ellauri033.html on line 370: sensualité. Les égarements qu´il réprouve avec le plus d´indignation, il
ellauri036.html on line 821: Si vous n'éprouvez rien, qu'avez-vous donc en vous
ellauri055.html on line 90: Zweig de son côté, éprouve les mêmes sentiments. En 1935, il écrit à sa femme Friderike :
ellauri097.html on line 258: Julien Green est né à Paris, 4, rue Ruhmkorff, de parents américains, descendant du côté de sa mère du sénateur et représentant démocrate de la Géorgie au congrès américain Julian Hartridge (en) (1829-1879) et dont Julien Green porte le prénom (Green a été baptisé « Julian » ; l'orthographe a été changée en « Julien » par son éditeur français dans les années 1920). Il grandit dans le 16e arrondissement de Paris, puis au Vésinet et passe ses vacances dans la commune d'Andrésy, dans les Yvelines. Il poursuit toutes ses études en France au lycée Janson-de-Sailly. Sa mère, protestante pieuse et aimante, meurt alors qu'il a 14 ans, et la famille déménage rue Cortambert, à Paris. Il se convertit au catholicisme en 1916, à la suite de son père et de toutes ses sœurs, ainsi qu'il le raconte dans Ce qu'il faut d'amour à l'homme, son autobiographie spirituelle. Il abjure l'anglicanisme à la crypte de la chapelle des sœurs de la rue Cortambert. Âgé de seulement 17 ans, Julian Green réussit à rejoindre les rangs de la Croix-Rouge américaine, puis est détaché dans l’artillerie française en 1918 en tant que sous-lieutenant et sert en Italie. Démobilisé en mars 1919, il se rend pour la première fois aux États-Unis en septembre de la même année et effectue trois ans d'études à l’université de Virginie, où il éprouve un premier amour chaste et secret pour un camarade d'études. Il écrit son premier livre en anglais, avant de revenir vivre en France.
ellauri146.html on line 494: De ne rien éprouver des atteintes du feu. Ettei siihen mikään silleen vaikuta.
ellauri150.html on line 337: Elle jouait son morceau, s’appliquant de son mieux ; et, comme elle était habile, elle y réussissait très passablement, parfois même assez bien. Christophe, qui n’était pas dupe, riait en lui-même de l’adresse « de cette sacrée mâtine (sekarotuinen narttu), qui jouait, comme si elle sentait ce qu’elle jouait, quoiqu’elle n’en sentît rien ». Il ne laissait pas d’en éprouver pour elle une sympathie amusée. (Narsismimarkkeri!) Colette, de son côté, saisissait tous les prétextes pour reprendre la conversation, qui l’intéressait beaucoup plus que la leçon de piano. Christophe avait beau s’en défendre, prétextant qu’il ne pouvait dire ce qu’il pensait, sans risquer de la blesser : elle arrivait toujours à le lui faire dire ; et plus c’était blessant, moins elle en était blessée : c’était un amusement pour elle. Mais comme la fine mouche sentait que Christophe n’aimait rien tant que la sincérité, elle lui tenait tête hardiment, et discutait mordicus (izepäisesti). Ils se quittaient très bons amis.
ellauri150.html on line 434: Cyrano de Bergerac oli todennäköisesti homo, vaikka Rostand ei sitä tiennyt, tai ei kertonut. Pitkäköhän nenä sillä oli jäykkänä? Le fait que le personnage historique, Savinien de Cyrano de Bergerac, aurait été homosexuel, et les rapports ambigus qu'entretiennent les trois personnages, permettent d'imaginer que le personnage de Cyrano éprouve des sentiments amoureux pour Christian. Jérôme Savary évoque cette éventualité parmi d'autres. Jean-François Gautier signale que l'on trouve de tout dans les interprétations dont celle de la psychanalyse de l'homosexualité. Cette question est aussi soulevée par Patrick Besnier. Ce sont tous pédé.
xxx/ellauri173.html on line 342: ― Mais, comme vous avez grandi, mon cher lord ! reprit gaiement Edison, en indiquant l'utensil de lord Ewald. Je ne sais comment vous exprimer, aussi vite, le désir que j’éprouve!
xxx/ellauri376.html on line 274: Mauprat est un roman historique publié en 1837. L'histoire se déroule pour la majeure partie dans le Berry à l'aube de la Révolution française au XVIIIe siècle. Il relate l'histoire d'un jeune garçon issu d'une famille de seigneurs cruels, les Mauprat, qui échappe peu à peu à son lourd héritage familial grâce à l'amour qu'il éprouve pour sa cousine Edmée, nettement plus civilisée que lui. L'œuvre recèle plusieurs aspects: si Mauprat est avant tout un roman d'amour et une histoire de famille, c'est aussi un roman politique, une fable philosophique et un manifeste féminin.
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