours ; Iänikuinen hiljaisuus seuraa panoa;
ellauri033.html on line 1093: Considérer sa propre destinée comme un corollaire dans cette géometrie vivante qui est la nature, et par suite comme une conséquence inévitable de cet axiome éternel dont le développement indéfini se prolongue à travers le temps et l´espace, tel est le unique principe de l´affranchissement.
ellauri033.html on line 1112:
La Gloire complètement deshabillée tirant Auguste de Villiers de l´Isle Adam de son cravate éternel - Musée Carnavalet

ellauri036.html on line 227: Hercule promenait l'éternelle justice,
ellauri036.html on line 277: Jette au gouffre éternel tes anges mutilés.
ellauri036.html on line 346: Dieu l'avait fait. Hercule, fatigué de sa tâche éternelle,
ellauri036.html on line 539: De ses phalanges d'or en fit l'âge éternel!
ellauri036.html on line 569: Ô chaos éternel! prostituer l'enfance 1
ellauri036.html on line 685: Ces paroles sans nom, et pourtant éternelles,
ellauri036.html on line 756: Qui tombe en tournoyant dans l'abîme éternel?
ellauri036.html on line 811: Tu n'as voulu pour toi l'éternelle jeunesse
ellauri036.html on line 812: Qu'afin de lui verser l'éternelle beauté!
ellauri036.html on line 846: Quand tout était fini, quand la nuit éternelle
ellauri036.html on line 905: Quand elle tombera dans l'éternelle nuit!
ellauri036.html on line 944: Doive éternellement ne prendre à sa maîtresse
ellauri049.html on line 425: Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, pokien keikuttavilla ikimainingeilla,
ellauri049.html on line 510: Fileur éternel des immobilités bleues, sinisten kiinteistöjen alituinen viilaaja,
ellauri049.html on line 817: Ouvrages purs d’une éternelle cause, iankaikkisen syyn puhtaat saavutuxet,
ellauri049.html on line 934: Ce crâne vide et ce rire éternel ! Tää tyhjä kallo ja nauru loppumaton!
ellauri109.html on line 461: Il me déplaît pour avoir mis en axiomes et pratique « la Poésie du cœur » (double farce à l'usage des impuissants et des charlatans). En voilà un qui a été peu critique ! Il me paraît avoir eu sur l'humanité le coup d'œil d'un coiffeur sentimental ! Toujours « mon pauvre cœur », toujours les larmes ! — je crois du reste que la mère Colet l'a reproduit assez fidèlement ? et il est facile maintenant de le bien connaître. As-tu remarqué ses affectations de noblesse ? Ses éternels bals aux ambassades ? Comme c'est beau cet homme qui porte sa douleur dans le monde ! — telle qu'un bijou rare, pour l'ébahissement de ces Messieurs et ces Dames !
ellauri146.html on line 464: « Une lutte éternelle en tout temps, en tout lieu, "Ikuinen taistelu maalla, merellä ja ilmassa,
ellauri152.html on line 573: Ahasvérus dit le Juif errant est un personnage légendaire, condamné à l'errance éternelle pour avoir refusé à Jésus marchant au supplice de se reposer sur le seuil de sa maison.
ellauri152.html on line 574: Ce mythe, qui paraît fort ancien et dont certains érudits vont chercher l'origine jusque dans l'Inde bouddhique, se précise à partir du xiiie siècle dans l'Historia major du bénédictin anglais Matthieu Pâris. sous diverses formes. C'est dans les pays de langue allemande que la figure d'Ahasvérus connaît la plus grande faveur, à la suite d'une version de la légende due à Chrysostomus Dudulaeus qui présente l'aventure du « Juif éternel » (1602) comme un récit quasiment autobiographique. La traduction française de ce livre imposera l'expression « Juif errant » (1609). Dès lors, la légende se répand par l'imagerie populaire et les estampes, les complaintes, dont la plus célèbre est celle d'Isaac Laquedem. Le Juif errant, qui personnifie le destin du peuple juif depuis le christianisme, a inspiré de nombreux écrivains : Wordsworth, Goethe, Eugène Sue, Apollinaire. Cette figure légendaire n'a cessé d'alimenter, à l'encontre des Juifs, une dangereuse satire sociale. Elle est, pour une part, responsable de la genèse de l'agitation antisémite des temps modernes. Pour en savoir plus, voir l'article antisémitisme.
ellauri164.html on line 80: J’ai avalé une fameuse gorgée de poison. — Trois fois béni soit le conseil qui m’est arrivé ! — Les entrailles me brûlent. La violence du venin tord mes membres, me rend difforme, me terrasse. Je meurs de soif, j’étouffe, je ne puis crier. C’est l’enfer, l’éternelle peine ! Voyez comme le feu se relève ! Je brûle comme il faut. Va, démon !
ellauri164.html on line 86: Et c’est encore la vie ! — Si la damnation est éternelle ! Un homme qui veut se mutiler est bien damné, n’est-ce pas ? Je me crois en enfer, donc j’y suis. C’est l’exécution du catéchisme. Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre. Pauvre innocent ! L’enfer ne peut attaquer les païens. — C’est la vie encore ! Plus tard, les délices de la damnation seront plus profondes. Un crime, vite, que je tombe au néant, de par la loi humaine.
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri192.html on line 117: Combien de maîtresses de maison lui demandérent-elles, à titre de faveur insigne, de dire à leurs invités le Vase brisé? Elles ne se doutaient pas que si l’homme du monde s’exécutait, après les résistances d’usage, le poéte grondait en dedans à la pensée de débiter une fois de plus cet éternel “pot cassé” qu’il avait fini par prendre en horreur. “Qu’il se brise sur leur nez, ce vase!” s’écriait-il dans un accés de fureur.
ellauri324.html on line 157: Dieu a-t-il créé le mal, qu'en pensez-vous ?Se peut-il que la terre soit en fait l'enfer? Irez-vous dans le monde entier proclamer la Bonne Nouvelle de Dieu, à toute la Création, qu’un Sauveur vous a été donné pour vous sauver de la mort éternelle? Est-ce que c'est bien de sortir avec une femme de 35 ans si j'ai 19 ans? Pourquoi le judaisme, pourtant apparu en premier, n'est pas arrivé à s'étendre dans le monde comme le christianisme ou l'islam ?
ellauri339.html on line 325: Voilà le mot d'ordre éternel. Tämä on ikuinen tunnussana.
xxx/ellauri139.html on line 896: « L’éternel cyprès se balance ; Ikuinen sypressi tasapainoilee
xxx/ellauri173.html on line 540: Coule pour tout l’essaim éternel du désir.

xxx/ellauri176.html on line 349: Et ta soeur solitaire, à ma soeur éternelle, Ja sun yxinäinen sisko, mun ikuinen sisko,
xxx/ellauri376.html on line 640: Qui rend l’univers éternel ;
40